Luttes
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Les retraités dans la rue

Dès son arrivée à la présidence de la République M.Macron a attaqué les retraité-e-s.
Il a provoqué la colère qui ne faiblit pas, que 400 personnes ont exprimé en manifestant le 11 avril 2019 à l’appel national de neuf organisations.
En effet le gouvernement ne remet pas en cause sa politique très inégalitaire:
- L’augmentation de la CSG reste pour une partie des retraité-e-s.
- Le bradage de biens publics
- Les exonérations de cotisations sociales (famille, maladie, vieillesse, etc.)
- Nos neuf organisations sont reçues mais nos demandes ignorées.
De l’argent, il y en a !
Lire le tract commun.
Voir les photos de la manifestation.

Urgence sociale

Sous une pluie battante, 1200 participants à la manifestation à Tarbes ce jeudi 19 mars à l’appel de l’intersyndicale CGT/FO/FSU/SOLIDAIRES.
Le cortège était composé de nombreux syndicats et entreprises en lutte ce jour-là.
Les enseignants en grève sur le département avaient organisé une A.G. dans le hall de la Bourse du travail pour dénoncer les réformes en cours.
Les salariés de Toupnot étaient présents pour réclamer le maintien de leur usine sur LOURDES.
Le syndicat de la FAPT a notamment manifesté pour les libertés d’expression des représentants du personnel et des organisations syndicales et en particulier de la secrétaire générale de la CGT FAPT. Ils demandent l’abandon de toute sanction ou procédure disciplinaire à son égard!
De nombreuses pétitions ont été signées, ainsi que de nombreux bons de souscription du 1er mai vendus!
Une délégation (CGT/FSU/SOLIDAIRE/FAPT CGT et une salariée de TOUPNOT) a ensuite été reçue par la directrice de cabinet du préfet pour aborder toutes ces questions.
Lire le communiqué confédéral.
Lire la déclaration des syndicats.
Lire la
déclaration des salariés Toupnot.
Voir les photos de la manifestation.

TOUPNOT

Mobilisation du samedi 23 fevrier des salaries de l’entreprise TOUPNOT : la manifestation organisée à l’initiative des salariés et de la CGT aura été un succès.
400 manifestants à Lourdes un samedi pour exiger du groupe COFIGEO des engagements fermes quant à la pérennité du site industriel et de l’emploi, cela est loin d’être fréquent et était loin d’être acquis.
Depuis le 10 janvier la CGT, aux côtés des salariés, a fait en sorte que les pouvoirs publics et la représentation nationale et locale se mobilisent pour éviter que des décisions lourdes de conséquences pour l’emploi ne soient prises.
L’Etat doit peser de tout son poids pour contraindre le groupe COFIGEO ( qui va percevoir plus de 20 millions d’euros d’indemnités des assurances et a été aidé en 2018 par l’Etat pour assurer son expansion ) à investir en Bigorre et maintenir le site et les emplois.
Voir la vidéo de la manifestation.
Voir la vidéo du secrétaire du CHSCT de l'entreprise.
Voir les photos de la manifestation.
Lire la déclaration devant la mairie de Lourdes.

ADAPEI 65

Environ 350 manifestants à Lourdes, à l'appel des syndicats CGT, CFDT, SUD, pour soutenir les salarié-e-s de l'ADAPEI pendant cette période où la direction veut porter atteinte aux conditions de travail qui mettraient en difficulté les travailleurs mais aussi les résidents.
Les salarié-e-s de Toupnot sont venus les rejoindre.
En partant de la place Capdevielle ils sont allé porter leurs revendications à la direction de l'ADAPEI au centre de la ville.
Voir les photos de la manifestation.

Toupnot suite

Suite à l'incendie de, l'usine lourdaise 76 salariés sont en chômage technique.
Une vingtaine d'entreprise sous-traitantes sont elles aussi impactées par cette situation. Les salariés craignent que le groupe COFIGEO n'en profite pour fermer le site et délocaliser le travail.
Une table ronde s'est tenue le 7 février à la préfecture. Le groupe profitant d'aides publiques, les pouvoirs publics doivent intervenir pour que l'usine soit reconstruite rapidement pour les salariés et les sous-traitants.
Voir les photos du rassemblement devant la préfecture.

Sans emploi et précaires.

Le 6 février le comité des privés d'emploi et précaires a organisé un rassemblement devant le siège du MEDEF à Tarbes.
Ils demandent:
- L'abrogation du décret scélérat du 28 décembre 2018, qui renforce le contrôle des demandeurs d’emploi et facilite les radiationssivité des allocations, la suppression des indemnités pour les demandeurs d’emploi en activité réduite, la multiplication par 3 des Contrôleurs à la Recherche d’Emploi et l’abandon du système paritaire pour la gestion de l’UNEDIC.
- La suppression des brigades de Contrôle à la Recherche d’Emploi et réaffectation des agents concernés à l’accueil des demandeurs d’emploi en agence.
- L'indemnisation de tous les demandeurs d’emploi, y compris ceux qui ont démissionné. - L'adoption d’une loi sur la réduction du temps de travail à 32 heures, dans un premier temps, pour créer de nouveaux emplois. Cette loi serai. - Le retrait, dans le futur projet de loi sur l’assurance chômage, des dispositions souhaitées par le gouvernement concernant la dégrest financée par le plafonnement des hauts revenus dans les grandes entreprises, par le rétablissement de l’Impôt de Solidarité sur la Fortune et par le Crédit Impôt Compétitivité des Entreprises.
Au cours du rassemblement le chant des privés d'emploi a été interprété par les manifestants puis a été lu le slam de Clotilde, une privée d'emploi de Lourdes.
Lire l'intervention.
Lire les propositions lues au cours du rassemblement.
Lire les paroles du slam de Clotilde.
Lire les paroles du chant des privés d'emploi et la vidéo
Voir les photos du rassemblement.

Emplois, salairees, pensions, minima sociaux.

Le 5 février 2500 manifestants dans les rues de Tarbes pour revendiquer un juste partage des richesses de notre pays.
Sur le trajet de la place de Verdun à la Bourse du Travail arrêt devant le tribunal de Tarbes avec une prise de parole pour dénoncer la loi Macron contre la liberté de manifester.
Après la manif un débat s’est tenu dans l’amphi de la Bourse suivi d’un casse-croûte fraternel.
Voir les photos du rassemblement du 25 01.

Retraités:
Reprenez vos cadeaux !
Rendez nous notre pouvoir d’achat !

Voir les photos et le compte rendu de la manif du 31 01 page USR

TOUPNOT
dans les Hautes-Pyrénées.

L'usine de Lourdes, TOUPNOT, a été détruite à 85% par un incendie le 10 janvier.
Tous les salariés sont en chômage technique et la production totalement arrêtée. Le groupe COFIGEO ( William Saurin, Raynal et Roquelaure, Appetiz…..) pourrait en profiter pour délocaliser la production et cela est inacceptable.
Le 25 janvier à l'occasion de la visite du préfet de Région Occitanie les salariés, leurs familles se sont rassemblés devant l'Hôtel du Département avec le soutient de l'UD CGT 65.
Toupnot est une entreprise historique du département, leader européen du Corned Beef et 3ème producteur mondial, c'est un chiffre d'affaires à 85 % consacré à l'exportation dans 60 pays et ce sont surtout 76 salariés, 20 intérimaires, plus d'une quinzaine de sous-traitants dont l'avenir dépend de l'engagement du groupe.
Il a bénéficié de l'engagement du Ministre de l'Economie et des Finances pour le rachat de William Saurin, Toupnot a par ailleurs reçu plus de 500 000 € sous forme de CICE et CIR ( Crédit Impôt Recherche ) sur les 4 dernières années.
Il est donc URGENT que les pouvoirs publics et élus se mobilisent pour exiger du groupe COFIGEO un engagement ferme sur l'avenir de l'entreprise.
Nous avons demandé la tenue d'une table ronde présidée par le Préfet et réunissant tous les acteurs politiques, économiques et sociaux le 7 février 2019 car à cette date les deux dirigeants du groupe COFIGEO seront dans le département à l'occasion d'un Comité d'Entreprise Extraordinaire qui se tiendra le matin.
Après une rencontre avec le président du conseil départemental Michel Pélieu, Josette Bourdeu ( Maire de Lourdes ), Chantal Robin-Rodrigo ( conseillère départementale ), le Président du Conseil Départemental s'est engagé à demander la tenue de cette table ronde le 7 février 2019 et à saisir en parallèle le Président de la République et le Ministre de l'Economie et des Finances.
Le 28 janvier les représentants des salariés et une délégation de l'UD ont rencontré les députés JB Sempastous, Jeanine Dubié, ainsi que la sénatrice M. Carrère et l'attaché parlementaire de Viviane Artigalas à qui la même demande a été formulée.
Il faut rappeler qu'en cas de reconstruction de l'usine, le groupe verra l'ensemble des salaires des travailleurs pris en charge par les assurances durant 18 mois.
Comme ce fut le cas pour Vallourec: l'avenir de 100 familles et le maintien de cette activité industrielle nécessiteront l'engagement de toutes et de tous.
Voir les photos du rassemblement du 25 01.

Education
Secrétaire d'Etat à Bagnères.

A l'occasion de la venue de Gabriel Attal, le secrétaire d'Etat auprès du Ministre de l'Education nationale et de la jeunesse, dans le département un rassemblement devant le Collège Blanche Odin à Bagnères de Bigorres été organisé par Educ'Action CGT 65 en lien avec l'UD CGT 65.
Il était ici pour évoquer le lancement dans 13 départements pilotes, dont les Hautes-Pyrénées, du SNU (Service national universel).
Dans ce cadre, il rencontrait les élèves du collège Blanche Odin de Bagnères de Bigorre.
Le rassemblement a eu lieu à 12h30 devant le collège.
Nous étions une trentaine de participants, nous avons eu un bref échange avec le secrétaire d’Etat à son arrivée.
Une audience, a laquelle ont participé le Chef de cabinet du secrétaire d’état, DEOS 65, IEN Information et Orientation et les repréqentants d'Educ'Action, c'est déroulé ce jour.
Lire le compte rendu de l'audience. Voir les photos du rassemblement.

18 décembre:
retraités plus les Services Sociaux

500 manifestants devant la préfecture, retraités à l'appel de CGT, LSR, FSU, Solidaires, FO, FGR-FP CFTC, CFE-CGC et les personnels des services en grève.
Une délégation de l’intersyndicale a été reçue par la directrice de cabinet du préfet et lui ont exposé leurs revendications:
- Pouvoir d’achat;
- Suppression de la hausse de la CSG;
- Revalorisation et fin du gel de toutes les pensions
; - Rattrapage des pertes subies;
- L’indexation des pensions sur les salaires et un minimum de pension au SMIC pour une carrière complète;
- Le maintien des pensions de réversion sans condition de ressources;
- La prise en charge de la perte d’autonomie à 100% par la sécurité sociale et l’ouverture d’un droit universel dans le cadre du service public.
Pendant ce temps, les syndicats en grève ce jour ont témoigné de leurs conditions de travail et ont exposé leurs revendications à toutes et tous avant d'être reçus, avec les représentants-es de l'UD, par le préfet.
Voir les photos de la manif.

La Poste:
NON à la fermeture du Marcadieu.

Les syndicats CGT, CFDT, FO et SUD ont appelé le personnel à se mettre en grève et les usagers à se rassembler devant la Poste du Marcadieu à Tarbes pour refuser la fermeture prévue le 1er avril.
Cette fermeture ne se justifie pas, d'autant que ce bureau est placé sur la place du marché et profite d'un parking à proximité.
De nombreux élus ont apporté leur soutien, les commerçants eux aussi jugent ce bureau de poste utile pour le quartier et sa vitalité.
Elle serait remplacée par un Relais de Poste-commerçant, mais cela ne remplace pas tous les services rendus par La Poste.
Voir les photos de la manif.

18 décembre:
retraités plus les Services Sociaux

500 manifestants devant la préfecture, retraités à l'appel de CGT, LSR, FSU, Solidaires, FO, FGR-FP CFTC, CFE-CGC et les personnels des services en grève.
Une délégation de l’intersyndicale a été reçue par la directrice de cabinet du préfet et lui ont exposé leurs revendications:
- Pouvoir d’achat;
- Suppression de la hausse de la CSG;
- Revalorisation et fin du gel de toutes les pensions
; - Rattrapage des pertes subies;
- L’indexation des pensions sur les salaires et un minimum de pension au SMIC pour une carrière complète;
- Le maintien des pensions de réversion sans condition de ressources;
- La prise en charge de la perte d’autonomie à 100% par la sécurité sociale et l’ouverture d’un droit universel dans le cadre du service public.
Pendant ce temps, les syndicats en grève ce jour ont témoigné de leurs conditions de travail et ont exposé leurs revendications à toutes et tous avant d'être reçus, avec les représentants-es de l'UD, par le préfet.
Voir les photos de la manif.

URGENCE SOCIALE :
EXIGEONS D’ÊTRE ENTENDUS

EEnviron 800 manifestants à Tarbes à l'appel de la CGT et de FSU pour revendiquer:
- L’augmentation du SMIC à 1800 euros brut avec répercussion sur l’ensemble des grilles de salaires mais aussi des pensions de retraite et des minima sociaux ;
- L’annulation immédiate de l’augmentation de la CSG pour les salariés et retraités.
- Le rétablissement immédiat de l’Impôt sur la fortune et l’abrogation du plafonnement sur la taxation du capital.
- Taxer les sociétés d’autoroute (Vinci, Eiffage etc…) aux profits colossaux.
- L’affectation des milliards du CICE (40 milliards en 2019) à la création d’emplois utiles pour la société (dans les hôpitaux, dans les EHPAD et les services publics en général).
- Taxer les entreprises polluantes (Total c’est 2/3 des émissions de gaz à effet de serre de toute la France et 9 milliards de profits annuels).
- Une TVA à 5,5% pour les produits de première nécessité, notamment le gaz et l’électricité ;
- Une lutte efficace contre la fraude fiscale (80 milliards par an) et les paradis fiscaux.
- Le développement des transports publics (avec l’objectif de la gratuité) et le maintien et le développement des lignes ferroviaires de proximité. 9000 kms menacés à court-terme.
Ils ont fait un arrêt devant la clinique Ormeau où le personel a pris la parole pour « dénoncer les conditions de travail dans la polyclinique de l’Ormeau ».
Le personel a revendiqué "moins de directeurs plus de travailleurs" pour pouvoir offrir de soins qui correspondent aux besoins de la population et accessibles à tous.
Les manifestants se sont dirigés vers la place de Verdun pour la prise de parole des syndicats.
Voir les photos de la manif.
Lire la prise de parole des syndicats.
Lire le tract de l'UD CGT 65.

Mener une politique sociale!!!

Alors oui, il est grand temps de mener une politique sociale et environnementale ambitieuse!
Il est donc URGENT d’AGIR :
- Il est URGENT d’augmenter les salaires et de porter immédiatement le SMIC à 1 800 € brut et d’augmenter, pensions, retraites et salaires avec une progression en fonction des qualifications;
- Il est URGENT de prendre toutes les dispositions (aides, exonérations fiscales…) pour mettre fin à la précarité énergétique;
- Il est URGENT d’investir massivement dans le développement des transports publics et d’aller vers la gratuité de ceux-ci;
- Il est URGENT de reprendre la politique d’aménagement du territoire, de rééquilibrage et non de métropolisation qui conduit à la concentration des activités (publiques et privées) et à l’allongement des trajets domicile-travail au bilan carbone déplorable;
- Il est URGENT et de salubrité publique de MENER UNE VERITABLE POLITIQUE D’INVESTISSEMENT dans la transition énergétique à la hauteur des enjeux.
Une centaine de personnes se sont rassemblées à l'appel de la CGT au marché Brauhauban à Tarbes.
Lire la déclaration de l'UD CGT 65.
Voir les photos du rassemblement.

Retraités maltraités

750 dans les rues de Tarbes pour exiger:
o La suppression de la hausse de la CSG qui pénalise les retrai-tés de 4,5 milliards d’euros et fait baisser le taux de remplace-ment de 2,5 % en net pour les retraité-e-s depuis cette hausse. Nous demandons l’inscription de cette mesure dans le PLFSS 2019.
o La revalorisation de toutes les pensions, par la fin du gel des pensions, le rattrapage des pertes subies, le refus du 0,3 % 2019-2020.
o L’indexation des pensions sur les salaires et un minimum de pension au SMIC pour une carrière complète.
o Le maintien des pensions de réversion, sans conditions de res-sources.
o Prise en charge de la perte d'autonomie à 100% par la sécu et ouverture d'un droit universel dans le cadre du service public.
Lire le tract commun d'appel
Voir les photos de la manif.

9 octobre 2018
1500 dans la rue!

Le MEDEF et le gouvernement, même affaibli, ne baissent pas les bras et entendent poursuivre leur politique antisociale au profit d'une minorité.
La destruction de notre modèle social va entraîner encore plus d'actifs, retraités, sans emploi vers la misère pour bien plus loin que la fin du règne de Macron:
* en confirmant les suppressions de postes dans la fonction publique,
* en sabordant les hôpitaux et l’éducation nationale,
* en poursuivant sa politique de cadeaux fiscaux pour les plus riches, les plus puissants,
* en annonçant son intention de dynamiter nos régimes de retraite en instaurant un système par point généralisé avec des conséquences lourdes et directes pour les salarié-e-s : des pensions en baisse, un âge de départ en retraite mécaniquement augmenté avec les conséquence que l’on connaît déjà pour la santé des travailleurs.
A Tarbes, comme partout en France, toutes et tous mobilisé-es, imposons:
- L’augmentation des salaires, des pensions, des minima sociaux;
- Le SMIC à 1800 euros. ?L’égalité salariale et professionnelle entre les femmes et les hommes;
- La retraite à 60 ans et la reconnaissance de la pénibilité;
- Une politique industrielle créatrice d’emplois;
- Le maintien et le développement des services publics et de la protection sociale;
- L’abrogation des loi travail
1500 manifestants à Tarbes actifs, retraités, sans emploi, jeunes.
Lire le tract CGT         Lire le tract unitaire
Voir les photos de la journée.

La CGT sur la route du Tour

A l'occasion du passage du Tour dans les Hautes-Pyrénées, l'UD CGT avec la NVO a organisé un point fixe à Argelès-Gazost place du Foirail.
Ballons, friandises et divers documents étaient à la disposition des spectateurs. Durant la présence des militants sur place de la musique a été diffusée pour animer les lieux.
Voir les photos de la journée.

Macron dans les Hautes-Pyrénes.
Réveil bruyant et revendicatif

Une centaine de manifestants pour participer au réveil bruyant de l’hôte de l’Elysée. ( bien plus que la dizaine de personnes réunie hier soir à Bagnères de Bigorre pour un bain de foule ridicule organisé par le service com de la Présidence )
Inutile de dire que les forces de maintien de l’ordre ( officielles celles-là ) en nombre ne nous ont pas permis de nous approcher de la Préfecture. (Lors d’un déplacement présidentiel ce sont au bas mot 300 gendarmes mobiles et CRS qui sont à pied d’oeuvre)
Au delà du contexte politique actuel, il a été réaffirmé la nécessité impérieuse de lutter contre la politique de régression sociale sans précédent de l’actuel gouvernement. Nous avons rappelé tout ce qui justifie la mobilisation des travailleurs et des citoyens en général.
Ce gouvernement affaibli, et désapprouvé désormais par une majorité de citoyens, compte sur la résignation pour faire passer ses réformes ( c’est le nom qu’ils osent donner aux régressions et destructions de l’état social ). La prochaine “réforme” qui s’annonce est celle de notre système de retraite par répartition afin de faire voler en éclat la solidarité inter-générationnelle en lui substituant un système par points à capitalisation.
Voir les photos de la matinée.

A la rencontre des saisonniers.

Le 12 à Saint-Lary et à Lourdes le 13 juillet, la CGT a rencontré les saisonniers.
Le but est d'informer de les informer de leurs droits mais aussi les vacanciers sur les conditions précaires de ces salariés qui sont à leur service.
La CGT défend quatre points qui paraissent importants: la reconduction des contrats pour les salariés de long terme, le droit au logement, l’accès à la formation et le versement de la prime de précarité, . dont sont exonérés aujourd’hui les employeurs qui signent des contrats saisonniers
Voir les photos de Lourdes.

Luttes gagnantes

Quand on lutte et que l’on créé les convergences nécessaires, on gagne!
C’est ce qu’il faut retenir de la lutte menée par les postiers de Bagnères et de Lourdes.
Ceux de Lourdes ont entamé une grève le 25 juin et ceux de Bagnères le 27 juin, tout au long de leur mouvement, ils se sont attachés à informer et impliquer les élus ainsi que les usagers.
Cette stratégie a été payante, ils ont gagné:
- sur leurs organisations de travail en imposant des reculs à la direction,
- sur leurs conditions de travail,
- sur l’emploi avec la transformation d’un intérim en CDI.
Ils remercient toutes les personnes qui les ont soutenus, collègues, interpro, élus, usagers et organisations CGT pour le soutien apporté.
Lire le bilan de la lutte à Bagnères.
Lire le bilan de la lutte à Lourdes.
Voir les photos du 3 07 à Lourdes.

Fonctions publiques

Le 28 juin à l’appel de l’intersyndicale, à 11h, 150 personnes se sont retrouvées, devant les finances publiques, avec une vingtaine d'élus locaux exigeant une rencontre avec la direction des finances publiques afin de demander le maintien des trésoreries de proximité dont la fermeture est programmée ( Trie sur Baïse, Vielle Aure, Saint Laurent de Neste ) par le directeur départemental en dépit d’un consensus politique général dans le département qui rejette ces nouvelles fermetures de service public de proximité.
Le directeur du site de Tarbes a refusé pendant une heure de discuter avec les manifestants. Mais suite à l’insistance générale, il a été contraint d’écouter les réclamations des élus demandant le maintien des trésoreries de proximité.
Les élus ont demandé au directeur de faire remonter les réclamations locales au ministère et ont également exigé une table ronde avec la préfète, une lettre ouverte au président Macron signée de tous les élus étant par ailleurs en cours de préparation.
Les salariés de la fonction publique en lutte et de la santé ont pris la parole devant l’assemblée: Finances publiques, Enseignement, Cheminots, Energie, Santé publique, Santé privée, FAPT.
Ils ont dénoncé les conséquences de la politique de Macron, ils ont également présenté les actions en cours.
Voir les photos.

Finances publiques

Les élus du canton de Trie ont manifesté devant les locaux du centre des finances publique à Trie et se sont rendus ensuite sur le site de Tarbes-Ormeau pour y interpeller la direction départementale.
Des membres du personnel se sont joints aux rassemblements ainsi qu'une délégation de la CGT Finances.
Voir les photos.

Service public de l’énergie!!!

Notre action s’inscrit dans le cadre d’un mouvement national. Ce mardi 19 juin 2018, à travers la France, 150 à 170 sites d’ENEDIS et GRDF sont bloqués. Le site d’Anglet, dans les Pyrénées-Atlantiques, est en grève depuis une semaine, et celui de Dax, dans les Landes, a cessé le travail depuis 5 jours. Nous sommes très inquiets pour l’avenir du service public de l’énergie en France.
Lire le tract.
Voir les photos.

Pour vivre dignement notre retraite!!!

Environ 400 retraités-es ont manifesté de la place de Verdun à la préfecture à Tarbes.
Elles et ils demandent l'annulation de la hausse de la CSG, la fin du gel des pensions, la revalorisation des pensions, décisions plus efficaces pour l'économie du pays, que les cadeaux aux actionnaires et patrons .
Une motion a été déposée à la préfecture.
Les retraités-es n'attendent rien de bon de la réforme des retraites car une fois de plus ce sera l'occasion de répondre aux désirs du MEDEF, seule voix que Jupiter entend.
Le 8 juin les organisations ont envoyé une lettre ouverte à Mms Buzyn pour protester contre la volonté du gouvernement de ne pas écouter les retraités comme les autres salariés de ce pays.
Lire la lettre ouverte.
Voir les photos.

Contre l'extrême droite et ses idées!

Nous étions plus de 80 à nous être retrouvés devant le tribunal de Tarbes hier entre 12h et 13h à l'appel de plusieurs organisations.
Par cette présence, il s’agissait de marquer notre opposition résolue à l’extrême droite et à ses idées nauséabondes, jour du passage en justice du secrétaire départemental du FN, accusé d'avoir livré sur les réseaux sociaux les adresses des demandeurs d'asile et de la directrice du Centre d'Accueil des Demandeurs d'Asile.
Ce rassemblement était aussi l’occasion de marquer notre opposition aux attaques du groupuscule Delta contre les locaux du CADA ou lors de la fête d'accueil des Migrants à Séméac.
L'UD CGT, RESF, La Cimade ont pris la parole et une déclaration de Marie-Pierre Vieu (députée européenne) a été lue par son attaché parlementaire.
Lire la déclaration de l'UD CGT 65
Voir les photos.

Marée Populaire.

Le pouvoir pronostiquait un fiasco. Partout en France, plus de 250.000 personnes étaient dans la rue; nous étions 1500/1700 à Tarbes et 150 à Bagnères!
Lire la déclaration CGT
Voir les photos.

22 05 2018: défense du service public.

Avec la mission Cap 2022, c’est une stratégie d’attaque que le gouvernement développe, attaques contre les missions, austérité imposée à l’hôpital public, démantèlement du service ferroviaire, EHPAD institutionnalisant la maltraitance faute de moyens, fermetures de centres des finances publiques, fermetures de classes, suppressions d’emplois dans l’enseignement professionnel, privatisation de l’apprentissage et de la formation en alternance.
En termes d’éducation, de santé, de sécurité, de mobilité, d’énergie et bien d’autres secteurs, seules les missions effectuées par la fonction publique et ses agents garantissent l’égalité de traitement, car à la différence de l’entreprise, la fonction publique n’a pas vocation à faire des profits mais à rendre des services. En défendant leurs missions, leurs statuts, les agents publics défendent un modèle social basé sur la solidarité et financé par l’impôt.
Défendre le statut général des fonctionnaires contre l’emploi contractuel c’est s’opposer à la précarité, défendre l’augmentation générale des salaires, c’est combattre la paupérisation des agents publics, défendre le service rendu à la population sans distinction.
Voir les photos.

La lutte des "Vallourec" paye!!!

L'annonce de la reprise des sites Vallourec de Cosne-sur-Loire et de Tarbes avec la totalité de leurs salariés par le groupe Altifort a officiellement été faite.
Ce résultat démontre qu’il n’y a aucune fatalité à la disparition d’emplois industriels et que les mobilisations élargies aux populations avec la participation et l’engagement des élus locaux payent.
Lire le communiqué de presse de la Fédération des Travailleurs de la Métallurgie, de l’Union Départementale CGT de la Nièvre, de l’Union Départementale CGT des Hautes-Pyrénées, des syndicats CGT du Groupe Vallourec.

Grève du personnel des finances publiques

Les syndicats Solidaire, CGT, FO et CFDT des finances publiques ont appelé le personnel à l'action le 3 mai.
cette journée morte a été organisée pour protester contre les plans successifs de restructuration.
39 000 postes supprimés depuis 2002 rendent difficiles le travail des agents et l'aide apportée aux citoyens. Il arrive également la mission CAP 2022 qui prévoit que les services publics soient réformés dans des proportions jamais vues dans ce pays avec une atteinte très marquée contre le statut de la fonction publique.
Sur le département il y a eu 10 suppressions d’emplois l’an dernier et la direction en prévoit quasiment le double pour l’an prochain.
Le directeur départemental des finances publiques veut imposer les opérations suivantes: suppression des trésoreries de Vielle Aure ou Arreau, Trie sur Baise, St Laurent de Neste ou Loures-Barousse avec une suppression de l’accueil fiscal de proximité pour les trésoreries d’Arreau, Loures-Barousse, Argelès-Gazost et de tout transférer dans les centres comme Lannemezan, Lourdes ou Tarbes.
Le service public un droit pour toutes et tous???
Le prélèvement à la source, aussi est une raison d'inquiétude. Il va compliquer la vie de tout le monde car le système français n’y est pas adapté. Au niveau système d’information, il y a encore beaucoup de failles.
L’administration centrale fait un appel d’offres pour que ce soit une entreprise de téléphonie privée qui renseigne les contribuables ce qui est absolument scandaleux et la Poste se positionne aujourd’hui pour que le service gratuit de renseignement fiscal devienne payant à hauteur de 39€ et ce juste pour aider à remplir sa déclaration.
Il y a une logique de privatisation et le prélèvement à la source ce n’est pas seulement une technique de recouvrement mais c’est un objectif politique qui parait assez clair, rendre l’impôt sur le revenu le moins progressif possible alors qu’en France on a la notion de foyer fiscal et d’aller à terme vers une fusion de l’impôt sur le revenu et de la CSG , ce qui interroge aussi sur la protection sociale de notre pays.
Il est prévu une action le 16 mai devant le centre des finances publiques de Lannemezan avec un appel à la grève pour une journée du services publics de proximité.
On peut le voir nous sommes toutes et tous concerné-es par cette lutte.

1er mai 2018 Tarbes et Bagnères

A l’appel de la CGT, UNSA, FSU, SILIDAIRES, 1700 personnes ont manifesté à Tarbes et 200 à Bagnères.
A Tarbes, la manifestation a été suivie d'un repas fraternel et d'un concours de pétanque.
Pour enrayer les politiques destructrices mises en œuvre par ce gouvernement, tout commande à développer le rapport de force.
Plusieurs journées d’action sont d’ores et déjà arrêtées dans de nombreuses professions telles que les Finances publiques ce 3 mai (et la semaine du 14 au 17 mai).
L’énergie également, les cheminots qui reprennent l’action ce 3 mai aussi!
Tous ensemble préparons très activement la grande journée nationale de grève du 22 mai.
Lire le communiqué confédéral CGT.
Voir les photos.
Lire la déclaration commune.

19 avril 2018 : 1500 dans les rues de Tarbes

Présence remarquée des cheminots et des électriciens et gaziers. De nombreuses professions étaient présentes dans la manifestation ainsi que des retraités.
C’est une mobilisation très importante dans un contexte où la CGT seule appelait nationalement relayée par Solidaires. Le cortège des cheminots était quant à lui unitaire.
Ce gouvernement ne cherche qu’une chose, c’est l’affrontement direct pour imposer un projet de société au service des nantis alors que de nombreuses aspirations montent du monde du travail.
Alors, nous n’avons pas d’autre alternative, nous devons faire front tous ensemble et construire la lutte dans l’unité la plus large.
Partout nous devons réunir les salariés, mettre en débat la suite des luttes « Tous ensembles ».
Rendez-vous a été donné pour 10h30 à Tarbes et 11h30 à Bagnères le 1er mai.
Voir les photos.

13 avril 2018 : Nouvelle journée de mobilisation

Agents des finances publiques, salariés de la santé, cheminots étaient en grève et en manifestation sur la journée.
Un premier rassemblement s’est tenu devant le centre des finances de Tarbes à 8 h 30.
Après des prises de paroles de différents services publics, 450 manifestants se sont ensuite déplacés vers l’EHPAD de l’Ayguerote.
A partir de 14 h 00 le député LREM du département Jean Bernard Sempastous a été interpelé par les salariés en lutte.
Pendant plus d’une heure, les représentants des cheminots ont argumenté, démonté la manipulation gouvernementale sur le projet ferroviaire et demandé au député d’entendre la voix des agents de la SNCF et leurs propositions pour améliorer le service public ferroviaire dans le département et à l’échelle du pays.
Le constat de cet échange : un élu du peuple peu au fait de la question et au regard des propos présidentiels de la veille LA NECESSITE IMPERIEUSE de poursuivre la mobilisation.
rendez-vous a été donné pour le jeudi 19 avril devant la mairie de Tarbes.
Voir les photos.

9 avril 2018 les cheminots dans la rue

Chez les cheminots, ce 8 et 9 avril, la mobilisation ne faiblit pas avec des pourcentages de grévistes allant selon les secteurs de 95% à 45% de grévistes malgré les annonces « folkloriques » de la direction.
Sur Tarbes, près de 500 cheminots, différentes délégations de la CGT et des usagers ont défilés de la Gare jusqu’à la Préfecture ce lundi matin.
Rendez-vous a été donné pour le vendredi 13.
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Fonctionnaires et cheminots dans la rue

6500 manifestants dans les rues de Tarbes à l'appel de CGT, FO, FSU, CFTC, Solidaires, UNSA, CFDT, CFE/CGC.
Les cheminots, dont une centaine devait manifester à Paris, ont participer à la manifestation tarbaise. Pierre Lacaze, secrétaire du syndicat CGT des cheminots Hautes-Pyrénées et Comminges, a pris la parole pour expliquer cette présence forcée par la direction SNCF.
Toutes et tous déplorent la politique menée depuis des décennies par les gouvernements successifs pour mener l'abandon du service public.
Un service jugé pas rentable doit fermer, même si cela oblige les contribuables à faire des kilomètres pour s'y rendre, mettant en danger des vies quand il s'agit de la santé.
Les services rentables sont eux donnés au privé pas pour donner une vie décente à de nouveaux salariés mais des dividendes à ces "pauvres actionnaires dans la misère".
Les avocats, qui eux aussi sont inquiets pour la justice de notre pays, étaient en grève et devant le palais de justice portaient une banderole: "Vous avez aimé faire 50 km pour aller à l'hôpital? Vous allez adorer faire 100 km pour accéder à la justice".
Des usagers sont venus manifester leur mécontentement, les retraités ont entendu l'appel lancé lors de la manifestation du 15 pour défendre nos services publics garant de la solidarité: où que l'on soit les même droits, les mêmes services. Urgences, maternités… sont les exemples du service public vu par le MEDEF.
Lire la déclaration intersyndicale en fin de manifestation.
Voir les photos.

EHPAD et retraités dans la rue

Dans le cadre de la journée nationale d’action intersyndicale pour la défense des EHPAD et le pouvoir d’achat des retraités: deux rassemblements se sont déroulés à Tarbes.
Place de la mairie pour les salariés des EHPAD qui a rassemblé environ 350 personnes.
Ce cortège est parti en manifestation rejoindre celui des retraités qui s’étaient donnés RDV place de VERDUN.
Les 2 cortèges réunis se sont rendus à la préfecture pour déposer les revendications des EHPAD et des retraités.
Au total 2500 manifestants environ ont constitué le cortège pour la deuxième partie du parcours.
Voir les photos des manifestations.

BARBAZAN DEBAT:
TOUS ENSEMBLE NOUS AVONS GAGNE !!!

Après les stations, les facteurs: la lutte paie!!!
La Direction a enfin enclenché les négociations, un protocole de fin de conflit a été signé le mercredi 21 février. Ce protocole acte la nouvelle organisation du travail, construite à partir de la charge de travail réelle de leur métier de facteur.
Ils ont également obtenu des moyens supplémentaires pour assurer leur travail dans de meilleures conditions, ainsi que l’engagement de La Direction d’instaurer des réunions mensuelles évaluant leurs besoins en matière d’emplois.
Ce combat est inédit à La Poste dans les Hautes-Pyrénées puisqu’ils ont contraint La Direction à revenir sur l’organisation du travail 3 mois après sa mise en place.
Cette victoire n’a été possible que grâce à leur détermination et au soutien sans faille des usagers et des élus. Ils tiennent à les associer à cette victoire et à leur exprimer leur gratitude. Pour la CGT, gagner sur l’emploi c’est garantir la qualité de service pour les usagers, c’est distribuer le courrier le plus tôt, c’est avoir des moyens humains pour que tous les usagers aient leur courrier quotidien.
Voir les résultats de la négociation.

Remontées mécaniques de SAINT LARY

LE RAPPORT DE FORCE A PAYÉ!
Vu les résultats des négociations avec leur direction les salariés(es) des stations de ski suspendent l'arrêt de travail prévu ce dimanche 18 février.
Voir les résultats de la négociation.

IMERYS à Beyrède:
les salariés ont débrayé.

Hier, jeudi 15 février, les salariés d’IMERYS ont débrayé et se sont rassemblés, ils étaient 60 participants sur les 80 du site avec un arrêt de travail à 100% des présents contre la suppression de 43 postes.
L’usine a été bloquée pendant 2h avec la présence de soutiens locaux.
Des délégations d’élus étaient présentes notamment la Députée Européenne MP VIEU.
A cette occasion la direction de l’usine a été rencontrée: le Plan (anti)social concerne 27 cdi + 8 cdd + intérimaires. La direction a dit clairement et très franchement qu’il s’agissait d’une stratégie purement financière.
Ils investissent 5 millions sur 2 ans mais veulent un retour sur investissement immédiat: résultat, ils tapent sur la masse salariale.
Il conservent juste une ligne de production par usine... Ce qui limite les débouchés et prennent un risque fort sur l'avenir et sur le dos des salariés.
Seule alternative: Il faut que la mobilisation s’amplifie et s’élargisse.
Voir les photos.

Les facteurs de Barbazan

Les facteurs du centre courrier de Barbazan qui dessert 13 communes se sont rassemblés devant la poste de Barbazan soutenus par environ 120 personnes dont des élus de ces communes et Philippe Martinez.
Malgré l'augmentation de la population (plusieurs centaines de nouvelles constructions sur le secteur) la direction a supprimé 2 postes et demi tout en culpabilisant les salariés.
La Poste aurait décidé de détruire le service public de la communication et du courrier elle ne ferait pas mieux.
Voir les photos.

Vallourec et industrialisation du 65.

Les salariés attendaient beaucoup de la réunion “plénière” en Préfecture, le nouveau Délégué Interministériel aux Restructurations Industrielles Mr Floris, malgré ses fanfaronnades, est venu les mains vides, si ce n’est qu’il avait confiance en une solution de reprise d’ici fin février.
La seule garantie est venu du Délégué Régional représentant le ministère de la Défense annonçant que sur la partie munitions, le site de Tarbes était incontournable, la recherche d’un autre fournisseur s’avère longue et couteuse dans un domaine aussi stratégique que la fabrication de munitions.
Une table ronde se tindra le 12 février en Préfecture concernant l’avenir de Vallourec.
Le samedi 10 fevrier 2018 700 manifestants, dont Philippe Martinez, Michel Pélieu, président du conseil départemental, les sénatrices, Marie-Pierre Vieu, Pascale Péraldi et Yolande Guinle, conseillères régionales, Michèle Pham, conseillère municipale PS de Tarbes sont venus soutenir ces salariés et exiger une réelle politique d'industrialisation du département sinistré.
Lire la déclaration commune CGT, CFDT, FSU, SOLIDAIRES, CFTC, CFE-CGC, UNSA.
Voir les photos.

Personnels pénitentiaires en luttes.

Dans le cadre du mouvement national des gardiens de prison, les agents de la Centrale de Lannemezan se sont rassemblés ce jeudi matin 25/01/2018 à 6h00, pour maintenir le barrage d'accès à tous véhicules.
L’Union locale CGT Lannemezan avait organisé un rassemblement et s’est rendue devant la prison pour soutenir ce mouvement.
Lire le compte-rendu de l'UL Lannemezan.

Pérennité du site de Vallourec Tarbes.

LE COMBAT DES VALLOUREC DOIT DEVENIR LE COMBAT DE TOUTE LA CGT DANS LE DEPARTEMENT
Les premières mobilisations ont permis que le dossier Vallourec soit désormais traité au niveau de la Présidence de la République.
Après une première réunion en Préfecture le 29 décembre, d’autres sont programmées les 15 et 26 janvier.
Au cours d'un rassemblement des personnels et de leurs soutiens le Président Macron a été interpellé par une lettre ouverte rendue publique devant la presse ce mercredi 17 janvier à 12 H 45 devant l’entreprise.
Il a été annoncé aussi une manifestation départementale à Tarbes le samedi 10 fevrier pour l’emploi industriel.
Lire la lettre au Président.
Voir les photos du rassemblement.

Vallourec à la préfecture

En sortant de la réunion avec les sénatrices, député(e), députée européenne et la préfète les membres de la délégations ont fait le compte rendu devant la préfecture aux salariés de Vallourec et les militants venus les soutenir.
Manquait à cette rencontre la direction de l’entreprise. Les fêtes ou les salariés faut choisir.
«La préfète nous a assuré que le sujet Vallourec est suivi de très près par le cabinet de l'Élysée» a pu déclarer la délégation (élus du personnel et représentants de l’UD CGT) même si sans la direction la « réunion était informelle ».
La mobilisation organisée autour des salariés par la CGT n’est pas étrangère à cette prise en compte. Le courrier des parlementaires et du président du conseil départemental remis en mains propres au président de la République en vacances à La Mongie y ont participé.
«Il n'y a pas eu d'annonce officielle concernant un éventuel repreneur mais nous avons convenu, avec la préfète, de la création d'un groupe de travail avec des réunions plénières associant les élus locaux et des réunions plus techniques à partir de la rentrée», a précisé le secrétaire du CE, Cédric Dorondovas.
Pour élargir les possibilités de recherche, au-delà du forage pétrolier et de la fabrication des munitions, il faut se donner le temps nécessaire, y compris pour rapatrier une partie de la production de l'un de ses principaux clients, Nexter. Dans cette perspective, la modernisation de l'outil industriel a également été évoquée.
Le délégué interministériel aux restructurations viendrait sur le site la troisième semaine de janvier. Le ministre de l'Économie a demandé à ce dernier «d'accorder une attention toute particulière aux sites de Cosnes-sur-Loire et de Tarbes», car exclus du rachat par la société National Oilwell Varco.
Mais nous ne sommes pas au bout du chemin la vigilance et la mobilisation doivent rester entières.
Voir les photos.

Vallourec chez le député

L'UD CGT et représentants des salariés avaient demand? au député de profiter de la présence du Président Macron pour organiser une rencontre directement avec l'intéressé pour aborder l'avenir de Vallourec.
Un dossier bien connu qu?il avait eu l'occasion de traiter alors qu""il était ministre de l'économie et qui avait donné lieu à une intervention de l'état à hauteur de 500 millions d?euros et avec une montée au capital à-vis hauteur de 17% notamment.
Le vendredi 29 décembre à 16h a lieu la rencontre à la préfecture.
Les salariés qui étaient à Bagnères ont pris la décision d'accompagner la délégation. Tous les soutiens pouvant être présents seront les bienvenus !
Voir les photos. Lire le communiqué des Elus du personnel Vallourec Tarbes et de l'UD CGT

Le rapport de force paye!

La direction de la Poste ouvre les négociations!
Sous la pression des salariés, la direction de la Poste a enfin ouvert de vraies négociations, des engagements ont été annoncés, mais il reste à les traduire dans un protocole d’accord.
Le rassemblement qui était prévu demain jeudi 28 décembre est suspendu, mais la vigilance doit rester de mise tant que le protocole n’est pas finalisé.

Facteurs grévistes de Barbazan!

Une nouvelle fois la direction de la Poste se distingue en démantelant le service aux usagers, en démolissant les conditions de travail de ses salariés tous en spoliant l’argent public soit-disant destiné à la création d’emploi et au maintien du service public de proximité.
C’est maintenant les postiers de Barbazan-Debat qui disent STOP et qui sont en grève depuis ce mercredi 20 12.
Lire le tract distribué au usagers.

ARKEMA Lannemezan

Grève à ARKEMA Lannemezan hier et aujourd’hui 22/12 sur les salaires:
les salariés d’ARKEMA se sont mis en grève hier à l’appel de la CGT pour peser sur les négociations salariales, le mouvement d’appel se prolonge aujourd’hui.
Lire l'appel distribué au personnel.

Licenciements CAF!

Le jeudi 21 décembre nous étions une centaine devant la CAF de Tarbes contre des licenciements abusifs à la crèche de Laubadère!
Nous nous opposons au licenciement abusif d'une puéricultrice de la CAF pour insuffisance professionnelle.
Durant ce rassemblement 65% des personnels de la CAF étaient en grève.
Voir les photos.
Lire l'appel distribué au personnel.

Gattaz dans les Hautes-Pyrénées
il n'était pas bienvenu!

Il est venu causer de relocalisation, d'aménagement du territoire, il y a de quoi s’étrangler de rage, c’est l’incendiaire qui se targue d’éteindre le feu qu’il a lui-même alimenté…
Ce monsieur, n’est pas le défenseur des entreprises, il défend les intérêts des vrais assistés de ce pays : LES ACTIONNAIRES !
Politique du MEDEF: 4500 emplois détruits dans les Hautes-Pyrénées depuis 7 ans !
Le MEDEF détruit:
- de Droits pour les salariés,
- d’Investissements
- 4500 emplois dans le 65
- de Services Publics
= + de Dividendes aux actionnaires.
C'est pourquoi une centaine de manifestants sont allé le lui dire. Courageusement ce personnage est arrivé discrètement et a pénétré sans le local par une porte dérobée.
Voir les photos.
Lire la déclaration lue au cours du rassemblement.

Ordonnances Macron
un millier dans les rues de Tarbes

Le 16 11 2017 à Tarbes, environ un miller de manifestants défilaient contre les ordonnances MEDEF/Macron et le recul social à l'appel des organisations CGT, Solidaires, FSU, FO et de jeunesse (UNL, Fidl, Unef) comme dans 172 communes.
Cohérent dans l’application au pas cadencé de son projet politique, le gouvernement frappe vite et fort, il lance une guerre éclair contre les travailleurs pour les mettre KO.
Pour le Medef: "le gouvernement est sur le point de remporter une importante victoire politique". En d'autres termes, la partie est jouée: "rentrez chez vous et dormez braves gens. On s’occupe de tout"….
Nos patrons attendent avec impatience de pouvoir appliquer les ordonnances, à nous d'empêcher celles-ci d'entrer dans les entreprises...
Et d'autres dossiers lourds arrivent comme l’assurance chômage et l'assurance-retraites, l'apprentissage et l'avenir des services publics.
A moins d'être d'accord avec un recul social d'un siècle la lutte continue.
Lire le communiqué confédéral CGT.
Lire la déclaration.
Voir des photos de Tarbes.

Les Postiers de Pierrefitte
un exemple a suivre!

Les facteurs du centre courrier de Pierrefitte ont fait grève du 26 octobre au 8 novembre. Ils ont obtenu gain de cause sur plusieurs revendications.
Le personnel, en partant de leurs conditions de travail, a élaboré un argumentaire précis des moyens et de l’organisation de travail dont ils avaient besoin.
Lire le tract.

Ordonnances Macron
Les fonctionnaires dans la rue

Le 10 10 2017 à Tarbes, comme dans tout le pays, 3500 fonctionnaires d’Etat, territoriaux, hospitaliers, avec des salariés du privé se sont mobilisés dans l’unité la plus large pour exprimer leur refus de la politique gouvernementale.
Ce gouvernement inscrit ses pas dans ceux des précédents et en rajoute.
Non le service public n’est pas une charge, c’est le patrimoine de ceux qui n’en ont pas! Non les droits des salariés ne sont pas l’ennemi de l’emploi!
Non ce président et ce gouvernement n’ont pas reçu le mandat du peuple pour détruire l’Etat Social!
Ce qui pénalise notre pays, ce n’est pas le droit du travail, les fonctionnaires et le service public, c’est bel et bien le coût du capital!
Lire la déclaration commune devant la préfecture.
Lire le communiqué CGT Fonctions Publiques.
Voir des photos de Tarbes.

Ordonnances Macron
Les retraités dans la rue

Après la CASA 0.3%, le gel des pensions depuis 4 ans, les complémentaires depuis 3 ans, la 1/2 part des veuves et veufs supprimée... l'augmentation de la CSG de 1,70% pour compenser la baisse des cotisations sociales, au prétexte de créer de l’emploi comme il le dit, le Medef et Macron amputent gravement le pouvoir d’achat des retraités et des veuves déjà lourdement pénalisés.
Cela de fait, va faire augmenter le chiffre horrifiant de neuf millions et demi de personnes que compte la France, qui vivent en dessous du seuil de pauvreté dans un des dix pays les plus riches au monde.
C'est pour tout cela que les retraités ont manifesté le 28 septembre:
- A Bagnères de Bigorre à 10h30 150 devant la sous-préfecture pour remettre une motion.
- A Tarbes à 15h place de Verdun et 500 ont porté une motion à préfecture

Lire la déclaration commune à Tarbes.
Voir des photos de Bagnères.
Voir des photos de Tarbes.
En l’absence du député après échange il a été convenu d’un rendez-vous rapide pour ce mardi 3 octobre à 9h à sa permanence.
Nous vous appelons à revenir nombreux pour rencontrer le député Sempastous 10, rue Sainte Blaise à Bagnères de Bigorre.
Lire le communiqué de l'UCR CGT

Ordonnances après le 12 le 21

Pour nos droits sociaux, les salaires et les services publics nous refusons toujours le traitement MEDEF/Macron.
Lorsqu’on a été élu président de la République par 18 % des inscrits au premier tour et que votre mouvement a encore reculé de plus de 2 millions de voix aux législatives, on a peut-être un permis de gouverner, mais certainement pas la légitimité de remettre en cause le modèle social français pour le bénéfice d'une minorité.
Le 21 09 nous étions 3000 dans la rue pour le dire haut et fort de la Bourse du Travail à la place de Verdun.
A 14h des tracts détaillant les ordonnances ont été distribués au péage Tarbes-Ouest.
Lire la déclaration commune.
Voir des photos de la manif.
Voir des photos du péage.

Ordonnances du Dr Macron

Entre 3500 et 4000 dans les rues de Tarbes pour refuser les ordonnances MEDEF/Macron et le retour plus de 100 ans en arrière qu'elles vont imposer à toutes et tous.
Actifs, retraités, jeunes, moins jeunes du secteur privé ou public à plus ou moins loin termes nous serons impacter par ces "lois".
Dans la rue on combat le dynamitage des droits collectifs construits et conquis pied à pied par les travailleurs, le renforcement de la branche au détriment du code du travail et le renforcement des accords d'entreprise au détriment de la branche et de la loi sur des questions de rémunérations, mais aussi les congés maternité, les CDD ou les contrats de chantier, la fusion des institutions représentatives du personnel, la généralisation du droit de licencier...
La cohérence des ordonnances les unes entre les autres est terrifiante: les conditions des salariés seront discutées dans l'entreprise, débarrassée de toute organisation collective.
C'est le retour du gré à gré entre le salarié et son employeur qui détient le pouvoir absolu !
Rendez-vous est donné pour le 21 puis avec les retraités le 28. Durant la manifestation les "fainéants, cyniques et extrémistes" ont fait une collecte pour les sinistrés des îles touchées par Irma car eux agissent.
Voir des photos
Lire la déclaration commune. Analyse ordonnance avant/après. Analyse ordonnance avant/après.

LE MUR est tombé!
La MOBILISATION doit continuer!

Le rassemblement organisé mercredi à l’initiative du collectif de partis politiques, associations et syndicats1 a été un succès.
400 personnes sont venues exprimer leur rejet des méthodes employées par quelques individus ayant construit un mur dont le seul objectif était d’empêcher les travaux d’aménagement de l’hôtel formule 1 de Séméac voué à accueillir des demandeurs d’asile.
C’est bel et bien la mobilisation citoyenne qui a conduit à la destruction de ce mur de la honte hier matin.
De même c’est elle qui a permis le maintien de la table ronde qui se tiendra en Préfecture vendredi 28 juillet à partir de 11 h 00 et que celle-ci puisse être ouverte aux associations reconnues pour leurs actions auprès des demandeurs d’asile.
La CIMADE, RESF ainsi que la Ligue des droits de l’homme seront donc associés à cette table ronde.
Mais le combat n’est pas terminé, loin de là.
Il s’agit aujourd’hui comme demain de maintenir la mobilisation citoyenne pour que les familles qui arriveront dès la mi-août soient accueillies dans les meilleures conditions possibles.
Il nous faut rester vigilants pour que le respect des droits des populations déjà durement éprouvées soit assuré.
Nous n’avons que trop en mémoire ce qui a pu se passer, et continue de se passer, à Calais ou sur d’autres territoires de notre république.
Donc PLUS QUE JAMAIS : VIGILANCE et MOBILISATION !
RASSEMBLEMENT VENDREDI 28 JUILLET à partir de 11 h 00 devant la Préfecture des Hautes Pyrénées .
Il est important que la présence citoyenne soit importante et visible, des représentants nationaux du gestionnaire du centre ( ADOMA ) se déplaçant exceptionnellement.
1Collectif : RESF 65, CIMADE 65, LDH 65, MRAP 65, ATTAC 65, CGT 65, FSU 65, Solidaires 65, FRANCE INSOUMISE 65, PCF 65, PS 65, NPA 65, ENSEMBLE ! 65 ,EELV 65.
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Ordonnances macron

Pour appeler à la journée de grève et d'action du 12 septembre contre le projet de "loi travail" l'UD CGT a organisé une distribution de tracts au marché Marcadieu à Tarbes.
Il faut imposer un code du travail qui protège les salariés et non les mesures envisagées par les ordonnances Macron. Elles sont toutes régressives et taillées sur mesure pour satisfaire les patrons.
Le patronat et le gouvernement ne font pas relâche durant l'été, la CGT ne lâchera rien et sera sur le terrain durant l'été.
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Ordonnances macron

Pour appeler à la journée de grève et d'action du 12 septembre contre le projet de "loi travail" l'UD CGT a organisé une distribution de tracts au marché Marcadieu à Tarbes.
Il faut imposer un code du travail qui protège les salariés et non les mesures envisagées par les ordonnances Macron. Elles sont toutes régressives et taillées sur mesure pour satisfaire les patrons.
Le patronat et le gouvernement ne font pas relâche durant l'été, la CGT ne lâchera rien et sera sur le terrain durant l'été.
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Tour de France
Défense du service public et ordonnances Macron

Le 13 07, à l'occasion du passage du Tour de France à Tarbes, la CGT a appelé à se rassembler sur l'esplanade devant le centre des finances.
De nombreux militants ont répondu à l'appel et ont décoré comme il se doit les lieux pour manifester notre présence repérée et saluée par de nombreux véhicules de la caravane faute l'être par la TV.
Le véhicule de la NVO qui suit le Tour a apporté son soutien technique a ce rassemblement.
Durant ce temps des militants de la CGT 65 étaient à Lourdes avec une autre caravane, celle des saisonniers, venues rappelé à ceux-ci qu'ils avaient des droits et leur donner une brochure explicative.
Comme tous les étés la CGT ne sera pas inactive et ses militants seront présents partout où cela sera possible.
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Finances, services publics:
comme ailleurs on ne lâche rien à Lannemezan

Le 11 07, à l'appel des syndicats des finances publiques (CGT,FO et Solidaires) a eu lieu un rassemblement devant le centre des finances publiques de Lannemezan pour le maintien du service des impôts des entreprises de Lannemezan et pour la sauvegarde des services publics de proximité en général.
Devant des militants et des élus, le secrétaire des la CGT, José Navarro, a démontré la nocivité que représente la décision de la direction.
«Ce service va rester là. Les élus locaux ont leur mot à dire. Il ne faut pas se résigner. Une pétition des personnels des finances a déjà recueilli 200 signatures. Une pétition pour le public va être lancée.
Nous sommes également en contact avec des élus locaux qui ont prévu de prendre des délibérations pour le maintien plein et entier de ce service à Lannemezan».
La responsable de Solidaires a ajouté: «Il faudra une heure aux usagers depuis les vallées pour rejoindre le centre des finances de Tarbes. Où est le service public de proximité ?»
Ensuite des agents ont affirmé leur volonté de rester travailler dans ce milieu qu'il connaissent et apprécient, au près des populations.
D'autres centres, Trie et Ossun, sont en danger dans notre département.
Le représentant de la CGT hôpitaux de Lannemezan outre son soutien à la défense du services des finances, a rappelé les dangers qui menacent la santé publique sur les Hautes-Pyrénées, comme ailleurs, se demandant se que l'on allait transmettre aux générations futures.
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Rencontre avec les députés du 65

Vendredi 7 juillet à 17 H 00, nous avons pris l’initiative d’interpeler les députés du département à la permanence parlementaire de Mme Dubié, où se trouvait également M. Sempastous avec une cinquantaine de personnes.
Les différences politiques entre les deux députés ne nous ont pas franchement sauté aux yeux et le moins que l’on puisse dire c’est que le nouvel élu départemental était loin d’être au fait du contenu de la loi d’habilitation qui lui sera soumise au vote très prochainement.
Du côté de Mme Dubié, si nous avons entendu qu’elle défendrait des amendements ( dont on connait le sort au regard de la majorité écrasante dont dispose Macron et son gouvernement ) elle ne s’est pas engagé sur un vote négatif sur la loi d’habilitation donnant la possibilité au gouvernement de détruire en deux mois 120 ans d’histoire sociale de ce pays par voie d’ordonnances inamendables.
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La Palombe Bleue
Au revoir!!!

A l'appel de la CGT et des collectifs "Oui au train de nuit" et "Rendez-moi mon train" un rassemblement a eu lieu à la gare de Tarbes à l'occasion de son dernier passage programmé à ce jour.
Malgré son arrêt voulu par la direction de la SNCF et du gouvernement la lutte continue pour créer les conditions pour la remise en circulation de ce train.
Lire le tract de la CGT des cheminots HP/Comminges.
Lire le tract des collectifs.
Voir des photos du rassemblement

Refus des ordonnances Macron

Environ 200 manifestants au rassemblement place de Verdun à l'appel de la CGT, FSU et Solidaires.
6 heures d'écoute à chaque syndicat est la démocratie du banquier-président.
Pourtant un changement de fond en comble du Code du travail est prévu par le MEDEF et le gouvernement.
Le travail de nuit, le seuil de déclenchement des heures supplémentaires, le référendum d'initiative patronale pour contourner les organisations syndicales majoritaires et pas coopératives, la fusion des instances de représentations des salariés entre autres seront mis en place pour détruire un Code du travail protecteur des employés.
Ce n'est pas le Code du travail qui est responsables des millions de demandeurs d'emploi, mais bien la monopolisation des richesses par une minorité contre laquelle le gouvernement ne veut rien faire, bien au contraire.
Lire le 4 pages "code Macron"
Voir des photos du rassemblement

Kéolis/Alezan en grève
Conditions de travail et salaires

Les salariés dénoncent la rupture des négociations sur les conditions de travail et des rémunérations. Alors que la chaleur fait son apparition, seulement 5 bus sur les 20 que compte la flotte de Keolis sont climatisés. Les chauffeurs circulent certains jours avec plus de 40 degrés dans leurs bus, ainsi que les passagers, qui restent moins longtemps dans le véhicule.
Des représentants de l'UD CGT et de l'interpro CGT sont allé les soutenir dans leur action.
En ce qui concerne les négociations salariales: la direction a unilatéralement décidé d'une augmentation de 0,5%, soit 8 euros bruts.
Dans les conditions de travail il faut ajouter le rythme de travail : 6 jours sur 7, avec 12 journées de repos en plus par an, qui sautent régulièrement pour assurer les remplacements. La plupart du temps ils ont les plannings le vendredi pour la semaine suivante, ce qui complique les vies de familles.
C'est près de 80% du personnel qui était en arrêt de travail.
Un préavis valable jusqu’à la fin du mois de juillet 2017 a été déposé, cette journée de débrayage est une première étape. S'ils ne sont pas entendus les salariés envisagent d’autres actions dans un délai rapide.
Voir des photos

8 mai 2017
hommage aux étrangers morts pour la France

La cérémonie organisée par RESF 65 en mémoire des étrangers morts pour la France dans les Hautes-Pyrénées c'est déroulée après la cérémonie officielle du 8 mai.
Une banderole portant le nom de ces victimes a été déployée, leurs noms lus par des participants après que fut chantée "l'affiche rouge".
Elle fut remise symboliquement aux associations:
ADIRP : Association Départementale des Internés Résistants Patriotes;
AFMD : Amis de la Fondation pour la Mémoire de la Déportation;
AAGEF-FFI65 : Amicale des Anciens Guérilleros Espagnols en France-F.F.I.65;
ANACR : Association nationale des anciens combattants de la Résistance;
AFCAMDR : Association des Fondateurs Continuateurs et Amis du Musée de la Déportation et de la Résistance.
Voir des photos

1er mai 2017

On nous martèle que le contexte économique et social ne laisserait entrevoir aucune perspective réjouissante. Seuls les lendemains sombres et douloureux seraient la solution inéluctable.
Pour les 2000 manifestants à Tarbes et les 200 à Bagnères il peut en être autrement!!
Le pseudo-socialiste Hollande, celui-là même qui se disait l’ennemi de la finance n’a cessé avec son gouvernement de détruire tout ce qui a fait l’édifice des garanties sociales dans ce pays depuis la libération, pour la plus grande joie du MEDEF.
Dans le même temps, le monde syndical a connu une véritable chasse aux sorcières, avec la remise en cause des droits syndicaux et la multiplication des procès intentés aux organisations syndicales et à leurs militants.
Ceux qui ont permis que cette désespérance sociale prenne racine, portant la lourde responsabilité de la montée du Front National et de ces idées nauséabondes dans notre pays.
Lire l'intervention intersyndicale avant la manif.
Après l'intervention de Manu Espejo, secrétaire de l'UL de Tarbes, la parole a été donnée au représentant de RESF
Lire l'intervention de RESF 65.
Voir des photos de la manif et du moment de convivialité.

Gare de Pau:
sauvegarde de La Palombe!!!

Vendredi 14 avril, les opposants à la fermeture du train de nuit la "Palombe bleue", prévue pour juillet prochain, se sont rassemblés à la gare de Pau.
Outre les cheminots des Pyrénées Atlantiques (Pau, Bayonne, Hendaye, Puyoô), les cheminots de Tarbes et du Comminges ont fait le déplacement.
Des militants d'associations des usagers, politiques ()EELV, PCF, La France insoumise) sont venus défendre ce train de nuit déclaré d’utilité publique.
Pierre Laurent et Mme Dubié (députée du 65) étaient également présents lors de la réunion publique avec laurent Brun secrétaire général de la fédération CGT des cheminots.
Ensuite les manifestants se sont rendus en cortège sur les quais de la gare pour accueillir la Palombe Bleue.
Lire l'appel
Voir des photos.

Haro sur les pensions de retraite!!

30 03: Neuf organisations syndicales et associatives ont appellé les retraité•e•s à une nouvelle journée de mobilisation nationale sous des formes multiples.
Voir compte rendu page USR 65

SCANDALEUX!

Les salariés de Qualiduck interpellent de nouveau EURALIS, la réponse du groupe et des pouvoirs publics à une solution négociée: l’évacuation par les forces de Police!
Le 21 03 vers 16h30, une trentaine de manifestants accompagnaient les salariés licenciés de Qualiduck, toujours en attente d’une solution négociée pour faire valoir leurs droits dans l’envahissement du siège social d’Euralis à Pau.
Après de nombreux échanges infructueux, vers 20h30, les manifestants ont été expulsés par la force publique. Malgré les solutions proposées par les salariés d'accepter un départ des locaux en échange d'une date de négociation, nous avons été confronté à une fin de non recevoir.
Cette attitude tant de la part du préfet qui a ordonné l'évacuation que de la direction d'Euralis qui l'a réclamé, est proprement scandaleuse. Il n’est pas acceptable que les pouvoirs publics interviennent dans un lieu privé d’autant que la demande exprimée était l’engagement d’un dialogue.
Avec les salariés, nous n'en resterons pas là et continuerons d'agir pour réintégrer les salariés dans leurs droits.
Voir des photos.
L’UD CGT appelle à faire vivre la souscription financière dans un contexte où la plupart vont se retrouver près de 5 mois sans revenu.


Développement industriel et service public.

Pas d'industrie sans services publics, pas de services publics sans industrie!!
Pour porter nos exigences en matière de service public de qualité et de proximité et en matière de reconquête de l’emploi industriel sur notre territoire une centaine de militants s'est rassemblée le 21 mars à 12h au Conseil Departemental pour demander où en était la commission annoncée par son Président.

Un miracle pour la palombe!

Après l’action unitaire "oui au train de nuit" de février à Tarbes, un rassemblement a eu lieu à la gare de Lourdes le 17 03 pour demander « un miracle pour la Palombe! ». 120 personnes sont venues dire non à cette suppression.
Pour conserver ce train de nuit après le mois de juillet, signez et faites signer les pétitions autour de vous : ici ou ici
Et pour aller plus loin, ceux qui sont très fâchés de la suppression des trains de nuit peuvent :
• écrire à M. François PHILIZOT, Préfet chargé de la concertation sur les trains Intercités, Ministère de l’Écologie, Hôtel de Roquelaure, 246 boulevard Saint-Germain 75007 PARIS
• Témoigner de vos désagréments d'usagers car c’est très utile! Merci d’envoyer une copie des témoignages!
Voir des photos du rassemblement.


Journée pour les Droits des femmes.

08 03: 150 manifestantes et manifestants ont participé à la marche dans le cadre d'un appel du collectif pour le droits des femmes et des organisations CGT, FSU, Solidaire ainsi que de plusieurs associations.
Le rassemblement était organisé à 16h place Verdun. La manifestation s'est dirigée vers la Bourse du Travail. A 18h, à la Bourse du Travail, paroles de femmes suivies de témoignages de femmes en lutte de la clinique de l'Ormeau au travers d'un visionnage de photos de leur combat.
Ensuite la projection gratuite du film "L’homme qui répare les femmes" a été organisé au Centre Albert Camus de Séméac, à l’initiative du Planning Familial 65 et du Ciné des CE et des COS des collectivités territoriales.
Voir des photos et une vidéo de la manifestation.

Comme partout en France: manif à Tarbes.

07 03: Partout en France, des dizaines de milliers de salariés de la santé, des organismes sociaux, de la fonction publique d’État et des collectivités territoriales se sont mobilisés, avec les organisations CGT, FO, Solidaires et FA-FP, pour dire leur ras-le-bol de leurs conditions de travail, de l’épuisement professionnel, de leurs salaires insuffisants, du manque de personnel et de moyens.
Tous exigent un service public de qualité pour répondre aux besoins des usagers et non voué à la recherche effrénée de la rentabilité.
À Paris, 35 000 manifestants ont défilé. En territoires, plus de 50 manifestations ont été décomptées ainsi que de très nombreux établissements en grève.
500 Manifestants se sont retrouvés à Tarbes (65) au départ de la manif devant la clinique de l’Ormeau.
Le lieu était volontairement symbolique pour dénoncer l’attitude revancharde de la direction qui a décidé de sacrifier une salariée gréviste en la licenciant purement et simplement et s’assoit sur de nombreux points de l’accord de fin de conflit conclu il y a près de 2 mois.
Le cortège s’est ensuite rendu à l’ARS avec une interpellation du Directeur territorial sur la situation de l’organisation des soins sur le département et sur la clinique de l’Ormeau.
La manifestation s’est prolongée vers la mairie de Tarbes et à son arrivée de nombreux témoignages se sont succédés sur l’enjeu des services publics (FAPT, Energie, Finances, Cheminots, Territoriaux, Organismes sociaux, Santé publique et Santé privée) et sur la situation particulière au sein de l’entreprise Qualiduck qui a licencié ses salariés pour fait de grève.
La mobilisation a été forte dans les secteurs de l’Énergie avec des salariés qui restent toujours mobilisés, comme tous les mardis depuis plusieurs semaines, pour la revalorisation des salaires et contre la casse des industries électriques et gazières. A la production hydraulique, 78 centrales des Pyrénées étaient à l’arrêt avec une baisse de 741 Mégawatts dans l’Unité et 68% de grévistes. A la distribution d’Electricité et de Gaz, les salariés ont organisé le blocus d’une base technique sur Pau.
Lire le communiqué confédéral CGT.
Voir des photos et une vidéo de la manifestation.

Sauver "La Palombe"!

17 02: La CGT cheminots Hautes-Pyrénées/Comminges et des associations d'usagers ont organisé une soirée pour la sauvegarde du train "Hendaye-Tarbes-Paris": "La Palombe bleue".
Cette soirée se passait à l'ex-cantine SNCF puis à la gare de Tarbes pour accueillir les voyageurs de ce train, en leur offrant café, jus de fruit et gâteaux. Ils pouvaient signer la pétition pour le maintien de "La Palombe".
La mobilisation de la CGT, des usagers et des élus a permis de conserver le train jusqu'au mois de juillet ainsi que "Hendaye/Toulouse" 4 fois par jour aller/retour.
La présidente de la région Occitanie, Carole Delga, après les états généraux du rail en Occitanie a proposé à la SNCF et à l'état de faire converger tous les trains de nuit de la région vers Toulouse pour n'en faire qu'un seul qui remonte vers Paris.
Il S'agit du "Rodez-Paris" et du "Latour-de-Carol-Paris", qui ne sont pas supprimés mais aussi, du "Cerbère-Paris", qui n'existe plus et du "Tarbes-Paris", qui remplacerait le "Hendaye-Tarbes-Paris" actuel.
En effet la SNCF juge que suite à l'ouverture de la ligne grande vitesse "Hendaye-Paris", il n'est pas nécessaire de maintenir un train de nuit jusqu'à Hendaye.
Lourdes et les pèlerins ne sont pas pris en compte par la SNCF dans ce simulacre de service public.
Jeanine Dubié, députée des Hautes-Pyrénées, qui participait à la conférence/débat a confirmé que les «discussions entre la région, l'état et la SNCF, sur la proposition de Carole Delga se poursuivaient».
La ligne "Luchon-Montréjeau-Paris", pourrait fonctionner à nouveau suite à 3 ans de luttes prouvant que rien n'est ni gagné ni perdu d'avance.
Le maintien des trains de nuit relève d'une question d'égalité et de survie des territoires.
Voir des photos de la soirée.

NON! La solidarite n’est pas un delit!

9 02: à l’appel de RESF, d'associations et de syndicats dont la CGT plus de 130 personnes se sont rassemblées devant le tribunal de Tarbes pour dénoncer le « délit de solidarité » avec les réfugiés.
Elles souhaitent réaffirmer leur solidarité avec les personnes qui fuient leur pays, pour rejoindre l’Europe et la France, pour fuir la peur et les dangers qui règnent sur leur nations.
Comme dans d'autres villes, elles se sont rassemblées en réaction avec les procès des habitants de la vallée de la Roya, pour dénoncer les mesures d’intimidation, poursuites, condamnations de personnes ayant agi en soutien de migrants ou de roms : à Calais, Paris, Norrent-Fontes, Boulogne, Loos, Perpignan, Saint-Etienne ou Meaux.
Voir des photos du rassemblement.

Sanction confirmée pour notre camarade Mylène PALISSE:
honte à ce gouvernement qui bafoue les libertés!

Vous trouverez ci-joint le communiqué commun CGT insertion probation - UGFF-CGT et CGT (confédération) en réaction à la confirmation de la sanction disciplinaire contre Mylène Palisse, conseillère pénitentiaire d'insertion et de probation élue CGT pour son expression dans la presse.
Pour en savoir plus et signer la pétition, cliquer ICI

Qualiduck: maintenant les sanctions!

1 02: le patron sanctionne durement les salariés qui ont réclamé leur droits: c’est inadmissible, nous nous battrons contre ce voyou!
Suite aux deux phases d’entretiens préalables, le patron a décidé de taper fort sur ces salariés pour leur faire payer d’avoir osé réclamer leur dû.
A ce jour, 8 salariés sur les 10 ont reçu la notification de la sanction.
Quatre se voient confirmer la mise à pied avec privation de salaire, quatre sont licenciés et on peut craindre l’annonce d’un licenciement pour les deux derniers.
C’est insupportable! Rendez-vous:
- Vendredi 3 février à 9h00 devant la Bourse du Travail, pour peser de nouveau sur les pouvoirs publics, pour qu’ils mettent tout en œuvre pour empêcher ces licenciements.
L’état porte une responsabilité dans le dossier puisque l’employeur se saisi d’une affaire de stage exigé par les pouvoirs publics pour sanctionner les salariés qui ont dénoncé une fausse formation
- Mercredi 8 février à 13h30 devant la Bourse du Travail pour ensuite mener une action devant le siège social d’Euralis à Lescar.
Nous invitons largement pour participer à cette initiative visant à mettre la pression sur le groupe EURALIS.

La CGT rencontre les saisonniers…

Pour le deuxième hiver, deux caravanes ont sillonné les massifs montagneux du 16 janvier au 10 février 2017, réalisant ainsi près de 50 initiatives.
Les objectifs de cette campagne sont multiples:
• informer les saisonniers sur leurs droits, 65 % d’entre eux disent ne pas les connaître;
• interpeller les vacanciers sur les conditions de vie et de travail souvent précaires des saisonniers;
• donner le contact de la CGT au niveau local, pour permettre aux saisonniers pendant ou après la saison de venir nous consulter.
Une des deux caravanes a fait étape dans les Hautes-Pyrénées. Peyragudes le 25 janvier et Cauterets le 26 janvier. Les militants ont distribué le guide aux saisonniers accompagné d’un tract et aux touristes un tract spécifique.
L’accueil, tant des salariés saisonniers que des touristes, a été très bon.
Voir les photos.

Qualiduck: maintenant les entretiens préalables!

23 01: ce matin à 9h30 devant le site d’Euralis à Maubourguet l'UL de Tarbes, du Val d'Adour et l'UD 65 accompagnés de salariés de l'interpro sont venus soutenir les 5 salariés restant à passer en entretien préalable. Le patron dispose désormais de 48h pour annoncer les sanctions envisagées, mais nul doute qu’il appliquera, comme pour les autres, la notion de faute grave avec licenciement pour avoir soit disant refusé une formation.
Les salariés ont contesté avoir refusé une formation, mais ont refusé par contre de signer un faux selon lequel ils auraient suivi une formation portant sur le bien être animal.
L'après-midi les salariés ont décidé de se rendre aux services vétérinaires de l’Etat à la cité administrative Reffye, pour demander une clarification sur les formations délivrés sur “le bien être animal”.
Les salariés ont donc rédigé un courrier de demande de précisions sur place. La directrice du service, a indiqué que le formation telle que décrite par les salariés ne correspondait pas aux demandes que les services vétérinaires ont formulées auprès des entreprises de la filière. Elle s’est engagée à ce que des précisions soient demandées à la société Qualiduck et que les salariés seraient informés du suivi de cette enquête.
les salariés et une délégation seront reçus demain mardi 24 janvier à 18h par la direction du site Euralis de Maubourguet et par le DRH d’Euralis Gastronomie.
Le patron de Qualiduck ne respecte pas le droit du travail: pas de véritable contrat de travail, pas de reconnaissance des heures supplémentaires, non-respect des dispositions en matière de congés payés… Depuis plusieurs années, il fait l'objet de signalements et de procès-verbaux de la part de la Dirrecte. Il faut que la justice intervienne, que le procureur instruise ces affaires.
L'UD a fait un courrier au procureur de la République pour qu'il instruise ces différents dossiers et c'est portée partie civile.
Voir les photos de la matinée.

Qualiduck: le patron continue à matraquer ses salaries!

Après une grève de plusieurs jours chez Qualiduck à Maubourguet, suite à la grippe aviaire, les salariés avaient suspendu la grève afin d’être placés en activité partielle.
Plutôt que de négocier et de respecter le code du travail, le patron à placé les 10 salariés grévistes en mise à pied conservatoire et les a convoqués à un entretien préalable.
Ce vendredi 13 janvier, 5 d’entre-eux étaient convoqués, les 5 autres le seront ce lundi 23 janvier. Le reproche exposé par le patron est d'avoir refusé de travailler suite à la grève alors que les salariés avaient simplement refusé de signer un papier certifiant une pseudo formation qu’ils n’ont jamais effectuée.
Ce mardi 17 janvier à 17H00, le Conseiller Départemental J.Guilhas a reçu les salariés à la mairie. Il était accompagné du maire de la localité. Après échange, les deux élus se sont engagés à écrire un courrier à la Préfète du 65, au patron d'Euralis à Maubourguet ainsi qu'à Pau Lescar (Euralis est le donneur d’ordre), avec copies aux deux patrons de Qualiduck.
Entre temps, les 5 salariés qui ont eu l'entretien vendredi 13 ont reçu un texto de leur patron qui leur demandait de reprendre le boulot ce mercredi 18 à 10h00, la chaine reprenant mais avec 10000 canards seulement.
Tous les salariés étaient donc sur le parking ce matin du 18 janvier pour intercepter le patron, Pierre Panissal. Sur place, il a affirmé que les sanctions étaient levées et que 5 lettres recommandées avec AR était parties la veille pour le confirmer.
Les 5 salariés ont alors repris le travail. Pour les 5 autres, il a alors indiqué qu’étant pris par le temps, il leur annoncerait lundi lors de l’entretien.
Or depuis, les lettres recommandées sont arrivées: les salariés écopent d’une mise à pied avec privation de salaire jusqu’au 17 janvier inclus! Ce patron est un menteur et un voyou!
On peut craindre le pire pour les 5 autres salariés qui sont convoqués ce lundi 23/1.
On ne va pas laisser ce voyou matraquer impunément ses salariés.
Ce lundi 23 janvier, nous en appelons au soutien de ces salariés:
1. en venant soutenir les salariés avant leur entretien ce lundi 23 janvier à 9h30 devant le site d’Euralis à Maubourguet;
2. en participant à une action médiatique devant le siège social d’Euralis à Lescar (à côté de Pau) pour mettre le donneur d’ordre face à ses responsabilités:
rendez-vous à 13h30 devant la Bourse du Travail de Tarbes pour partir en co-voiturage.
Participons nombreux à ces deux initiatives et surtout celle de l’après-midi car le donneur d’ordre doit intervenir, on ne laissera pas un esclavagiste des temps modernes s’assoir sur les Droits élémentaires des Travailleur!

Polyclinique ORMEAU: suite au protocole.


Suite à l'acceptation du protocole par l'AG de grévistes la déléguée syndicale CGT a fait une déclaration. (A lire ci-dessous)
De plus, les salariés(es) ont décidé d’organiser un thé dansant ce samedi 14 janvier à la salle des fêtes de Sarrouilles, vous êtes tous invités à y participer.
Ce sera l’occasion de fêter une nouvelle fois la formidable lutte gagnante des salariés(es) et permettre aussi de recueillir de nouveaux fonds pour alimenter la caisse de solidarité.
Lire la déclaration de laurence Charroy.
Lire le protocole de fin de conflit.

Polyclinique ORMEAU - 64e jour de grève,
protocole accepté.

"Celui qui combat peut perdre, mais celui qui ne combat pas a déjà perdu." (Bertolt Brecht).
2017-01-10_com-fin-conflit 10 01: les 3 derniers points qui faisaient débat sont acceptés par la direction.
En assemblée générale les grévistes ont voté la signature du protocole d'accord.
Ensuite ils ont voté la reprise du travail le jeudi 12 à 7h.
Voir des photos de l'AG.
Lire le communiqué de fin de conflit.

Polyclinique ORMEAU - 63e jour de grève,
projet de protocole suite.

9 01: l’Assemblée Générale des salariés en lutte a examiné ce jour les dernières propositions de la direction.
A ce jour, 3 points restent bloquants pour les salariés. Il s’agit pour la plupart, de points sur lesquels la rédaction du médiateur est jugée plus favorable pour les salariés:
- la prime de 700 euros pour TOUS;
- Les Agents de Service Hospitalier: ils demandent à ce que celles qui sont dans les services de soins restent intégrées aux services de soins;
- Sur la dissociation de l’Hospitalisation de Semaine et de la Chirurgie conventionnelle, ils demandent que les salariés actuellement en poste puissent être garantis dans leur choix d’affectation.
En attendant la nouvelle version du projet de protocole les grévistes ont reconduit la grève.
Une nouvelle AG aura lieu mardi 10 pour étudier ce document et prendre une décision.

Polyclinique ORMEAU - 61e jour de grève,
projet de protocole.

7 01: Enfin! Un projet de protocole de fin de conflit a été transmis par la direction ce samedi 7 01 au bout de 61 jours de grève et d'actions déterminées.
Il a été étudié et amendé par les salariés grévistes de la clinique en présence de Philippe Martinez et de Mireille Stivala.
Les négociations ont eu lieu au cabinet du 1e ministre en présence du secrétaire général de la CGT et de la secrétaire générale de la Fédération CGT Santé et Action sociale. Ils y ont porté les revendications des grévistes tarbais.
Les amendements ont été remontés à la direction du groupe. Lundi les grévistes, en AG, se pronoceront sur le protocole qui leur retournera le groupe.
Les salariés en grève souhaitent aboutir à un accord final honorable, qui soit de nature à sortir de ce conflit.
Les actions qui ont été menées et fortement médiatisées ont fait, enfin, bouger la direction et les pouvoirs publics.
Voir des photos de l'AG.

Polyclinique ORMEAU - 60e jour de grève,
bonjour, M. Le maire

6 01: suite à l'AG du jour, troublée par des non-grévistes parfois agressifs, les grévistes ont décidé d'aller voir M. le maire de Tarbes pour lui signifier leur mécontentement au sujet de ses propos tenus dans la presse et lors des voeux aux tarbais. Il lui a été rappelé qu'un référendum pendant une grève été illégal. (Méconnaissance ou oubli volontaire?)
Demain, P. Martinez et Mireille Stivala (secrétaire générale de la Fédération CGT Santé et Action sociale) seront à Tarbes à l'AG des grévistes pendant laquelle ils espèrent pouvoir étudier un protocole écrit de fin de conflit en bonne et due forme.
Lire l'article de Médiapart.
Lire l'article de Tarbes-Infos.
Voir des photos de la rencontre avec M. le maire.
Voir une vidéo de la rencontre avec le maire de Tarbes.

Polyclinique ORMEAU - 59e jour de grève,
DRH: Bordeaux!!

5 01: suite à Toulouse et la réunion avec le Préfet de région qui n'a pas aboutie, la direction refusant la proposition du représentant de l'Etat, les salarié(e)s décident, comme toujours dans ces cas, à la majorité de se rendrent à Bordeaux pour rencontrer le DRH.
En lieu et place de celui-ci refusant de les rencontrer ce sont des policiers qui les accueillent.
Les salarié(e)s se rendent alors dans une clinique de Pessac appartenant à Médipôle et l'occupent.
A Tarbes, à la soirée des voeux deu maire de la ville, voulant un référendum interne à la clinique, des infirmières s'invitent et y prennent la parole.
La direction du groupe a fait savoir qu'elle accepté les propositions du médiateur par voix de presse.
Une AG décidera de se qui suivra.
Lire l' article de Médiapart.
Lire le communiqué de prese.

Polyclinique ORMEAU - 58e jour de grève,
le combat continue!!

4 01:Après l’échec de la rencontre avec les représentants du groupe Médipôle Partenaire sous l’égide du préfet de région Occitanie hier soir à Toulouse et 57 jours de grève : LE COMBAT CONTINUE.
La réunion s’est finie très tard hier soir, c’est à dire ce matin à 2 heures. La direction de la polyclinique de l’Ormeau ainsi que le PDG du groupe étaient présents, dans leurs réponses aux salariés ils ont peu évolués.
Après 4 heures de “débat” l’ultime proposition formulée par le préfet de région a été refusée par le PDG Gravier alors même que la délégation des salariés était disposée à la soumettre aux salariés en grève à l’assemblée générale de 9 heures.
Ce groupe financier de la santé à but lucratif malfaisant à souhait détenu par un fonds de pension d’investissement refuse une sortie de conflit et continue à jouer le pourrissement après 58 jours de grève et non les salariés et la CGT.
De fait, les salariés ne désarment pas, leur courage et leur détermination étant incroyable, ils se sont rendus à Toulouse gare Matabiau pour l’investir.
Un cortège de forces de l’ordre les attendait. Suite à cette confrontation deux salariés ont été blessés. Cette action nous a permis en préfecture d’obtenir un lien avec le cabinet du premier ministre.
La délégation présente nous fera part de la tenue des discutions.
Toujours dans la lutte les salariés NE LACHENT RIEN. Toute la CGT continue à leur porter le soutien qu’ils méritent.
Signer la pétition mise en ligne.
Participer à la solidarité financière en utilisant la souscription en ligne.

Polyclinique ORMEAU - 57e jour de grève,
réunion à la Région.

3 01: La réunion tripartite était convoquée demain aujourd'hui à la préfecture de Région à Toulouse sous l’autorité du Préfet et avec la participation des représentants de l’état en région (ARS et DIRECCTE) et de la direction de Médipole-Partenaire.
Au cours de l'AG de ce jour les salarié(e) ont décidé démocratiquement la composition de la délégation et des actions à mener pour peser sur cette nouvelle étape.
Au cours de la journée des tracts à la population ont été distribués pour apporter des explications face aux mensonges de la direction et de ses amis.
Une délégation des personnels en grève est allée à la rencontre des grévistes de Qualiduck à Maubourguet qui commencent leur 2e semaine de grève (Voir article de Tarbes infos).
Demain, mercredi les salariés en AG seront informés des discussions à Toulouse et donneront, ensemble, leur avis et leur décision sur la suite à donner aux négociations et au mouvement.
Voir les photos de l'AG.

Qualiduck

30 12: la direction ne bougeant pas de position, les salariés sont encore en grève à près de 50%.
Les intéressés sont décidés à obtenir satisfaction à leurs revendications avec le soutien de la CGT.

Polyclinique ORMEAU - 53e jour de grève,
la mobilisation ne faiblit pas!!!

30 12: Après l’occupation du siège régional de l’ARS à Montpellier, les actions au conseil départemental des Hautes-Pyrénées, les salariés en grève réunis en assemblée générale le 30 décembre ont reconduit la grève à l’unanimité pour le lundi 2 janvier 2017.
Ils et elles exigent des pouvoirs publics et notamment du 1er Ministre qu’il prenne ses responsabilités et impose à ce groupe de négocier réellement, ce qui n’a jamais été le cas depuis le début du conflit.
Ils et elles vous donnent rendez-vous devant
la polyclinique d’Ormeau-Centre
lundi 2 janvier 2017 à 8 h 00.

Lire le communiqué de presse des salarié(e)s.
Voir les photos de l'AG.

Polyclinique ORMEAU - 52e jour de grève,
information des tarbais.

29 12: aujourd'hui distribution de tracts au marché du Marcadieu le matin.
Après-midi distribution à la clinique et rond point Leclerc.
A Montpellier les salariés à l'ARS s'apprêtaient à revenir en Bigorre.
Lire le tract.
Voir les photos de Tarbes.
Voir les photos de Montpellier.

Polyclinique ORMEAU - 51e jour de grève,
des élu(e)s départementaux à l'écoute.

28 12: 11h des grévistes de la clinique et des personnes venues les soutenir entrent dans la salle du conseil départemental avec le directeur adjoint des services du Département.
Ils lui ont demandé à rencontrer le président ou/et des élus. Des élus ont écouté les grévistes et ont échangé avec eux. Ils ont annoncé aux salariés que le Président avait agit auprès de médias nationaux et qu'il aidait actuellement la directrice de l’ARS à essayer d’organiser une rencontre, à Paris, entre les représentants des deux ministères, une délégation de grévistes, la CGT et le groupe Médipôle Partenaires.
Pendant ce temps, à Montpellier, l'ARS hébergeait toujours des manifestants tarbais qui étaient reçus par la directrice. L'hégergement durera jusqu'au lendemain.
A Tarbes suite à l'entretien avec les élus les salarié(e)s ont eu droit à un repas offert par les services de la Mairie de Tarbes.
Voir les photos de Tarbes.

Qualiduck

26 12: la direction ne voulant toujours pas entamer des négociations avant janvier 2017, les salariés sont donc encore en grève à près de 50%.
Les intéressés sont décidé à ne retourner au travail qu'après la signature d'un accord avec la direction.

Polyclinique ORMEAU - 49e jour de grève,
AG et barrage filtrant.

26 12:
Plus que jamais, la lutte continue!
Suite à l'AG de ce matin à la Bourse du travail, vers 14h les grèvistes et les militants interpro venus en soutien ont effectué des barrages filtrants aux abords de la clinique avec un petit feu pour se réchauffer.
En fin de journée les barrages ont été levés et le feu protégé pour éviter tout accident.
Devant la position inchangée de la direction: plus que jamais, la lutte continue!
Si les avancées en matière de conditions de travail sont une première victoire, les deux recommandations en matière salariale restent très insuffisantes et très éloignées des dernières revendications formulées par les salariés.
Lire le tract.
Voir les photos

Qualiduck

23 12: Pour:
- le paiement ou compensation des heures supplémentaires;
- l'augmentation des salaires;
- L'installation d’une pointeuse;
- Le nombre d’employés par poste de travail;
- L'organisation d’élections de délégués du personnel;
les salariés de la société Qualiduck, sous-traitante d'Euralis à Maubourguet se sont mis en grève reconductible.
La CGT apporte son soutien à ces salariés en lutte.
Cette société est spécialisée dans la découpe de canards.
Le directeur de cette structure est allé voir les grévistes pour les convaincre de reprendre le travail et qu'il n'y aurait pas de négociations avant janvier.
Les intéressés ont décidé de ne retourner au travail qu'après la signature d'un accord avec la direction.
Voir les photos

Polyclinique ORMEAU - 46e jour de grève,
L’ennemi de l’Etat n’est toujours pas la finance !

23 12: aujourd’hui, les salarié(e)s réuni(e)s en assemblée cet après-midi à la bourse du travail ont proposé certaines actions à réaliser la semaine prochaine.
En assemblées générale lundi 26 à 10h30 à la Bourse du travail de Tarbes de nouvelles actions seront envisagées pour la semaine.
Le secrétaire général de la CGT Philippe Martinez a diffusé ce jour un communiqué de presse:
« L’ennemi de l’Etat n’est toujours pas la finance ! 46 jours de grèves pour les salariés de la polyclinique de l’Ormeau à Tarbes ! »
• La CGT refuse que notre système de santé soit soumis aux exigences de dividendes des grands groupes financiers.
• La CGT dénonce sans limite l’attitude du groupe Médipole-partenaires, propriétaire de la polyclinique qui ne poursuit qu’un objectif, mettre ses propres salariés à genoux et réaliser une fusion capitalistique afin de favoriser une cotation en bourse.
• La CGT dénonce l’attitude des pouvoirs publics, du ministère de la santé et de Matignon en tête qui a n’en plus douter, ont eux, démissionné devant la finance.
Plus que jamais, la lutte continue!
Lire le communqué de P. Martinez.
Voir les photos

Polyclinique ORMEAU - 45e jour de grève,
le compte n'y est pas!

22 12: les salarié(e)s ont pris connaissance de la préconisation du médiateur, le compte n’y est pas encore!
L'après-midi, l’Assemblée Générale a décidé d’investir de nouveau le Conseil Départemental pour venir chercher des réponses auprès de son Président.
Suite à la nuit d’occupation du 20 au 21 décembre, celui-ci s’était engagé à être très offensif auprès des ministères pour exiger de leur part des réponses de nature à régler une bonne fois pour toute ce conflit.
Après deux bonnes heures d’occupation, le Président du Conseil Départemental a permis un échange téléphonique entre une délégation CGT et un Conseiller du Premier Ministre en charge du dossier. Cet échange très important à ce moment du conflit, doit être de nature à bien faire mesurer au cabinet du 1er Ministre, désormais en charge du dossier, que les salarié(e)s sont très déterminé(e)s, que leur revendications sont justes et non exagérées et que les moyens existent pour y répondre.
Il semble que les ministères concernés et Matignon s'intéressent au conflit, 45 jours!!! Plus que jamais, la lutte continue!

Polyclinique ORMEAU - 44e jour de grève,
journée d’action élargie à la santé.

Au programme de la journée fin d'occupation du Conseil Départemental, manif, AG et concert.
Après l’échec de la médiation constaté hier et l’occupation qui s’en est suivie au Conseil Départemental jusqu’à ce matin, ce sont plus de 500 personnes qui ont participé à la manifestation des salariés de la santé.
La manifestation est partie du site d’Ormeau-Pyrénées pour se rendre à Ormeau-Centre, le hall et la cafétéria ont été envahis par les manifestants, les prises de parole se sont déroulées à l’intérieur.
En milieu de journée, les salarié(e)s ont pu prendre connaissance des recommandations du médiateur. Les salarié(e)s se sont donnés rendez-vous le lendemain à 14h pour faire le point sur les évolutions des propositions et décider tous ensemble.
Le soir a eu lieu le concert de soutien à la salle de la Gespe (avec CARE, SILVERSIDE, LE QUARTET DU BARON PERCHE, SANGRIA GRATUITE...).
Voir la prise de parole.
Voir les photos

Polyclinique ORMEAU - 42e jour de grève,
premier jour de la médiation..

Après un 41e jour de grève consacré à une récupération compréhensible, ce jour a débuté par une AG.
Ensuite, cette journée a été marquée par la première rencontre avec le médiateur de la République.
Dans un premier temps ont été abordées les questions de conditions de travail qui, au vue des discussions, devraient trouver une réponse favorable de la direction sur l’ensemble des revendications des salariés.
Sur les questions salariales: si la démonstration est déjà faite de la bonne santé financière de la clinique et de la faisabilité des revendications salariales, la direction doit améliorer ses propositions, notamment sur la question de la pérennité de la prime qui serait attribuée ( la revendication actualisée des salariés portant sur une prime de 900 € brut de fin d’année ).
Plus que jamais, la mobilisation est de mise pour peser sur la médiation en cours.
En AG les grévistes ont décidé de distribuer le tract appelant à la manifestation du 21 à 11h15 ()départ devant la clinique Ormeau Centre).
La solidarité continue par la présence auprès d'eux et le soutien financier.
Lire le tract pour le 21 12.
Voir l'affichette pour le concert du 21 12.
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Polyclinique ORMEAU - 40e jour de grève,
rassemblement de soutien.

Ce samedi 17 12, 600 personnes ont participé au rassemblement devant la clinique de l’Ormeau.
Les habitants du quartier, malgré la gène occasionné par les différentes occupations du site, ont même organisé une collecte au profit des grévistes.
Au début du rassemblement il est évoqué la situation de Mylène Palisse, agent du Service de Probation et d’Insertion de l’administration pénitentiaire (SPIP).
En effet elle fait l’objet d’une sanction administrative, sept jours de mise à pied avec sursis, « pour le simple fait de s’être exprimée dans la presse en tant que syndicaliste et citoyenne, à propos de la politique gouvernementale en matière d’insertion ». Mylène Palisse était présente au rassemblement de soutien au personnel en grève. Cette sanction inique doit être abandonnée une bonne fois pour toutes.
Pour la négociation avec Médipôle, la rencontre avec le médiateur aura lieu lundi 20 à 11h à la Cité administrative à cette occasion rendez-vous est donné aux grévistes et soutiens à la Bourse du travail pour une AG à 9h30 puis devant le lieu de réunion avec le médiateur.
Un concert de solidarité aura lieu à la Gespe le 21 à 21h avec des artistes locaux.
La solidarité continue par la présence auprès d'eux et le soutien financier.
Lire l'intervention de F. Dousseau.
Voir l'affichette pour le concert du 21 12.
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Polyclinique ORMEAU - 39e jour de grève,
Noël solidaire.

16 12: Journée consacrée aux enfants des grévistes de la polyclinique de l'Ormeau.
Les enfants ayant droit au noël, des jouets ont été distribués, un gouter offert, un dessin animé projeté dans l'amphi de la Bourse du travail et des ateliers de maquillage, créativité, etc... organisés. Le tout, biensûr, sous le regard bienveillant du Père Noël.
La solidarité continue par la présence auprès d'eux et le soutien financier.
Soutien financier en ligne.
Pétition en ligne.
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Polyclinique ORMEAU - 38e jour de grève,
Pas de "négos" possibles avec des requins!!.

15 12: Après une journée de filtrage à la clinique, les salariés-es qui se trouvaient à la Bourse du travail ont été appelés-es à la préfecture à cause des difficultés qu'avait la délégation avec les requins de la direction.
Aussitôt des pneus et des chaînes ont fait leur apparition devant les issues de la préfecture.
La direction, fidèle à ses méthodes, a cessé toute discussion demandant une médiation qui a été accepté, par la suite, par le personnel gréviste en AG.
A l'issue de l'AG les grévistes ont pu bénéficier de la distribution de légumes offerts par les "fermiers bio"
Un grand rassemblement populaire aura lieu le samedi 17 décembre à 11h devant Ormeau-centre!
Lire le tract pour le rassemblement du 17 12
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Polyclinique ORMEAU - 37e jour de grève,
reprise des "négos" demain.

Dans l'affaire des 17 salariés-es devenus-es 140, le tribunal de Tarbes a débouté la direction de l’établissement de sa demande à leur encontre au grand soulagement de leurs camarades de luttes et de travail.
Avec les "interpros" venus les aider par solidarité mais aussi en tant que patients potentiels, les salariés-es ont fait des barrages filtrants vers la clinique et bloqué la voie publique devant la clinique.
Des clients potentiels déjà inquiets devant les larges dépassements d'honoraires pratiqués, si en plus les personnels n'ont pas les moyens de travailler correctement???
Ce filtrage devrait continuer jeudi toute la journée alors que des "négociations" se dérouleront à la préfecture.
Un grand rassemblement populaire aura lieu le samedi 17 décembre à 11h devant Ormeau-centre!
Lire le tract pour le rassemblement du 17 12
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Polyclinique ORMEAU - 36e jour de grève,
17 salariés-es au tribunal.

17 salariés-es étaient assignés-es devant le tribunal pour dégradations, occupation et séquestrations, termes qu'a osé employer la direction.
Ce sont 140 salariés qui ont attesté par écrit qu'ils étaient soldaires de leurs camarades, la tentative de briser la solidarité des grévistes de la direction est ratée.
Le mouvement n'en est pas pour autant terminé puisque dans le combat qui les oppose au groupe Médipôle Partenaires et face à l'inertie coupable du Ministère de la Santé, les salariés-es réunis-es en Assemblée Générale ont décidé de hausser à nouveau le niveau de la mobilisation. Elles et Ils ont décidé de bloquer les voies d'accès à la clinique d'Ormeau centre mercredi 14 decembre 2016 à partir de 7 h 00 du matin, tout en permettant que soient assurés les traitements de chimiothérapie.
Le tribunal rendra sont jugement le mercredi 14 à 9h30.
Un grand rassemblement populaire aura lieu le samedi 17 décembre à 11h devant Ormeau-centre!
Lire le communiqué sur les assignations
Lire le tract pour le rassemblement du 17 12
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Polyclinique ORMEAU - 34e jour de grève,
Soutien du Dr Patrick Pelloux

"Cette Polyclinique de l’Ormeau-Pyrénées est confrontée à un problème spécifique : l’action des grands consortiums privés qui investissent dans les cliniques privées, pour prendre un maximum de dividendes et les reverser à des fonds de pension étrangers" a déclaré Patrick Pelloux devant les salariés-es et les personnes venus les soutenir.
Pour lui, comme pour nous, cette situation est un problème pour l'avenir : "...est-ce que la Sécurité Sociale et les biens communs sont destinés à abonder les fonds de pension ? La réponse est clairement non ! Il faut absolument préserver le niveau de santé de la population. Avoir laissé les fonds de pension s’emparer du secteur privé de la santé dans notre pays, et profiter de la Sécurité sociale, c’est inacceptable !".
Et de continuer: "Les êtres humains ne sont pas nés pour être en concurrence les uns avec les autres. Ce qui compte dans notre société, c’est de travailler ensemble et de coopérer ensemble. Il faut aussi préserver la proximité des services de santé et l’humanisation qui en découle. La qualité des soins pour tous, c’est l’un des fondements de notre république"
Par ailleur les médecins libéraux des Hautes-Pyrénées, sans prendre parti, ont fait savoir par communiqué: "il s’étonne et s’inquiète de la durée du conflit du personnel salarié et de la direction des deux cliniques".
Les médecins libéraux "redoutent fortement une catastrophe sanitaire à venir dans le département, engendrée par ce blocage". La Coordination "alerte vigoureusement les autorités de tutelles (ARS et Préfecture) des effets néfastes de cette situation"". Les médecins signalent: "L’impossibilité des établissements de soins publics ou privés, départementaux et limitrophes déjà saturés (Hautes Pyrénées, Béarn, Gers ou Haute Garonne), à recevoir convenablement l’afflux de patients : ils nous informent qu’ils n’en ont plus les moyens. L’efficience professionnelle des médecins de ville face à la baisse quantitative et qualitative de l’offre médicale spécialisée qui leur est proposée".
Les médecins libéraux "espèrent vivement que de nouvelles négociations sereines puissent très rapidement désamorcer ce conflit pour l’intérêt de tous, tant des patients que de l’ensemble des soignants" .
Devant l’attitude irresponsable de la direction, face à l’inertie du ministère de la santé, les salariés(es) de la clinique de l’Ormeau ont décidé de hausser le ton.
Elles et ils enjoignent les pouvoirs publics à obliger la direction du groupe à négocier. Pour cela, elles et ils donnent jusqu’à mercredi matin avant d’organiser la fermeture réelle de la clinique par un blocus.
Elles et ils invitent toute la population à ne plus se présenter à la clinique à partir de ce mercredi matin.

Rassemblement devant le tribunal de Tarbes
MARDI 13 décembre 2016 à 9 h 00.

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Polyclinique ORMEAU - 33e jour de grève,
Soutien de Philippe Martinez

En Philippe martinez c'est toute la CGT qui soutien le mouvement exemplaire des salariés-es de la polyclinique.
Il a remis au chèque de 5000 € de soutien de la Confédération et c'est entretenu avec les salariés-es qui le souhaitaient avant le repas en leur compagnie.
A cette visite s'ajoute la nouvelle de la réussite du loto d'hier au soir puisque il a rapporté 11000 €.
En ce qui concerne Wilfrid Zaparoli, le secrétaire départemental de la CGT Santé et Action Sociale, percuté par la voiture d’un cardiologue de la clinique, il doit repasser un scanner pour savoir s'il souffrait d'une fissure au niveau d’une vertèbre.
Il confie qu’il a des douleurs dans le dos et à la nuque suite au coup du lapin. Wilfrid explique aussi qu’il souffre d'étourdissements et de cauchemars la nuit.
Il se dit aussi « dégoûté par l’assignation au tribunal des 17 membres du personnel soignant de la Polyclinique » car il a déposé une plainte contre le médecin le 29 novembre dernier et n'a toujours pas de nouvelles, alors qu’ils devaient le rappeler rapidement.
Pour ceux qui mènent des actions collectives, la justice est très rapide. Mais quand une personne opposée à la grève manque d’écraser un représentant syndical, c’est beaucoup plus lent.
Même si ce n’est pas la même juridiction il ressent l’impression d’un « deux poids, deux mesures » dans cette histoire partagée par toutes et tous.

Rassemblement devant le tribunal de Tarbes
MARDI 13 décembre 2016 à 9 h 00.

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Polyclinique ORMEAU - 32e jour de grève,
La direction ne recule devant rien!!

Après 32 jours de grève le groupe Médipôle Partenaire et la direction de la polyclinique franchissent un nouveau cap dans le cynisme et la provocation.
Ils assignent 17 salariés-es grévistes devant le tribunal de grande instance de Tarbes!!!
Les pouvoirs publics et les élus politiques doivent hausser le ton face à ce groupe financier qui impose jusqu’à présent sa loi alors qu’il tire l’essentiel de ses recettes de la sécurité sociale.
A force d’inertie, le Ministère de la Santé verse dans la complicité pure et simple.
Ces patrons voyous doivent être contraints à négocier !
Les élus au Conseil Départemental des Hautes-Pyrénées, qui ont reçu une délégation de trois salariées pendant leur séance, ont voté une motion en leur faveur.
"Certains salariés sont restés 20 ans au SMIC. Nous demandons donc une juste rémunération. Après 25 jours de grève, vendredi dernier, la direction ne nous a proposé qu’une prime « one shot » de 400 euros bruts et une hausse de 1,5% seulement pour les bas salaires...
Ils sont en train de mettre à mal notre système de protection sociale et l’accès aux soins pour tous. Certaines spécialités n’existent plus qu’à la Polyclinique dans notre département.
Des mesures comme le déconventionnement avec la Mutualité Française posent problème pour la santé publique" a déclaré Laurence Charroy au Conseil Départemental.
Ainsi, nous découvrons aujourd’hui que la direction diffuse, uniquement au personnel non-gréviste, ainsi qu’à la presse, un courrier daté du 8 décembre 2016 à l’attention de la déléguée du personnel Laurence Charroy, dont elle n’a pas eu connaissance, alors qu’il comporte des propositions.
Une nouvelle preuve, s’il en est, des manoeuvres en tout genre de ce groupe, qui n’hésite pas à user du délit d’entrave, pour s’attaquer aux salariés en grève et à leurs représentants. 
La journée s'est terminée à la salle Leo Lagrange à Séméac pour le loto de la solidatrité.
Un très grand succès! 800 personnes y ont participé et un grand nombre n'ont pu entrer la salle étant trop petite, si le parc des expositions de Tarbes avait été accordé...
Rassemblement devant le tribunal de Tarbes
MARDI 13 décembre 2016 à 9 h 00.

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Polyclinique ORMEAU - 31e jour de grève,
La direction continue son jeu dangereux!!

8 12: 1 mois de grève et ce matin, la délégation devait être recontactée pour une possible reprise des négociations.
En guise de contact, comme elle l’avait fait lors des premières pseudo-négociations, la direction a eu le culot de vouloir imposer la délégation des salariés à leur place. Une telle attitude présage mal de sa volonté de négocier. Par cette attitude irresponsable,
- elle ne fait que retarder la tenue de négociations bien réelles et donc la sortie du conflit,
- elle ne fait que renforcer la colère des salariés(es).
Dès ce samedi en fin de matinée, les salariés(es) vont recevoir le soutien direct de Philippe MARTINEZ, le secrétaire Général de la CGT qui viendra sur place à la clinique et partagera le repas avec elles et eux.
Le lendemain, ce sera Patrick Pelloux, le Président de l’association des urgentistes et militant CGT, qui viendra partager le déjeuner des salariés de la clinique ce dimanche.
Venez vous aussi les soutenir, les rencontrer, discuter pour entendre leurs conditions de travail, dénoncer les mensonges et désinformations de la direction et de ces soutiens. Des infirmières ont témoigné comme quoi il n'y avait pas eu de renvoi de patient en chimio comme cela avait été dit.
Des radios (France Info et France Inter) et RMC/BFM pour le télévisuel sont venus s'informer sur place auprès des salariés au travers de témoignages.
Ne pas oublier le loto de solidarité qui est organisé le 9 décembre à 20h30 au centre Léo Lagrange de Séméac.
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Polyclinique ORMEAU - 30e jour de grève,
clinique toujours occupée.

7 12: 30e jour de grève!!
Des médecins et cadres qui se sentent menacés alors que c'est un médécin qui a foncé volontairement en voiture sur les manifestants il y a quelques jours!!!
Journée marquée par la visite de Mireille Stivala, secrétaire nationale CGT Santé et Action sociale venue soutenir le mouvement et faire part des multiples soutiens en provenance de tout le pays.
Le président de la Mutualité Française dans les Hautes-Pyrénées a fait savoir qu'il avait écrit un courrier à son président national, pour lui demander de contacter Marisol Touraine à propos de la situation à la Polyclinique.
Patrick Pelloux, médecin urgentiste, venu à Capvern pour une conférence suite à la pièce de théâtre "Hôpital public: le casse pour la caisse", sera sur le site de la clinique dimanche matin.
Hier, le repas du soir, la garbure, a été offert aux grévistes par nos camarades municipaux tarbais alors que ce soir c'était la paella venue de Lannemezan qui était dégustée après le spectacle "Lutter contre la souffrance au travail" de Christophe Abramovsky
Un loto de solidarité est organisé le 9 décembre à 20h30 au centre Léo Lagrange de Séméac.
Voir affichette de Christophe Abramovsky
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Polyclinique ORMEAU - 29e jour de grève,
occupation.

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La clinique d’Ormeau Centre est restée occupée aujourd’hui.
60 salariés en grève ont par ailleurs investi ce matin le siège de la Fédération Hospitalière Privée à Toulouse. (Voir communiqué joint)
L’occupation du site par les salariés n’est possible qu’avec l’aide des camarades d’autres professions et des retraités. Vous étes toutes et tous invités à venir sur place soutenir ces femmes et ces hommes au courage exemplaire!
UUn loto de solidarité est organisé le 9 décembre à 20h30 au centre Léo Lagrange de Séméac.
Lire le communiqué de presse.
Voir affichette pour le loto
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Polyclinique ORMEAU - 28e jour de grève,
toujours occupée depuis le dimanche 4 décembre.

La clinique Ormeau-Centre est occupée 24h/24h par les grévistes aidés et des représentants de l'interpro.
Soutenir ces femmes et ces hommes au courage exemplaire est une nécessité pour avoir des soins de qualité pour tous.
Leur lutte est la notre!!!
Un loto de solidarité est organisé le 9 décembre à 20h30 au centre Léo Lagrange de Séméac.
Lire le tract sur l'état des "négociations"
Lire le tract sur l'état de Médipôle et Elsam
Voir affichette pour le loto
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Polyclinique ORMEAU - 27e jour de grève :
montage de murs et occupation

La Polyclinique de l’Ormeau est occupée par le personnel en grève depuis le dimanche 4 décembre.
En grève depuis 27 jours les grévistes et leurs soutiens, ont participé à cette action collective afin que la direction du groupe Médipôle Partenaires reprenne la négociation sérieusement et enfin honnêtement sur la base du cahier revendicatif des salariés.
Avec ce début d'occupation des murs ont été montés devant la porte de la facturation et celle donnant accès au Programme des Médicalisations des Surveillances Informatisées.
Les soutenir c'est les aider mais aussi nous aider, nous les possibles patients, face à un groupe dont la grande préoccupation est la santé des dividendes de ses actionnaires.
La polyclinique a le monopole de certains soins (urologie, une grande partie de la cardiologie...).

Polyclinique ORMEAU - 26e jour de grève :
1800 manifestants aux côté des salariés(es) de la Polyclinique de l’Ormeau!!

1800 manifestants dans les rues de Tarbes aux côté des salariés(es) et pour dire NON au business dans la santé, OUI à un véritable service public pour tous avec des soins de qualité et de proximité !
Lire l'intervention du 3 12 2016.
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Polyclinique ORMEAU - 25e jour de grève :
le masque tombe, cette direction abuse les salariés depuis le début et ri au nez des pouvoirs publics!!

Pitoyable la sortie de la Préfecture vers 20h des membres de la direction! Planqués comme des malfaiteurs sur les sièges arrières d’une voiture de Police pour les uns et en courant pour les autres pour rentrer dans la voiture banalisée des policiers de la BAC!
Cette direction a abusé des pouvoirs publics et des salariés depuis le début, le masque est tombé hier après-midi lorsqu’ils ont été sommés de dévoiler les enveloppes financières mises dans les mesures salariales depuis le début du conflit:
- Début du conflit enveloppe chiffrée à 440.000 euros annuels pérennes.
- Proposition du 1er décembre: 300.000 euros annuels pérennes et 300.000 uniquement pour 2016.
Voilà l’honnêteté de cette direction discréditée! Des propositions salariales inférieures au premières après 25 jours de conflit!
Face à cette attitude, les salariés sont en colère et ils ont raison, la CGT prendra ses toutes responsabilité dans l’évolution de ce conflit!

Polyclinique ORMEAU - 24e jour de grève :
La direction se moque des salariés et des pouvoirs publics!

Hier matin, le constat a été, les bonnes dispositions de la veille étaient une manœuvre de plus. Sur les salaires, le volume financier proposé reste quasiment le même que celui proposé il y a 10 jours.
Sur les conditions de travail, hormis ce qui avait déjà été acté, sur la majeure partie des points en suspend, c’est “on va voir”. A cette heure, les négociations sont suspendue, une nouvelle séance est prévue aujourd’hui, la Préfecture devant nous préciser l’heure.
Malgré l'heure de 17h30 à plus de minuit, les salariés en grève et ceux venus les soutenir sont restés avec cornes de brume et chants(on n'est pas fatigués).
Le groupe Médipôle Partenaires propose une prime de 300 euros fin décembre 2016 et une prime de transports de 100 euros à deux reprises, fin 2016 et fin 2017.
Le passage de l’indice salarial à 7,32 aurait lieu avec effet rétroactif depuis juin 2016 au lieu de septembre 2016.
Le passage à l’indice 7,38 aurait lieu, non à partir de septembre 2017, mais à partir de juin 2017 soit environ 15 euros d’augmentation par mois!!!,
Après des discussions animées entre salariés, de baisser leur demande de prime annuelle de 1600 euros à 900 euros, la direction propose un montant trois fois inférieur uniquement pour 2016!!!.
De bonnes raisons pour se mobiliser largement le samedi 3 decembre à 10h30.
Appel à la manifestation du 3 12 2016.
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Polyclinique ORMEAU - 23e jour de grève :
enfin de véritables négociations se sont déroulées aujourd’hui!

La reprise des négociations annoncées a eu lieu dans les locaux de la préfecture en présence de représentants de la préfecture et de l’ARS.
Les deux parties ont pu développer leurs arguments. Tous les points ont été évoqués: salaires et conditions de travail. Propositions et contre propositions ont été mises sur la table.
Nous nous sommes quittés à 17 heures avec la ferme intention de tous les protagonistes, de rependre les négociations demain en préfecture à 10 heures.
• ce jeudi 1.12 tous a 10h00 devant la préfecture
• et surtout mobiliser largement pour une énorme mobilisation le samedi 3 decembre!
Lire le communiqué du 30 11 2016.
Lire la déclaration.
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Polyclinique ORMEAU - 22e jour de grève :
acte de violence, reprise des négociations!

Inadmissible! Un drame évité de justesse, ce matin, un cardiologue a délibérément renversé, avec son véhicule, le secrétaire général de l’USD CGT et heurté une militante CGT de la clinique.
Les salariés ont décidé de bloquer l’accès à la villa administrative et à la clinique. A cet effet ils ont installé un barrage filtrant à l'entrée des urgences en laissant passer les ambulances, les taxis, et les personnes ayant des difficultés pour ce déplacer. Ils bloquaient les médecins qui devaient stationner leurs véhicules dans la rue.
Tous les deux sont en ITT pour 3 jours.
La reprise des négociations, enfin annoncée pour demain, est tardive mais impérative. Elles devront être enfin loyales et sérieuses, en présence de représentants de la préfecture et de l’ARS.
Venez leur apporter votre soutien:
• ce mercredi 30.11, tous a 8h45 devant la préfecture
• et surtout mobiliser largement pour une énorme mobilisation le samedi 3 decembre!
Lire le communiqué du 29 11 2016 de la confédération, FD santé et UD 65.
Appel à la manifestation du 3 12 2016.
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Polyclinique ORMEAU - 21e jour de grève :
appel à une manifestation départementale le 3 décembre prochain!

Les salariés ont bloqué l’aéroport de Tarbes-Lourdes tôt ce matin et sont de nouveau intervenus à l’ARS dans l’après-midi.
Ils ont occupé l’aéroport durant deux heures environ le matin et l'ARS pendant une heure l’après-midi.
Ils ont diffusé un tract dans les services de la clinique au personnel non gréviste et aux médecins. L'assemblée générale et le déjeuner ont eu lieu à la Bourse du Travail avec le soutien de la CGT.
Venez leur apporter votre soutien:
• ce mardi 29.11, tous a 13h15 devant ormeau centre!
• et surtout mobiliser largement pour une énorme mobilisation le samedi 3 decembre!
Lire le communiqué du 21 11 2016.
Lire la réponse à la direction.
Appel à la manifestation du 3 12 2016.

Polyclinique ORMEAU - 17e jour de grève :
Les salariés attendent des actes et non des paroles!

Après la journée d’hier, qui a été marquée par la fuite honteuse du DRH du groupe, la colère des salariés ne se dément pas.
L’assemblée générale de ce matin a décidé d’occuper le site d’Ormeau-centre et de distribuer aux entrées le tract destiné aux salariés, ainsi qu’un tract destiné aux usagers.
Une délégation était également présente au marché de Tarbes avec un stand pour continuer à populariser le mouvement.
La journée a été marquée par la visite du député Glavany. La grève a été reconduite pour demain.
Philippe Martinez, Secrétaire Général de la CGT a saisi le ministère du travail.
Lire le communiqué de presse du 24 11.
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Polyclinique ORMEAU - 16e jour de grève :
Le mépris de la direction au grand jour!!

Le DRH du groupe quitte Tarbes sans prévenir les salariés.
S'il fallait une preuve de la stratégie du groupe Médipôle Partenaires dans ce conflit, la journée du 23 novembre aura été des plus révélatrices.
Après les premiers échanges de mardi, la négociation a débuté à 11 h 00 ce matin.
Les propositions directionnelles de la veille ont été légèrement revues par la direction sans apporter de réponses dignes de ce nom, prime annuelle de transport de 100 €, augmentation de la valeur du point d'indice de 7,25 à 7,32 et garantie ( un mot bien inapproprié ) de 7 centimes pour les coefficients inférieurs au SMIC.
Lzs salariés ont écrit une lettre ouverte aux médecins.
Lire le communiqué de presse du 21 11.
Un texte de soutien.
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ANRAS
Lutte gagnante
(Voir l'action du 14 11 )

Lundi 14 novembre dernier, nous avions appelé à la mobilisation, à laquelle s'était joint les salariés de la clinique de l'Ormeau.
Ce soutien a été efficace car la direction de l'ANRAS vient de classer "l'affaire" et ne retient aucune faute à incomber à la DS.
La vigilance restera de mise, on ne laissera aucune direction porter atteinte à des militants syndicaux!

Caisse Allocations Familiales


En tant qu’agents des Caisses d’Allocations Familiales, nous constatons que nos directions, sous couvert de « modernisation », imposent des réorganisations qui déshumanisent les relations, suppriment l’accueil physique du public et rendent obligatoire le passage par internet.
Nous constatons partout une diminution du personnel, l’abandon de certaines missions et l’éloignement des usagers par la fermeture de sites auparavant ouverts au public.
Lire le tract distribné aux allocataires
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Polyclinique ORMEAU - 15e jour de grève :
Un pas en avant, deux pas en arrière

La direction, apportant une nouvelle fois la preuve de sa volonté d'ouverture a voulu imposer aux salariés la composition de la délégation salariale alors qu'ils en avaient décidé en assemblée générale.
De fait, la direction a décidé au bout de trois minutes de quitter la réunion, invoquant sur ce prétexte dérisoire, le recours à une médiation que la préfecture avait refusé la veille au motif qu'il n'y avait pas eu de réelles négociations jusqu'à présent.

Lire le communiqué de presse du 21 11.
Voir les photos

Polyclinique ORMEAU - 14e jour de grève :
Reprise des négociations!

21 11 2016, après la réunion en Préfecture de ce jour, le principe d’une reprise des négociations salariales a été acté pour demain mardi 22 novembre 2016 à 9H00 sur le site de la polyclinique Ormeau Pyrénées.
La détermination des salariés est intacte. Leurs revendications doivent être entendues. La Polyclinique de l’Ormeau et le groupe Médipôle partenaires ont largement les moyens de répondre à leurs demandes.
LES SALARIE-ES NE LACHERONT RIEN, LA GREVE EST RECONDUITE POUR DEMAIN. NOUVELLE ASSEMBLEE GENERALE DES PERSONNELS MARDI 22 NOVEMBRE 2016 8H30 à ORMEAU PYRENEES. CONTINUONS A VENIR LES SOUTENIR!

Lire le communiqué de presse du 21 11.
Pour info, lire le communiqué de presse de la direction.
Lire la réponse à la direction.
La direction ayant envoyé un courrier au personel, lire la réponse.
Lire la déclaration préalable.
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Polyclinique ORMEAU - 12ème jour de grève :
"Tarbais, si tu savais, on lutte pour ta santé !"

1200 pour soutenir les salariés de la polyclinique en ce 12e jour de grève.
Le soutien de la population leur a fait du bien et les a confortés dans leur juste combat pour demander l’amélioration de leurs conditions de travail, au service des patients.
Une nouvelle journée de négociation est prévue lundi 21 novembre à 15h, en présence de la Préfète des Hautes-Pyrénées. Ils comptent sur un soutien accru des élus et de la population concernée par des soins de qualité et non sources de profits.
Le groupe Médipôle partenaires, propriétaire de la Polyclinique, est le troisième groupe français d’hospitalisation privée à but lucratif, pesant 866 millions d’euros en chiffre d’affaire pour l’année 2015.
- Hausse tarifaire, augmentation de la chambre particulière et instauration d’un forfait administratif;
- Pour les salariés, ce sont les conditions de travail qui se sont dégradées, avec un management agressif, une diminution du personnel et des réorganisations du travail.
- Achat de matériels de mauvaise qualité
Dans ces conditions comment parler de qualité et de sécurité de prise en charge des patients?
Même certains médecins font ce constat de dégradation et soutiennent cette lutte financièrement.
Seule la lutte peut faire avancer les conditions de travail et les salaires quand un responsable de la direction déclare lors d’une réunion de négociation à un membre de la délégation, au SMIC depuis 8 ans, "qu’elle a de la chance, car en France au moins il y’a le SMIC. Et que si elle travaillait au Brésil, elle verrait bien combien elle serait payée".

Lire la prise de parole de la déléguée syndicale.
Lire la prise de parole du secrétaire de l'Union Santé Départementale 65.
Voir les photos

Finances publiques:
suspension du mouvement.

Après trois jours de grève, les agents ont décidé de suspendre leur mouvement. Localement la grève avait été reconduite sur décision de l’Assemblée générale.
La direction locale ayant accepté d’ouvrir des négociations sur la question des conditions de travail et d’exercice des missions au sein de l’ensemble des services des finances publiques.
les gréviste ont décidé de suspendre leur mouvement.

Polyclinique ORMEAU - 11ème jour de grève :
Les véritables décideurs de l’ARS sommés de venir à Tarbes.

Après la nouvelle parodie de négociation hier, les salariés avaient décidé d’interpeller l’ARS.
Les locaux ont été occupé une bonne partie de la journée, la direction de l’ARS a été contrainte de venir à Tarbes pour s’expliquer.
Une réunion aura lieue en Préfecture ce lundi à 15h présidée par la Préfète.
Lire le communiqué de presse.
Lire l'appel pour le samadi 19.
Lire l'appel interpro
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Finances publiques: 3e jour de grève
la direction retire les lettres de menaces!

A l’occasion de l’AG du personnel de ce matin, les salariés ont décidé d’être offensifs et de se mettre massivement en grève en réaction aux lettre de menaces de sanction pénale. De nombreux camarades de l’interpro étaient présents et notamment une délégation de salariées de la Polyclinique de l’Ormeau.
Forts de ces soutiens, les grévistes ont vivement interpelé la direction. Celle-ci s’est engagée à retirer les menaces de sanction. Des négociations doivent s’ouvrir à partir des cahiers revendicatifs locaux.
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Lire le tract au public avec la retenue à la source.

Polyclinique ORMEAU - 10ème jour de grève :
la direction affiche son mépris

Suite aux propositions salariales ridicules de la direction, la délégation claque la porte, la clinique Ormeau Centre occupée dans la foulée.
Une raison de plus pour que la manif du samedi 19 soit un succès!!
Lire le communiqué de presse.
Lire l'appel pour le samadi 19.
Lire l'appel interpro
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Lycée Jean Dupuy:Lutte gagnante!

Le jeudi 13 octobre dernier, les agents de restauration du lycée Jean Dupuy de Tarbes s’étaient mis en grève pendant 3 heures pour protester de leur conditions de travail et exiger le remplacement d'un collègue absent depuis le 1er Septembre 2016. Nous avions appelés à cette occasion, UL et UD, à venir soutenir leur action par un rassemblement devant le Lycée.
Les agents ont obtenu satisfaction grâce à cette lutte.
Depuis le 3 Novembre 2016 un remplaçant est apparu et nommé par la Région pour un mois .

Polyclinique ORMEAU - 8ème jour de grève :
La détermination ne faiblit pas !

Les salariés continuent de marquer des points, le site Ormeau Pyrénées fermé ce soir.
Ce matin les masques sont tombés du point de vue des réelles intentions de la direction : elle a dit clairement qu’elle n’était pas en position de négocier. Ainsi elle avoue clairement que l’engagement pris la Préfecture a confirmé dans l’après-midi qu’une délégation de salariés serait consultée sur les modalités des réquisitions.
Le directeur de la clinique avait déclaré en Préfecture qu'il ne disposait pas des pouvoirs nécessaires pour prendre des décisions. En fin d’après-midi, après sollicitation de la Déléguée Syndicale CGT, le DRH du groupe nous a indiqué qu’à présent la direction locale avait pouvoir de décisions.
Les grévistes ont, avec le soutien de salariés d'autres entreprises, distribué des tracts à la gare SNCF, au péage Tarbes Ouest.
En assemblée Générale les salariés-es ont décidé d’organiser une grande manifestation samedi 19 novembre à 10h.
Lire le communiqué de presse.
Lire l'appel pour le samadi 19.
Lire l'appel interpro
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Polyclinique ORMEAU - 7ème jour de grève :
Les masques tombent !

Au bout de sept jours de grève, après la parodie de négociation de samedi et les légitimes réactions de colère des salariés qui s’en sont suivies, madame Lagarde, Préfète des Hautes-Pyrénées provoquait ce matin à 10h15 une réunion en Préfecture. Avec la présence de la DIRECCTE, de l’ARS et des responsables de la polyclinique de l’Ormeau.
Ce matin les masques sont tombés du point de vue des réelles intentions de la direction : elle a dit clairement qu’elle n’était pas en position de négocier. Ainsi elle avoue clairement que l’engagement pris le 10 novembre au soir dans les locaux de l’ARS était du vent.
La Madame la Préfète a fait savoir quelle ne signerait plus de réquisition.
L'après midi en rejoignant la polyclinique les manifestants se sont arrétés à l'ANRAS pour soutenir la DS CGT victime d'atteinte aux libertés syndicales, une de plus!
Lire le communiqué de presse.
Lire la lettre adressée au ministre de la santé.
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Finances publiques
arrêt de travail

Pour 2017, 1815 suppressions d’emplois sont annoncées, ce qui portera le total à 37 000 emplois détruits ces 13 dernières années à la DGFIP.
170 emplois rayés de la carte du département des Hautes Pyrénées, des milliers d'emplois vacants, 12 dans notre département.
Nous n'avons rien à espérer des directions locales qui "appliqueront sans état d'âmes" les instructions nationales.
Nous ne pouvons compter que sur notre détermination et notre solidarité. Plus que jamais unissons-nous pour combattre la régression.
La CGT, FO et Solidaires ont appelé à un arrêt de travail avec AG le 15 novembre 9h30.
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Lire le tract au public avec la retenue à la source.

Atteinte aux libertés syndicales

Une nouvelle fois, l’action syndicale est attaquée dans notre département. La délégué syndicale CGT de l’ANRAS a été convoquée à un entretien préalable ce lundi 14 novembre.
Nous le disons régulièrement chaque fois qu’un militant de la CGT est attaqué, c’est toute la CGT et le syndicalisme qu’on attaque.
Cette convocation vient allonger une liste déjà trop longue de militants qui n’ont commis comme seul crime que la défense des droits et des intérêts des salariés et qui sont harcelés, sanctionnés. />
Sur les Hautes-Pyrénées la liste commence à être longue: notre camarade Ludo Arberet au lycée agricole de Vic, Mylène Palisse du Service Probation de l’administration pénitentiaire de Tarbes, le syndicat CGT du CEDTPH, .... Et bien d’autres!
Notre camarade a eu le soutien de salariés de l'interpro ainsi que des salariés de la clinique en grève.
En savoir plus ici.
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(Retour article du 23 11 )

Polyclinique ORMEAU - 7ème jour de grève :
Les masques tombent !

Au bout de sept jours de grève, après la parodie de négociation de samedi et les légitimes réactions de colère des salariés qui s’en sont suivies, madame Lagarde, Préfète des Hautes-Pyrénées provoquait ce matin à 10h15 une réunion en Préfecture. Avec la présence de la DIRECCTE, de l’ARS et des responsables de la polyclinique de l’Ormeau.
Ce matin les masques sont tombés du point de vue des réelles intentions de la direction : elle a dit clairement qu’elle n’était pas en position de négocier. Ainsi elle avoue clairement que l’engagement pris le 10 novembre au soir dans les locaux de l’ARS était du vent.
La Madame la Préfète a fait savoir quelle ne signerait plus de réquisition.
L'après midi en rejoignant la polyclinique les manifestants se sont arrétés à l'ANRAS pour soutenir la DS CGT victime d'atteinte aux libertés syndicales, une de plus!
Lire le communiqué de presse.
Lire la lettre adressée au ministre de la santé.
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Polyclinique de l'Ormeau
5ème jour de grève, la direction joue la montre!

Malgré des conditions sanitaires périlleuses, à l’occasion de cette première séance de négociation, la direction joue la montre.
Les salariés exigent :
1. La fermeture administrative de la clinique de l’Ormeau;
2. Que la séance de négociations initialement prévue lundi, le soit directement en Préfecture et sous l’autorité des pouvoirs publics (Préfecture, ARS, Direccte).
Les salariés, le syndicat CGT de la clinique, l’UD CGT 65 ont appelé l’ensemble de la population à venir
manifester lundi 14 novembre, à 10h devant la clinique Ormeau-Pyrénées (face au stade Trélut).

Lire le communiqué suite à la "séance de négociation".

Polyclinique de l'Ormeau
l’action paye, ouverture de négociation!

La mobilisation a encore été très forte ce jeudi 10 novembre.
L’après-midi s’est prolongée par l’occupation des locaux de l’ARS à Tarbes, ce qui a permis qu’enfin des négociations soient ouvertes.
Lire le communiqué de presse CGT.
Lire le tract du personnel vers la population.

LA SANTE, LA SECURITE SOCIALE .
C'est l'affaire de TOUS !!


La destructuration du système hospitalier public et privé non lucratif français se poursuit au pas de course. La loi Hôpital Patient Santé Territoire de la présidence Sarkozy et la loi Santé de la présidence Hollande poursuivent le même objectif avec une même logique : la restriction des moyens accordés à la santé dans le pays.
La loi de financement de la sécu, les contraintes budgétaires imposées depuis des années couplées à la tarification à l'activité ont des conséquences désastreuses pour les patients, les personnels hospitaliers et des organismes sociaux et les citoyens en général.
3,5 milliards d'économies imposés aux hôpitaux pour financer le CICE qui coûte chaque année 26 milliards et est distribué sans conditions aux entreprises.
Des services entiers sont fermés, des lits supprimés, des activités dites non rentables abandonnées, des investissements retardés, des pratiques de soin mises à mal, notamment en psychiatrie, des conditions de sécurité remises en cause...
Les conditions de travail des personnels ne cessent de se dégrader: pénibilité accrue, burn-out, suicides qui se multiplient.
Les cadeaux aux entreprises contre la santé du peuple: c'est le choix du MEDEF et des gouvernements qui se succèdent.
A 11h 400 manifestants se sont rassemblés devant la CPAM de Tarbes dont environ la moitié étaient des salariés de la Polyclinique de l'Ormeau en grève illimitée (80%) à compter de ce jour.
L'AG du 9 a reconduit la grève. Les parlementaires du département qui avaient été conviés à venir rencontrer les manifestants ont décliné l’invitation. Une lettre ouverte à leur attention a été lue aux manifestants.
Dans la soirée une délégation a été reçue en Préfecture à la demande de la CGT pour éviter toutes tentatives d’atteintes au droit de grève au travers de réquisitions, la seule urgence étant d’ouvrir des négociations.
Lire la lettre ouverte aux parlementaires.
Lire l'appel à la polyclinique.    Voir les photos du 8.            Voir les photos de l'AG du 9.

Tous usagers de La Poste:
tous concernés!

Pour La Poste nous ne sommes plus des usagers mais des clients. Des "usagers" qui doivent, avec l'exploitation des salariés-es, êtres rentables.
Depuis 3 ans les dirigeants ont supprimé 18 postes par jours soit 19548 et ils multiplient les CDD et temps partiels.
C'est la disparition de La Poste que nous avons connue qui se profile.
La municipalité de Soues, FAPT CGT et les usagers de la commune se mobilisent contre la réduction de l'ouverture de La Poste qui envisage de passer de 22h30 d'ouverture hebdomadaire sur 5 cinq jours à 15 heures à partir du 1er mars 2017.
La direction de La Poste privilégie la rentabilité au détriment du service des usagers. Depuis 3 ans, dans le département, on relève des réductions d'horaires dans 26 bureaux et la transformation en agence postale communale de plus de 20 bureaux.
La souffrance au travail des salariés de la Poste, qui n’ont plus les moyens d’assurer leur mission de service public, le management par le stress qui génère de nombreux arrêts de travail sont le quotidien des agents de ce service qui doit rester public.
Lire le tract de la CGT La Poste en direction des usagers.
Voir les photos du rassemblement devant La Poste à Soues


Mercredi 19 octobre à partir de 12h30h
pour les libertés syndicales devant le tribunal de Tarbes

Va-t-on laisser mettre en prison des syndicalistes qui défendent l’emploi pendant qu’on laisse piller les biens collectifs ?
Malheureusement, la liste des agressions antisyndicales est longue et ne s’arrête pas là :
- Provocations et violences orchestrées par l’état (rappelez-vous les consignes données aux forces de police – dénoncées par certains syndicats de policiers d’ailleurs – de ne pas interpeller les casseurs mais de charger les manifestants notamment à Paris), interdiction de manifester dans un certain nombre de ville de France, fouille au corps, insultes, intimidations;
- Prison ferme ou avec sursis (on l’a dit), lourdes amendes, suppression des droits civiques, garde à vue, prélèvements ADN;
- Entraves au libre exercice de l’activité syndicale, atteintes à la liberté d’expression, sanctions disciplinaires, entraves croissantes au fonctionnement des Institutions Représentatives du Personnel;
- Licenciements abusifs, chantage à l’emploi;
- Dénigrement public des syndicats par le MEDEF et le gouvernement :
Ainsi c’est monsieur VALLS qui traite de voyou les salariés qui défendent l’emploi et monsieur GATTAZ, qui nous qualifie de terroristes et nous assimile à Daech. C’est énergumène mesure-t-il réellement ce qu’est le terrorisme ?
A-t-on le droit de banaliser à ce point les horreurs du terrorisme ?
Un rassemblement, auquel plusieurs dizaines de personnes ont participé, était organisé ce jour devant le tribunal de Tarbes à 12h30.
A l’issue de la prise de parole, il a été procédé symboliquement à la libération de syndicalistes menacés par des peines de prison pour les remplacer par d’autres bénéficiant d’une insolente impunité.
Lire la prise de parole.
Lire le communiqué national.

7 octobre Lannemezan
défendre l'hôpital

"
Un millier de personnes s'est rassemblé devant la Mairie de Lannemezan pour défiler jusqu'à la Direction de l'hôpital où un Conseil de Surveillance devait se tenir.
Tout le long du cortège les commerçants ont baissé leurs rideaux pour apporter leur soutien.
Elus, médecins, personnels, usagers et citoyens se refusent à laisser leur établissement de proximité rentrer dans le Groupement Hospitalier de Territoire des Hautes-Pyrénées.
Les Hôpitaux de Lannemezan ont tous les critères pour obtenir la dérogation d'y adhérer comme prévoit la Loi Santé.
Nous ne sommes pas dupes, le regroupement des Hôpitaux des Hautes-Pyrénées va avoir des conséquences dramatiques dans l'offre de soins de proximité pour la population qui habite dans les zones montagneuses.
Pour les personnels, c'est un véritable plan social qui est à craindre et des conditions de travail qui vont encore se dégrader.
Sur notre Département, les représentants du Personnel CGT de chacun des établissements ont tous voté conte la convention constitutive, socle commun du groupement.
La bataille continue puisque lors de ce conseil de surveillance la convention constitutive n'a pas été examinée. Ce rapport de force doit permettre à chaque Hôpital du territoire de se battre pour faire reconnaître leur spécificité et leur rôle dans l'offre de soins de proximité. L'ARS Occitanie et Mme Touraine doivent entendre l'échos du peuple de nos montagnes.


29 septembre
journée d'action des retraités

Photos et compte rendu page U S R 65

21 et 24 septembre
pour la Paix


La guerre, c’est le recul social et la primauté de la puissance financière par les armes. C’est par la justice sociale que la spirale guerrière reculera.
Chaque année, depuis 1981, sous l’égide de l’ONU, est célébrée la journée internationale pour la Paix. La date officielle est le 21 septembre.
La CGT, depuis sa création, a œuvré sans cesse pour la construction d’une paix durable entre les peuples et c’est ainsi que tout naturellement elle se retrouve avec d’autres organisations et associations dans des initiatives pour la promotion de cette exigence de Paix dans le monde.
Deux initiatives ont eu lieu sur notre département:
- Le 21 septembre à la mairie de Soues: Rencontre – débat organisée par le Mouvement de la Paix 65 : « C’est quoi la paix pour toi, pour nous »;
- Le samedi 24 septembre: rassemblement unitaire place de Verdun à Tarbes.

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Loi travail




800 manifestants environ dans les rues de Tarbes à l'appel de la CGT, FO, FSU, Solidaires, UNEF, FIDL et UNL pour exiger le respect de la démocratie et donc le retrait de cette loi qui renvoie les salariés au temps décrit par Zola; à la volonté exclusive du patronat et du capital.


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Elections TPE
Informations des salariés de Lannemezan



La caravane CGT pour les élections dans les Très Petites Entreprises (moins de 11 salariés) a fait étape à Lannemezan le 14 septembre.
Des militants de L'UL Lannemezan et de l'UD 65 ont distribué des tracts aux salariés concernés sur l'utilité de voter à ces élections et en ont profité pour s'assurer qu'ils avaient reçu le premier courrier suite à leur inscription sur les listes électorales professionnelles. C'est loin d'être le cas!

La caravane reviendra sur le département, à Lourdes et Bagnères le 28 septembre, pour effectuer la même opération.

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L'été la CGT est mobilisée
Informations sur le travail saisonnier à Lourdes



L'UD CGT 65 est allé, cette année encore, à la rencontre des saisonniers à Lourdes pour les informer de leurs droits grâce à la distribution du guide (page dossiers) et d'un flyer édités par la CGT pour eux

Lire le tract pour les saisonniers.

Un bureau d'information a été mis en place à côté du parking "Paradis" pendant que les militants partaient à la rencontre des employés lourdais mais aussi des employeurs et touristes.

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TOUR de FRANCE

A l'occasion de l'arrivée de l'étape du 8 07 et de son passage le lendemain à Payolle la CGT 65 et la NVO ont mis en place un lieu de rencontre et de projection de l'étape du jour.
Une distribution de tract rappelant l'attachement de la CGT et du Tour ainsi que l'exigence du retrait de la loi El Khomri.
Vous trouverez ci-joint le tract distribué
Voir les photos du passage du Tour.

Loi travail
Hors la loi



"...il faut savoir entendre la voix des peuples...": Hollande au sujet du référendum de Grande-Bretagne mais en France le 49-3.
10 000 manifestants à Toulouse à la manifestation régionale, 150 à Tarbes pour apporter plus de 300 votations supplémentaires à la préfecture.
5523 votations citoyennes qui à une écrasante majorité de 95% demandent le retrait du projet de loi, plus d'1 million au niveau national: mais la voix du peuple il n'est bon de l'écouter que de l'autre côté de la Manche.
Par ailleurs, ce projet de loi contrevient aux conventions internationales de l’OIT et vient d’être sanctionné par le Comité des droits économiques et sociaux et culturels de l’ONU au regard des effets sur la protection sociale des salariés et la précarité qu’il engendre.
Vous trouverez ci-joint le communiqué confédéral: le 49-3 ne nous arrêtera pas!
Lire le communiqué confédéral: un gouvernement hors la loi!
Lire le communiqué confédéral: 1 million de votants!
Voir les photos du rassemblement tarbais et les photos de la Tour Eiffel et du stade.

Loi travail
Les votations à la préfecture



"...il faut savoir entendre la voix des peuples..." mots pronocés non par un dirigeant syndical mais par le Président de la République. Ce qui est bon pour le peuple de Grande-Bretagne ne lui semble pas bon pour les français.
C'est pour cela que des centaines de milliers de salariés, privés d’emploi, retraités, jeunes, citoyens... sont encore descendus dans la rue pour exiger le retrait de la Loi Travail.
Sur Tarbes, nous étions encore 1700 et à l'issue de la manifestation, 5214 votations citoyennes ont été déposées à la Préfecture. Ceux qui se sont exprimés rejettent à 95% le projet de loi, 3% le soutiennent et 2% sont sans avis. Vous trouverez ci-joint la déclaration commune faite devant la Préfecture à l'issue de la manifestation.
En complément de la manifestation, d'autres actions ont été menées, notamment dans l'énergie où les salariés grévistes ont procédé à des baisses de production dans les centrales hydro-électriques et à GRDF où des baisses de pression de Gaz ont été menées.
Lire le communiqué confédéral du 28 06.
Voir les photos de la manifestation

Loi travail
toujours et encore dans les rues!!!



Nous étions 2800 (fatigués, essoufflés???) dans les rues de Tarbes en cette fin de matinée. A l’arrivée du cortège, la CCI de Tarbes a été privée d’électricité tout comme nos députés tôt le matin. Les deux permanences de nos 2 élus PS et PRG, ceux-là même qui veulent imposer la précarité à tous les salariés, ont subi la précarité énergétique.
Le projet de loi « El Kohmri » est arme de destruction contre le monde du travail. Même s’il faut l’améliorer, le code du travail reste le socle protecteur qui permet d’assurer un minimum de protection identique à tous les salariés. Ce projet de loi va non seulement dynamiter le code du travail sur de nombreux aspects (médecine du travail, temps de travail, facilitation des licenciements, assurance chômage, …) mais il va aussi permettre à des employeurs d’y déroger et donc supprimer une protection commune à tous les salariés. Au travers de ce projet, c’est 130 ans de conquêtes sociales qui seront mises à la poubelle.
Nous n’avons pas 36 solutions, il faut nous y mettre TOUS !
Et dans les Hautes-Pyrénées un nouveau point de rassemblement et de manifestation voit le jour: Argelès-Gazost!
Une cinquantaine de manifestants a défilé dans les rue de la sous-préfecture et à l'arrivée place du Foirail rendez-vous a été donné, tout comme ce matin à Tarbes, pour le 28.
Voir les photos de la manifestation à Tarbes et à Argélès.

SIST malade


- Licenciement économique;
- Démissions des médecins du travail;
- Conditions de travail;
- Audits indépendants inquiétants;
- Climat malsain;
- Agrément?;
- Tarifs clientélistes?;
Le Service Interprofessionnel de la Santé au Travail est en danger!!!
Pour ces raisons la CGT a appelé à se rassembler devant l'entrée le jour de l'assemblée générale le jeudi 16 06 2016.
Voir les photos du rassemblement

Loi travail
toujours dans les rues!!!



1 300 000 en France. Une centaine de Hauts-Pyrénéens à Paris, 2500 à Tarbes à l'appel des syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires.
Des salariés-es (80 environ) de la polyclinique de l'Ormeau se sont rassemblés-es devant leur lieu de travail pour remettre la pétition contre la réorganisation du travail projetée par la direction. Elles et ils ont rejoint la manifestation qui est partie de la Bourse du Travail.
Des salariés-es, privés-es d’emplois, retraités-es et étudiants-es qui, depuis trois mois, se battent pour exiger le retrait du projet de loi travail et pour l’ouverture de véritables négociations pour gagner des droits nouveaux.
A l'arrivée de la manifestation, place de Verdun, après la lecture de la déclaration unitaire un appel est lancé pour le rassemblement devant le SIST (voir page actualité).
Lire le communiqué confédéral CGT.
Lire le communiqué de l'UD CGT suite aux propos de M Valls.
Voir les photos du rassemblement à Tarbes et à Paris.

NAO à NEXTER



Les salariés et les organisations CGT, CFDT et CFE/CG de Nexter n'acceptent pas les propositions de la direction:
• pas d’augmentation générale quelle que soit la catégorie des personnels, alors que chez le groupe allemand KMW (Krauss Maffei Wegmann) une augmentation de 4% a été acceptée;
• pas de mesure spécifique bas salaires (les 0,4% devant régler tous les cas de disparités);
• pas de mesure spécifique pour les OSD;
• une prime de 1% bien insuffisante par rapport au besoin.
Les organisations syndicales CGT – CFDT et CFE/CGC ont appelé l’ensemble des salariés à cesser le travail le vendredi 10 06 à 10h et a se rassembler devant l'entrée de l'entreprise pour une conférence de presse, un casse croûte. Une AG se tiendra pour prendre les décisions quand à la suite a donner à cette action.
L'UD CGT et des retraités de l'entreprise sont venus soutenir les salariés en grève.
Le groupe allemand KMW comptant environ 3000 salariés, Nexter 3300 sur le pays, les 2 entreprises ont contracté une alliance en 2015. Nexter pour ça part affiche un résultat net de plus de 79 millions d’euros ce qui fait que Les résultats positifs se succèdent depuis 11 ans.
Lire le tract.
Voir les photos du rassemblement.

Votation citoyenne

le Comité CGT des Privés d’Emploi et des Travailleurs Précaires a organisé une séance de "votation citoyenne" sur la loi El Khomri devant les locaux de pôle emploi "Pyrénées et Arsenal" avec la participation de militants CGT d'autres entreprises.
Ils ont invité les demandeurs d’emploi rencontrés a participer à une rencontre sur « l’alternative à l’auto-entreprise » le 1er juillet 2016, de 18h à 20h, à la Bourse du Travail de Tarbes.
Ils diffusent aussi deux tracts d’information qui évoquent les décisions récentes qui concernent les demandeurs d’emploi. Des informations sur la loi El Khomri, « qui va faciliter les contrats précaires et l’allongement de la durée du temps de travail, au détriment de vraies créations d’emploi ».
Dans le même temps la votation a été présentée au personnel du Centre Hospitalier de Tarbes et l'après midi aux personnes se rendant au CH devant le hall de celui-ci.
Le 9 06 les retraités CGT et FSU, dans le cadre de leur journée d'action, ont distribué le tract sur leurs revendications et ont eux aussi fait partiper les passants à la votation citoyenne.
Voir les photos de ces initiatives le 8 juin 2016.
Voir les photos de l'initiative des retraités le 9 juin 2016.

Cheminots
Casse croûte devant la préfecture



Avec leurs syndicats CGT, FO et SUD rail, les cheminots du 65 expriment leur inquiètude sur le devenir de leur entreprise et de leurs conditions de travail alors que des "négociations" ont lieu.
Délocalisation, amplitude horaire de travail appliquées c'est la vie familiale qui va en pâtir. C'est ce qu'a dit la délégation reçue par la directrice de cabinet.
Au cours de l'AG organisée sur place la reconduction de la grève pour 24h a été votée.
Voir les photos.

Loi El Khomri
2 juin 2016 dans la rue



La journée a commencé par un bloquage de la Direction Départementale de Finances Publiques par des grévistes et des citoyens.
Si le Code du Travail est détruit par la loi El Khomri, ce sera ensuite le tour de la fonction publique. Le niveau de suppression d’emplois, dans les Finances Publiques, n’est plus acceptable, c'est ainsi que fut interpellé le directeur départemental. Le blocage a été levé après plus d'une heure pour participer à la manifestation.
Ensuite 1700 manifestants ont une nouvelle fois dit NON à la loi travail du MEDEF et du gouvernement. Durant le défilé des militants ont commencé la votation citoyenne lancée par l'intersyndicale.
D'autres ont ouvert la souscription pour la manif. de Paris le 14 06.
A 14h, ils ont lancé l'opération "péage gratuit" à Tarbes ouest en distribuant des tracts et des bulletins de la votation citoyenne avant l'AG pour les actions futures.
Voir les photos de la Direction des finances.
Voir les photos de la manifestation.
Voir les photos du péage.

Loi El Khomri
visite M. Cazeneuve



Le 27 05 lors de la venue du Ministre Cazeneuve, l'accueil était prévu au rond point en sortie de l'autoroute. Le courageux ministre a changé de sortie mais des militants en embuscade près du lieu de destination ont pu dire au ministre ce que nous pensions et cela malgrè les 130 gendarmes et policiers qui devaient lui éviter cette intervention
Voir le reportage de Tarbes-Infos.
Voir le reportage de France 3 Midi-Pyrénées.
Voir l'échange entre les militants et le secrétaire départemental du PS.
Sur le rond point un tract était distribué aux automobilistes avant que les militants essaient de rejoindre la mairie de Séméac
Voir les photos sur les actions de la journée.


Loi El Khomri
suite mais pas fin



Le 26 05 ce sont 2900 manifestants qui ont défilé dans les rues de Tarbes. Lors des prises de parole, l’intersyndicale a aussi marqué sa solidarité avec les camarades d’Air France qui subissent eux aussi une répression anti-syndicale ignoble et a condamner toutes les attaques menées par ce gouvernement et le Medef contre le syndicalisme qui s’oppose à leur politique désastreuse.
• La journée a été intense avec des actions qui se sont prolongées l’après-midi avec plus de 250 manifestants qui ont distribué des tracts au péage de Tarbes-Ouest et mené une opération de péage gratuit.
En fin d’après-midi, c’est l’unique TGV partant de Tarbes qui a été retardé près d’une heure par les manifestants.
• Les salariés de la production hydraulique étaient aussi en grève à 75% et ont baissé la production d’électricité à hauteur de 193MW pendant 3 h soit 546MWh, l’équivalent de la consommation d’une ville 200000 habitants sur la durée de la baisse.
Rendez-vous a été donné pour saluer la venue de Cazeneuve dans notre département.
Lire l'intervention unitaire CGT, Solidaires, FSU, FO.
Lire l'intervention au sujet des camarades Air France.
Lire le communiqué de presse CGT suite aux actions.
Voir les photos sur les actions de la journée.


Loi El Khomri
Et maintenat le 49-3



Toujours contre la loi El Khomri et le 49-3 article antidémocratique employé par un gouvernement minoritaire dans le pays, 1400 manifestants dans les rues de Tarbes à l’appel des syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires.

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Loi El Khomri
Et maintenat le 49-3

Le 11 mai des militants sont allé dire à la député Janine Dubié leur opposition à la loi El Khomri.
A l’appel des syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires se sont rassemblés au Conseil Départemental, les députés préférant les forces de l'ordre aux salariés mécontants.
Le Président, a qui il a été demandé de faire voter une motion contre la loi, c'est engagé à la présenter mais pas a la voter. Il doit aussi renconter les syndicats après la séance plénière de ce vendredi.

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Loi El Khomri
Chez la député



Environ une centaine de militants sont allé dire à la député Janine Dubié leur opposition à la loi El Khomri.
A l’appel des syndicats CGT, FO, FSU et Solidaires ils se sont rassemblés devant sa permanence et en ont refait une partie de la décoration.
Les responsables ont pu s'entretenir avec l’attachée parlementaire de la députée par téléphone. Ils ont sollicité un rendez-vous lundi avec Madame Dubié et avec le député Jean Glavany, la rencontre aura lieu le 9 à 11h15.
En effet, le jour où nous fêtons les 80 ans du Front Populaire qui a porté la revendication de la semaine de 40 heures nos députés rendront-ils possible la semaine de 60 heures?
Ce serait une trahison de la gauche!
En fin du rassemblement, avant un casse-croûte convivial, les syndicats donnent rendez-vous aux participants et salariés le 9 en ce même endroit et le 12 pour une journée d'action.
"La véritable violence, c’est la casse du Code du Travail"
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1er mai 2016



Celles et ceux qui veulent nous faire croire que la loi travail est moderne n'ont honte de rien !
La marche vers le progrès social doit continuer: 32 heures par semaine pour travailler mieux et travailler toutes et tous, Partage des richesses / Augmentation des salaires et des pensions / Retraite à 60 ans !
Après les grèves et les manifestations des mois de mars et avril, le gouvernement ne veut rien céder. Il bafoue la démocratie sociale. En 2012, nous n'avons pas signé de chèque en blanc pour détruire tous nos conquis sociaux !
C'est ce que sont venus dire 1500 manifestants, jeunes, salariés du privé et du public, retraités, privés d'emplois, en famille et tout simplement: CITOYENS, dans les rues de Tarbes et 150 à Bagnères en ce 1er mai à l'appel des syndicats CGT, FSU, Solidaires et FO qui cette année s'est joint à l'appel devant la gravité de l'attaque patronale et gouvernementale.

Lire l'intervention unitaire CGT, Solidaires, FSU, FO lue avant la manifestation.
Lire le communiqué de presse de l'UD CGT suite aux déclarations du gouvernement.
Voir les photos de la manifestation à Tarbes et celles de Bagnères.


28 avril 2016 loi El Khomri:
2500 à Tarbes





NON§ La mobilisation ne faiblit pas!
Toujours pour le retrait de cette loi rétrograde 2500 à manifester à l'appel des organisations CGT, FSU, Solidaires et FO.
Dans le cortège se sont joints ATTAC 65, des associations et le Collectif "Nuit Debout". Ceux-ci ont visité la Société Générale afin de dénoncer le rôle des banques dans l’évasion fiscale.

Lire la prise de parole unitaire CGT, FSU, FO, Solidaires place de Verdun.
Voir les photos de la manifestation.








15 avril 2016 loi El Khomri:
les lycéens encore mobilisés!

Après deux journées d’intense mobilisation des lycéens Tarbais la semaine dernière et lundi dernier, les lycéens de Tarbes s’étaient de nouveau donné rendez-vous dans la rue. Plus de 600 lycéens ont participé au rassemblement place Verdun et ont ensuite défilé dans les rues de Tarbes pour finir à la Préfecture, puis au Conseil Départemental avant une halte symbolique devant la permanence du PS.

Voir les photos de la manifestation.

9 avril 2016 loi El Khomri:
Toujours le retrait!!!

A l'appel CGT, FSU, FO et Soldaires et des organisations de jeunes, 2500 personnes ont manifesté de la bourse du travail à la place de Verdun pour le rejet de cette loi sans modifs!!!
Au début de l'intervention commune le représentant des jeunes a fortement condamné les dégradations commises lors de la manif précédente dans les lycées qui ne peuvent que nous desservir. Un rendez-vous pour le jeudi 28 avril est lancé.


Voir les photos de la manifestation.

Projet de loi “El Khomri”:
Malgré la pluie...

A l'appel CGT, FSU, FO et Soldaires et des organisations de jeunes, 200 manifestants dont 50 jeunes ont manifesté du lycée Marie Curie au Condeil départemental.
Le rejet de cette loi sans modifs!!!
Suite au rassemblement, le rendez-vous pour le samedi 9 avril est lancé.


Voir les photos de la manifestation.

Projet de loi “El Khomri”:
Encore plus nombreux!!!

A l'appel CGT, FSU, FO et Soldaires et des organisations de jeunes, plus de 5000 manifestants dont 500 jeunes ont manifesté dans les rues de Tarbes.
Des syndicats CFDT ont rejoint le cortège inquiets du danger que représente cette loi.
Partout en France, la mobilisation a été très importante, 1,2 millions de manifestants ont été recensés!
Nous réclamons tous ensemble le retrait pur et simple de ce projet!
Suite au rassemblement, 2 rendez-vous sont donnés: le mardi 5 et le samedi 9 avril. Les modalités des 2 journées seront données après l'intersyndicale du 1/04

Lire la prise de parole unitaire CGT, FSU, FO, Solidaires et UNEF devant la préfecture.
Voir les photos de la manifestation
Lire le communiqué de la CGT suite à la journée d'action du 31 03.



Projet de loi “El Khomri”:
On ne lâche toujours rien!


A l'appel CGT, FSU, FO et Soldaires et des organisations de jeunes, 450 manifestants dont 100 jeunes ont manifesté de la place de Verdun à la mairie de Tarbes.
La loi du travail Gattaz, Valls, Macron, El Khomri n'est pas toujpours pas amendable.
Nous réclamons tous ensemble le retrait pur et simple de ce projet!
Suite au rassemblement, il a été donné rendez-vous le 31, journée nationale d'actions.
Lire la prise de parole unitaire CGT, FSU, FO et Solidaires devant la préfecture.

Voir les photos de la manifestation

Projet de loi “El Khomri”:
On ne lâche rien!


A l'appel CGT, FSU, FO et Soldaires et des organisations de jeunes, 700 manifestants dont 300 jeunes ont manifesté de la place de Verdun à la préfecture en passant symboliquement par la permanence du PS.
La loi du travail Gattaz, Valls, Macron, El Khomri n'est pas amendable.
Nous ne négocions pas le recul social: nous réclamons tous ensemble le retrait pur et simple de ce projet!
Suite au rassemblement, il a été donné rendez-vous le 24, jour de la présentation du projet au conseil des ministres.
Lire la prise de parole unitaire CGT, FSU, FO et Solidaires devant la préfecture.

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"Loi du travail"
NON à la loi El Khomri!


Après la mobilisation dans les réseaux sociaux, ce sont 3000 manifestants dont 300 lycéens qui se sont retrouvés malgré la pluie pour ce premier rendez-vous dans la rue!
A l’occasion du rassemblement Place de la Mairie à 11h: 2 militants de syndicats en lutte (cheminots et hôpitaux) ont pris la parole suivi d’un jeune privé d’emploi et d’un jeune lycéen criant leur ras le bol et leur aspiration à un autre avenir.
Le cortège a ensuite démarré en direction de la place Verdun pour une prise de parole unitaire.
Lire les propositions du gouvernement pour le code du travail commentées.

Lire les propositions de la CGT pour le code du travail.

Lire la prise de parole unitaire CGT, FSU, Solidaires.

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Goodyear: 8 syndicalistes condamnés


Depuis plusieurs mois les attaques en direction de la CGT, tant de ses militants que de ses locaux se développe.
Aujourd'hui les Goodyear, les Air France, des camarades d'EDF, un conseiller prudhomme de Tarbes, la volonté d'exclure la CGT de ses locaux (Chateauroux, Foix, La Garde, ...), demain le tour à qui ?
Toute la CGT s'est mobiliser contre les discriminations et les atteintes au fait syndical. Alors pour les Goodyear condamnés à de la prison ferme, il faut hausser le ton. Nous ne lâcherons rien!
Nos camarades de Goodyear, avec la fédération de la Chimie et la Confédération, et localement le bureau de l'UD ont décidé de faire du 4 février une grande journée de manifestation. Environ 200 manifestants se sont rassemblés devant le tribunal à l'appel des Unions Départementales CGT, FSU, Solidaires des Hautes-Pyrénées pour ne pas laisser libre champ aux politiques de porter des coups plus forts, c'est manquer à nos valeurs de solidarité, c'est abandonner nos camarades à leur sort alors qu'ils n'ont fait que défendre leur outil de travail et se sont.
La pétition
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En hiver comme en été
La CGT à la rencontre des saisonniers

Cet hiver, deux caravanes sillonnent les massifs montagneux du 18 janvier au 4 février 2016, réalisant ainsi 37 initiatives.
Les objectifs de notre campagne sont multiples:
• informer les saisonniers sur leurs droits, puisque 65 % d’entre eux disent ne pas les connaître;
• interpeller les vacanciers sur les conditions de vie et de travail souvent précaires des saisonniers;
• donner le contact de la CGT au niveau local, pour permettre aux saisonniers pendant ou après la saison de venir nous consulter.
Une des deux caravanes a fait étape dans les Hautes-Pyrénées le vendredi 22 janvier 2016 à St-Lary et le samedi 23 janvier 2016, en présence de Philippe Martinez SG de la CGT, à La Mongie.
Le vendredi, installé devant le téléphérique de St-Lary (la plupart des saisonniers de cette station empruntent ce mode de transport pour se rendre sur leur lieu de travail), nous avons distribué une trentaine de carnets de saisonniers accompagné du tract saisonniers avec au verso les coordonnés des Unions locales. Lire la suite.
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Fonction Publique
Salaire, emploi, mise en danger du service public

A l’appel de l’intersyndicale CGT-FO-Solidaires-FSU, 900 personnes environ ont défilé mardi matin dans les rues de Tarbes.
La perte de pouvoir d’achat de 5% depuis 10 ans, la précarité, avec près d’un million de non titulaires, la réduction drastique des moyens de fonctionnement des services publics avec 50 milliards d’économies entre 2015 et 2017, supportées par les salariés, retraités et privés d’emploi ont été au centre des revendications des manifestants.
Ils dénoncent aussi la désespérance sociale qui s’étend en France, avec 6,5 millions de personnes inscrites au Pôle emploi, 1,2 millions de plus qu’en mai 2012 et le bilan du F. Hollande, dont le quinquennat sera celui de l’enlisement dans la crise et de la stagnation.
Alors que la fraude et l’évasion fiscale se chiffrent chaque année à près de 65 milliards d’euros, ce sont 33 milliards qui auront été versés sans conditions au titre du Crédit Impôt Compétitivité Emploi avec pour résultat, plus de 500 000 emplois détruits en 4 ans. Les syndicats appelant au mouvement ainsi que les manifestants incriminent aussi le ministre des finances Emmanuel Macron qui après avoir libéralisé le travail du dimanche, après avoir mis fin aux élections prud’homales a annoncé la mort des 35 heures avec la fin de la majoration des heures supplémentaires.
Ils demandent un pacte social d’urgence et la satisfaction des six revendications:
- La revalorisation immédiate du point d’indice;
- La refonte de la grille pour une meilleure reconnaissance des qualifications;
- L’intégration réelle des primes dans le traitement indiciaire;
- L’égalité salariale entre les femmes et les hommes. Des emplois statutaires pour faire face aux besoins;
- Des perspectives de carrière et de mobilité choisie pour tous les agents.
A l’appel du SNES-FSU et de la CGT Educ’Action l’abrogation de la réforme du collège faisait parti des revendications des enseignants. Ils soulignent que cette réforme a été rejetée dès avril par les organisations syndicales représentant 80% des enseignants du second degré. Les manifestants critiquaient notamment l’autonomie des établissements: devons-nous compter sur la chance pour que nos élèves se retrouvent dans le « bon » collège, ou exigeons-nous la même qualité du service public d’éducation sur l’ensemble des territoires, étaient les questions posées. Ils demandent:
- Des horaires disciplinaires nationaux garantissant une égalité de traitement pour tous les élèves, dans tous les collèges;
- Des effectifs réduits dans toutes les classes, pour pouvoir mieux s’occuper de chacun;
- Les embauches d’enseignants promises par Hollande et toujours attendues;
- Des programmes cohérents avec une interdisciplinarité progressive et les moyens nécessaires à leur mise en œuvre;
- Une formation initiale et continue de qualité pour les enseignants, leur donnant tous les outils pour leur permettre de mieux répondre aux besoins de tous les élèves.
L’intersyndicale et les manifestants ont exprimé leur solidarité avec les salariés et syndicalistes de Goodyear. Ils dénoncent l’infâmie qui consiste à traiter comme de vulgaires voyous des personnes qui se battent pour sauver leur emploi et des condamnations pour l’exemple. L'appel a été lancé pour une prochaine action le 4 février.
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Pôle emploi
Service Public de l’Emploi en DANGER !!!

Pour faire entendre leurs voix les agents, à l’appel de CGT et Solidaires, de Pôle Emploi de Midi-Pyrénées et Languedoc Roussillon étaient en grève le 18 Janvier 2016.
Après la fin du 3949 pour l’inscription des demandeurs d’emploi, après la mise en place du « tout internet », après la sous-traitance accrue de nos missions aux organismes privés, la Direction Générale de Pôle-Emploi a décidé de façon unilatérale et contre l’avis des organisations syndicales, de fermer les portes de ses agences au public tous les après-midis.
La région Midi-Pyrénées est concernée à compter du 18 janvier 2016. Seules les personnes ayant rendez-vous pourront avoir accès aux services POLE EMPLOI.
Elles devront se signaler via un vidéo-portier. L’accueil sera filtré. L’agence n’est plus un lieu d’accueil, mais une forteresse.
L’ouverture sur les matinées sera maintenue mais très fortement dégradée: seuls les usagers qui se présenteront pour les questions liées à l’indemnisation seront reçus sans rendez-vous.
Pour toute question liée à l’emploi, ils devront formuler une demande par internet à leur conseiller référent qui leur fixera un rendez-vous physique ou téléphonique.
Dans certaines régions ‘pilotes’ depuis octobre, la déshumanisation du service provoque déjà colère, détresse et incompréhension des usagers, entraîne leur mise à l’écart forcée et les contraint à s’adapter aux dérives de Pôle Emploi.
Comme à la CAF, aux Impôts ou dans d’autres services publics, les agents subissent eux aussi contre leur gré cette nouvelle organisation qui les éloigne des demandeurs d’emploi et leur fait perdre le véritable sens de leur travail.
Avec leur syndicat CGT, les agents de POLE-EMPLOI demandent :
· Le maintien de l’ouverture des agences au public les après-midis
actu/pole-emploi_tract · la possibilité pour tout demandeur d’emploi d’être reçu sans rendez-vous par un conseiller afin que le SERVICE PUBLIC puisse continuer à remplir ses missions et répondre aux besoins des usagers, demandeurs d’emploi et entreprises.
Le personnel a distribué un tract pour expliquer la situation.

Ce même jour, le Comité CGT des privés d’emploi et travailleurs précaires des Hautes-Pyrénées avait décidé d’exprimer son désaccord par une action symbolique: un sitting de protestation au sein de l’antenne du Pôle emploi « Pyrénées » de Tarbes.
La directrice a accepté de recevoir une délégation et s’est engagée à transmettre nos revendications à sa hiérarchie.
Nous continuerons, chaque mois, à organiser une action soit devant pôle emploi, une maison commune ou la CAF ainsi qu’un débat sue la question des coopératives d’aide à l’emploi (CAE) fin mars à la Bourse du Travail
Le comité a décidé de distribuer un tract aux personnes se présentant à Pôle emploi.
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Hôpitaux, Sécurité Sociale

600 dans les rues de Bagnères-de-Bigorre pour exiger un système de santé digne du 21e siècle.
Le service des urgences de la ville étant menacé, le cortège a marqué un arrêt symbolique devant l’hôpital de Bagnères où le Docteur Christophe Prudhomme a pris la parole.
  Ce n'est pas la seule menace qui pèse sur la santé sur le département:
- L’hôpital de Tarbes est en grande difficulté;
- Début de pénurie de médecins généralistes;
- La maternité de Lourdes et les services de réanimation ont été supprimés;
- L’hôpital de Lannemezan a vu ses effectifs diminuer avec une insécurité croissante pour les patients et les personnels.
Dans le privé aussi, la prise en main de la clinique de l’Ormeau par le groupe Médipôle (52 cliniques sur toute la France , filiale du fonds d’investissement Australien Bridgepoint) se solde par des hausses de tarifs et le licenciement du directeur historique de la clinique.
Suite à la manifestation, les participants étaient invités à la réunion publique se tenant à la Halle aux Grains durant laquelle sont intervenus :
Bruno Gay-Capdevielle animateur du Collectif hôpitaux-santé 65;
- Dominique Desbureaux au nom de la CGT de l’hôpital de Bagnères;
- le Docteur Christophe Prudhomme, Porte-parole de l'AMUF (Association des Médecins Urgentistes de France) et membre de la direction de la fédération CGT Santé-Sociaux
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Privatisation de notre energie,
tous concernes!


L’ouverture du capital d’EDF fut une grosse erreur, combattue de toutes ses forces par la CGT. Cette introduction en bourse n’a cessé de mettre en difficulté l’entreprise au travers de la rémunération figée des actionnaires.
Le cours de l'entreprise, entrée en fanfare en Bourse il y a dix ans, a baissé de 46% au cours des cinq dernières années.
Résultat : le comité des sages d'Euronext a entériné la sortie d’EDF du CAC 40. Celui-ci sera remplacé par Klépierre.
Les contraintes imposées par l’état, fermeture de centrales thermiques, nucléaires, perte de concessions hydrauliques, reprise d’actif AREVA… conduisent EDF dans le mur.
Salariés et usagers en sont les victimes, la mobilisation doit être majeure.
Hier à l’occasion d’une nouvelle journée d’action, les salariés ont interpelé direction et pouvoirs publics à Pau et dans la production Hydraulique les usines ont été occupées lors des pointes de consommation d’électricité.
LE TEMPS N’EST PLUS A L’HESITATION, MOBILISONS-NOUS AVEC LES SALARIES DE L’ENERGIE !!!

Signer et faire signer la pétition contre la mise en concurrence des concessions hydroélectriques en ligne.
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SDIS 65





Pour défendre leurs revendications le personnel du SDIS 65, dans l'action le 3 décembre 2015, a adressé à Mme la préfète une motion rappelant ses revendications.

Lire la motion.


EURALIS Maubourguet

(Aller au début du mouvement)
(mardi 17) Euralis a décidé de mettre en place des négociations sur chacun des sites. Négociations site de Maubourguet avec FO et CGT.
Les propositions sont les suivantes:
Prime exceptionnelle de 135 € versée en 2 fois
1- 75 € pour les coefficients inférieur à 200 (agent de maîtrise) fin novembre 2015 si continuité du travail au niveau du site
2- 60 € pour coefficient - 200 fin janvier 2016 si atteinte du taux de service idem que n-1.
Les NAO débuteront plus tôt la direction rencontrera les syndicats en mars de chaque année.
Ouverture de négos sur la classification (coefficient par rapport au poste occupé qui se dérouleront de décembre 2015 à 2016 (harmonisation des postes entre sites)
Il est un fait qu’aucune des revendications de départ ne sont abordées. Les salariés ont à se prononcer sur ces propositions, la CGT respectera leur décision.
(lundi 16)
Sur la droite ligne démocratique Gattaz, Hollande, Valls, Macron la direction Euralis donne dans le "dialgue social".
Elle n'est pas venue à la négociation démontrant ainsi tout le mépris qu'elle a pour les salariés et leurs représentants. La lutte continue dans les sites en grève dont celui de Sarlat qui est bloqué

(dimanche 15)
Suite à la consultation des syndiqués la CGT Euralis a décidé de poursuivre l'arrêt de travail lundi 16 sans blocage en attendant la fin des négociations.
Une délégation du syndicat se rend à Sarlat où leurs collègues sont toujours dans l'action. Les pyrénéens prendront les décisions, en intersyndicale, suite aux résultats des négociations.

(samedi 14)
La direction a annoncé l'ouverture de négociation lundi 14h.
Suspension du mouvement (dimanche l'usine ne fonctionne pas) et suivant issue des négociations les salariés décideront de la poursuite ou non du mouvement à partir de mardi.

EURALIS gastronomie

Les salariés de 4 sites agro-alimentaires d’Euralis Gastronomie répartis dans le Sud-Ouest sont en grève reconductible depuis ce matin à l’appel de leurs syndicats CGT, FO, CFDT.
Sur le département des Hautes-Pyrénées, le site de Maubourguet est également dans l’action depuis tôt ce matin, un piquet de grève est installé devant l’usine.
Les salariés portent les revendications suivantes:
• une augmentation générale des salaires de 4,7%;
• la prise en compte des 3 jours de carence par l’employeur lors des arrêts maladie;
• la contribution de l’employeur à hauteur de 1,05% de la masse salariale pour les activités du Comité d’Entreprise;
• l’attribution de 1 jour de congés d’ancienneté tous les 5 ans.
Le mouvement a été reconduit pour demain vendredi 13 novembre.
Voir les photos
Lire le tract distribué au personel.

Air France
Maintenant le chantage!

Six salariés d’Air France ont été interpellés le 8 octobre à l’aurore. Ils ont fait la une des journaux tels des ennemis publics. Le ministre Valls a fait de la répression des militants syndicaux son cheval de bataille, oubliant les politiques véreux ou les patrons voyous, comme celui de MG Call à Tarbes. Ceux-là ne sont jamais tirés de leur lit à six heures du matin ... Une centaine pour venir soutenir ces salariés d'Air France dont les syndicats sont sommés de s'entendre avec la direction sinon les licenciements continuent. Il s'agit du dialogue social vu par le patronat et le gouvernement.
Voir les photos du rassemblement.
Lire la prise de parole.
MG CALL et IRC à Tarbes
(Aller au début du mouvement)

Arrêt du mouvement

Suite à la rencontre avec Pôle emploi à la préfecture mardi, les salariés de IRC et MG Call jugent que plusieurs avancées ont été obtenues. Réunis en assemblée générale, après les entretiens préalables au licenciement, ils ont décidé l'arrêt de leur mouvement exemplaire.
Au cours de l'assemblée ils ont élu 4 délégués pour participer à la commission de suivi à la préfecture. Ils auront a garder le contact avec leurs camarades de lutte.
Ils vont maintenant attaquer une nouvelle lutte: trouver des formations et/ou des emplois.

Réunion préfecture du 13 10

Suite à la réunion à la préfecture et à leur AG le personnel avec le soutien de la CGT a publié le communiqué suivant.

Les engagements à l’égard des salariés dévoyés !
HONTEUX ET INACCEPTABLE !

Tant les chiffres officiels des fonds publics engagés dans le désastre MG Call sont édifiants.
Rappelons que le patron avait engagé seulement 1 500 € de sa poche. Le Projet MG Call/IRC aura bénéficié des aides publiques suivantes:
- Aides à la formation pôle emploi : 679 200 €;
- Prise en charge par l’Etat de l’activité partielle (alors qu’il n’y avait aucune activité l’Etat a financé sur la période du 25 février 2015 au 31 mai 2015 ) : 364 267 €.
- l’engagement public des collectivités (Grand Tarbes) sur l’aménagement spécifique du local (160 000 €) et une franchise de loyers sur deux trimestres (20 000 €).
Ce sont donc au total : 1 210 467 € de financements publics (directs ou indirects) qui auront été engloutis dans cette affaire.
Les Salariés de MG CALL et d’IRC en appellent à votre soutien : ce mardi 13 octobre 2015 – 15 h 30 devant la Préfecture à Tarbes.
Lire le tract des salariés.
Signer la pétition pétition en ligne.

HONTEUX !

En effet, le directeur régional de pôle emploi, en l’absence remarquée de toute représentation préfectorale, s’est refusé dans un premier temps à tout engagement de couverture sur douze mois de 23 salariés ne disposant d’aucun droit à indemnisation une fois le licenciement économique effectué.
Devant la réprobation générale exprimée, le directeur régional a réécrit le protocole en proposant une prise en charge sous la forme du RFPE ( (rémunération des demandeurs d’emploi en formation ) mais qui ne peut en aucun cas satisfaire les salariés concernés, car il prévoit dans certains cas (salariés de moins de 26 ans) une indemnisation allant de 310 à 401 € (Quelle vie pour les victimes du capital avec ça!!!).
1 210 467 € de financements publics (directs ou indirects) qui auront été engloutis dans cette affaire par un patron, pour les salariés chômage et aumône gouvernementale.
La CGT a alerté le député Jean Glavany de la "réponse" inqualifiable apportée aux salariés.
Madame la Ministre va être à nouveau saisi par le secrétaire général de la CGT et les salariés eux-mêmes.
Lire le communiqué des salariés.

Liquidation judiciaire de MG Call et IRC

En l'absence de M. Gueday (le PDG), le tribunal de commerce de Tarbes a prononcé la liquidation judiciaire de MG Call et IRC. Les salariés vont pouvoir tourner la page et préparer leur avenir.
De plus, le versement en octobre de la prime trimestrielle est prise en charge par le fonds de garantie des salaires (AGS).
Dès mardi matin, le liquidateur judiciaire va adresser un courrier à chacun des salariés, pour les convoquer à un entretien préalable à licenciement à compter du 15 octobre. Après quoi, les licenciements seront effectifs entre le 21 et le 22 octobre. Le 8 octobre réunion avec Serge Lemaitre, directeur régional du Pôle emploi.

Le personnel MG Call et IRC à la préfecture

Après la réunion en préfecture du 30.09.2015 le personnel a diffusé le communiqué suivant.
Lire le courrier de la Ministre du travail à P. Martinez.

Actions du personnel MG Call et IRC

Lire le communiqué des salariés suite rencontre à pôle emploi.
Les salariés ont participé au rassemblement pour la liberté syndicale le 22 09 devant la mairie de Tarbes.
Les salariés MG Call et IRC s'adressent par lettre ouverte à Mme la ministre du travail.
Philippe Martinez, secrétaire général CGT, interpelle par lettre Mme la ministre.

Redressement judiciaire

MG Call et IRC ont été placés en redressement judiciaire par le tribunal de commerce et un mandataire a été nommé pour permettre le paiement des salaires dans les plus brefs délais.
Une nouvelle audience est prévue le 5 octobre pour, vraisemblablement, prononcer la liquidation judiciaire.
D'autre part un accueil unique est mis en place à destination des salariés de MG call et IRC dans les locaux de l'hôtel d'entreprises "libération". Sur ce site, seront rassemblés des représentants de la CAF, du Conseil Département, de Pôle emploi, de la mission Locale, du CCAS de Tarbes... avec pour objectif: s'assurer que chaque salarié en difficulté trouve une réponse d'urgence.

Tribunal de Commerce




Le 21 09 le PDG était au tribunal de commerce avec les représentants du personnel victime de ses agissements malhonnêtes.
le jugement devrait être rendu demain 22 09.

Lire le communiqué du 18 09 2015



Voir des photos de la lutte des salariés.





140 salariés, 140 familles
Victimes des agissements d’un patron voyou

En décembre 2014, à grand renfort de publicité et d’encarts dans la presse M.Gueday crée, avec un capital de 1 000 €, le centre d’appel MG CALL. Dans un bassin d’emploi miné par le chômage de longue durée il fait miroiter la création de 350 emplois.
Il en appelle, comme il devient désormais coutumier dans les logiques patronales, aux aides publiques sous toutes leurs formes (Grand Tarbes pour l’immobilier à hauteur de 500 000 €, exonérations de cotisations patronales, mobilisation des fonds de la formation professionnelle,...).
Pouvoirs publics et élus locaux se sont mobilisés pour être des "facilitateurs" du projet. La direction de pôle emploi ne tarit pas d’effort pour "alimenter" l’entreprise en salariés (le plus souvent en fin de droits).
Voilà pour la vitrine de l’entreprise, le quotidien des salariés sera dès le premier jour une suite de brimades, vexations, insultes, harcèlements, licenciements abusifs et au bout du compte des promesses d’activité et de marché jamais concrétisées.
En septembre, le patron ne verse pas les salaires du mois d’août (l’immense majorité des salariés étant payés au SMIC) et ne reverse pas les cotisations salariales à l‘URSSAF. Le mépris est à son comble lorsque l’on sait que des salariés devaient embaucher à compter du 22 septembre et que M.Gueday laissait encore miroiter des marchés fictifs dimanche 13 septembre, devant les salariés qui occupaient les locaux de l’entreprise et les élus du grand Tarbes
- La réalité, c’est une entreprise jugée devant le tribunal de commerce le lundi 21 septembre (?).
- La réalité, ce sont des salariés et des familles entières dans la difficulté (coupures de courant, rejet de chèques, impossibilité de payer les loyers, les emprunts, les cantines scolaires …).
Au moment où ces lignes sont écrites, nous ne connaissons pas le dénouement mais nous pensons que cette entreprise sera liquidée et les salariés "sur la paille".
La CGT, dans cette entreprise sans représentation syndicale, a apporté un soutien, très apprécié, tant pour les questions de droits du travail que d’intendance (livraison de repas) et continuera de suivre ce dossier et organiser la solidarité autour du personnel.
Des photos ICI
Lire le communiqué CGT du 15 09 2015            Lire le communiqué des salariés du 17 09 2015

Contre l'austérité, pour l'emploi


1200 environ dans la rue pour que cesse les cadeaux aux patrons et l'austérité pour le peuple.
L'austérité pour le plus grand nombre, les ponts d'or pour une minorité: ça suffit!
Dans la rue avec la CGT, FSU et Solidaires, ils demandent emplois, augmentation du pouvoir d'achat...

Voir des photos de la manifestation.

LIBERTE SYNDICALE

Le 23 septembre, Liberté syndicale, j’écris ton nom !
Vous êtes des millions de salarié-es, du secteur privé comme du public, à vérifier chaque jour l’intérêt de vous organiser collectivement au sein de votre entreprise ou de votre service.
La liberté syndicale est fondamentale, c’est un droit humain universellement reconnu et protégé; liberté consacrée par différentes constitutions ou traités.
Mais cette liberté est de plus en plus contrainte (lois, criminalisation de l’action syndicale, discriminations, etc). Le patronat, le gouvernement français mais aussi les Institutions européennes veulent imposer des réformes réactionnaires, supprimer des garanties et des acquis sociaux. Pour œuvrer le plus aisément possible, ils essaient par différents moyens d’uniformiser le syndicalisme, de l’institutionnaliser afin qu’il ne soit plus qu’à leur service, un outil d’accompagnement des décisions patronales et gouvernementales.
Lire le 4 pages
La discrimination syndicale est un délit puni par la loi ! Article 225-1 du Code pénal.
Pour la CGT, porter atteinte à un militant syndical, c’est porter atteinte à tous les salariés! La CGT lutte contre toutes les formes de discrimination, dans le cadre de la journée nationale d’action pour les droits et les libertés syndicale
Le mercredi 23 septembre 2015 plusieurs militants se sont rassemblés devant la mairie de Tarbes à 11h pour libérer symboliquement la parole syndicale.
Lire l'intervention         Voir des photos de la journée.

Postiers en grève

Le 16 09 à l'appel de FAPT CGT les facteurs du centre de Tarbes comme de tous les centres du département étaient en grève et se sont rassemblés devant leur centre respectif.
En effet:
- le résultat de La Poste est en progression de 30 % mais il est toujours question de mesures économiques. Celles-ci se traduisent par des tournées non assurées donc des citoyens qui n'ont pas leur courrier régulièrement et des facteurs qui le lendemain auront le double de la tournée à faire avec des heures supplémentaires non payées;
- La baisse incessante des effectifs est justifiée par la direction par la baisse du trafic courrier ne voulant pas tenir compte de la hausse de celui des colis qui la compense. De plus, ce n'est pas parce que le facteur ne s'arrête pas pour une ou plusieurs boites aux lettres que la tournée est plus courte, il faut quand même faire la même distance;
- En ce qui concerne leurs nouvelles missions, aider les personnes âgées, rendre de petits services et prendre de leurs nouvelles, cela a toujours existé et ça continuera même avec moins de temps dû au rallongement des tournées.
- Par contre les facteurs considèrent que présenter des contrats d'assurance ou autre chose ne fait pas parti de leur rôle sans compter que ça se rajoutera à leur tournée.

Meeting de rentrée : Toulouse
mardi 8 septembre 2015.

Du 3 au 10 septembre 2015, la CGT a organisé ses meetings de rentrée dans 8 grandes villes de France.
Au menu des débats, les RTT, les salaires, les libertés syndicales ou encore l’égalité hommes-femmes.
Le 8 septembre ce sont entre 800 et 1000 militants (une quarantaine de Hauts-Pyrénéens) qui ont participé à celui de Toulouse.
Les discriminations syndicales (journée d’action du 23 septembre), les différentes attaques gouvernementales contre les salariés, retraités et privés d’emploi (loi Macron, loi sur le « dialogue social », modification du Code du Travail,…), l’augmentation du SMIC à 2000€, le partage du temps de travail (32H hebdo sans diminution de salaire) et la journée d’action du 8 octobre ont alimenté les interventions.
Lire la prise de parole de Philippe Caubère, secrétaire général UD 31.

Hôpital: danger!
Menaces sur des URGENCES



Les urgences de Bagnères-de-Bigorre, de la clinique de l'Ormeau en danger suite au rapport Grall.
L'UL de Bagnères a sorti un tract sur le danger de telles fermetures.

Lire le tract de Bagnères.


Même en été la CGT est sur le terrain!!

Tour de France
La présence de la CGT sur la route du Tour remonte à l'après-guerre.
Cette année la NVO et l'UD CGT 65 se sont positionnés à Soulom au pied de la montée sur Cauterets
La roue de l'infortune y a été installée. Quiz social, le choix des questions se faisant en tournant une roue.
http://www.tour-de-france-social.cgt.fr/Lourdes-quand-les-soeurs-levent-les-yeux-vers-la-CGT Europe-echec.com proposait une initiation aux échecs à nos côtés.

Lire l'histoire de la CGT et du Tour.
Voir des photos de la journée.
Services publics
Perceptions en danger
La Direction Départementale des Finances Publiques des Hautes-Pyrénées engage la restructuration du réseau des trésoreries de proximité à marche forcée et sans réflexion ni débat sur les besoins des populations.
Dans cette logique, les trésoreries de Loures-Barousse, Labarthe-de-Neste, Rabastens-de-Bigorre doivent fermer au 1er janvier 2016.
Le 17 juillet 2015 la CGT a appelé à ce rassembler à Loures-Barousse pour exiger le maintien de la Perception et des services publics en général, la population a répondu à l'appel du Président de la Communauté de Communes de Barousse et du maire de la commune. Plusieurs élus de Barousse et du département étaient présents.

Lire l'information de la CGT Finances 65.
Voir des photos du rassemblement.
Caravane des saisonniers
à Lourdes
Dans son souci de se déployer dans tous les secteurs d'activités, l'UD CGT 65 a mené, le mardi 21 juillet, une initiative envers les travailleurs saisonniers de Lourdes.
Elle a reçu l'appui de la caravane nationale des saisonniers CGT qui sillonne la France (lieux de vacances et exploitations agricoles) pour informer les travailleurs et les vacanciers sur les droits des salariés de saison.
A noter la présence d'un copain intermittent du spectacle qui, sur ses échasses, a amené une touche festive facilitant le contact avec les saisonniers, les patrons, les vacanciers et pèlerins.
Un point d'accueil était établi toute la journée place Marcadal et des équipes ont sillonné la ville distribuant le guide du travailleur saisonnier. L'accueil, que ce soit dans les magasins ou dans les hôtels et restaurants, a été très bon et de nombreux travailleurs saisonniers se sont arrêtés place Marcadal pour se renseigner et échanger parfois contrat de travail à la main.
Cette initiative avait été préparée plusieurs jours avant, confection et pose de panneaux annonçant l'initiative. La vintaine de camarades qui a participé à cette action est à féliciter. Rendez-vous a été pris avec la caravane des saisonniers pour de nouvelles initiatives dans notre département. 

Lire le guide du travailleur saisonnier
Voir des photos de la journée.
Voir le site du Tour de France social et le reportage sur Lourdes
Le tract distribué aux saisonniers avec le guide.

Soutien au peuple Grec

Les négociations entre la Troïka et le gouvernement grec font les unes de tous les médias cette semaine. Le référendum programmé dimanche 5 juillet fait retenir le souffle à l’Europe entière et aux marchés financiers en particulier.
Cependant, le débat médiatique manque d’objectivité, et expose les éléments factuels seulement de façon lacunaire.
A l'appel de plusieurs organisations dont l'UD CGT, des hauts-pyrénéens se sont rassemblés place de Verdun à Tarbes pour dire leur soutien au peuple grec face aux vautours de la finance mondiale.

Lire quelques éléments d’éclaircissement.         photos du rassemblement.

A u s t é r i t é : Tu m’auras pas!

Dans le cadre de la journée d’action interprofessionnelle du 25 juin 2015, la CGT appelait les salariés, retraités et privés d’emploi à se mobiliser en mettant l’accent sur l’augmentation générale des salaires et notamment du SMIC, plusieurs rassemblements ont été organisés dans notre département.
 A l’initiative des syndicats Santé/organismes sociaux du département un rassemblement devant l’ARS avec audience pour dénoncer les conséquences de la loi santé du gouvernement et les difficultés rencontrées dans le département.  La suppression de la maternité de proximité de Lourdes, la suppression du service de réanimation de l’hôpital de Lourdes, les abandons d’activité de l’hôpital de Tarbes au bénéfice des établissements privés, la situation des EPADH ainsi que la dégradation sans précédent des conditions de travail des agents hospitaliers ont été développés lors de cet entretien. Une pétition signée par 6125 personnes sur la situation des Thermes de Capvern (établissement en redressement judiciaire) a été remise.
 Ensuite, un rassemblement a été organisé devant le conseil départemental puis la préfecture des Hautes Pyrénées. Une audience avait été demandée au Président du Conseil Départemental des Hautes Pyrénées sur la situation de l’ensemble des services publics du département et les conséquences des politiques d’austérité.  Le Président du Conseil Départemental s’est engagé à soumettre à l’assemblée départementale en septembre la création d’une Commission départementale de défense des services publics du département associant élus départementaux, organisations syndicales de salariés et associations d’usagers. Il a également indiqué qu’il soutiendrait notre démarche de création d’un comité départemental de suivi des aides publiques versées aux entreprises.
Les cheminots, en grève, ont participé, après une AG en gare de Tarbes, pour une partie à une rencontre/débat à la Bourse du travail de Toulouse sur la réforme ferroviaire et le rapport Duron (Trains d’Equilibre du Territoire). Les autres se sont joints aux manifs tarbaises.

Voir les photos du rassemblement.

Education Nationale
11 juin 2015: NON à la réforme des collèges

80 enseignants et opposés à la réforme des collèges se sont rassemblés devant l'inspection d'académie à Tarbes à l'appel de la CGT-Educ'Action et du SNES.
Cette réforme poursuit une vision de plus en plus inégalitaire de l'école, en se contentant d'un minimum de savoirs basiques pour les élèves les plus fragiles. Cette réforme au service de l'austérité et de l'idéologie libérale va vers une concurrence entre collèges, entre disciplines et entre professeurs. Les heures d'accompagnement personnalisé et d'enseignements pratiques interdisciplinaires seront intégrés sans moyens dédiés et leur mise en place sera soumise à la volonté du chef d'établissement. Cette réforme provoquera une aggravation des conditions de travail en raison de services morcelés non pérennes.
Il faut arriver à une diminution du nombre d'élèves par classe et avoir de véritables moyens de remédiation à la difficulté scolaire et de rompre avec la vision élitiste de l'école.

Lire la prise de parole commune.         Lire les analyses et propositions de la CGT-Educ'Action .

A la rencontre des salariés des TPE

Le 9 juin, en pleine discussion sur le projet de loi sur le dialogue social, des militants CGT, de la CE de l’UD65 et de l’UL de Tarbes, sont allé à la rencontre des salariés des TPE (Très Petites Entreprises moins de 11 salariés).
La loi propose 10 représentants élus par région. Cela fait 130 élus pour 4,6 Millions de salariés.
Ces élus ne pourront se rendre dans les entreprises qu’avec l’accord de l’employeur, l’affichage des élus n’est pas obligatoire, enfin ils ne pourront rencontrer les salariés qu’avec l’accord de l’employeur. Comme vous le voyez, ces représentants ne pourront pas fonctionner et améliorer la représentativité dans les TPE.
L’accueil a été bon dans l’ensemble. Ces initiatives devraient se renouveler.

Lire le tract dsitribué.

Hautes-Pyrénées
Maternités, hôpitaux en danger

Les 29 et 30 mai, les bigourdans se sont mobilisés pour la défense et la reconquête des hôpitaux et du système de santé de notre département.
Deux initiatives étaient organisées: Une réunion publique le vendredi 29 mai au Palais des congrès de Lourdes sur le thème des services publics et de la santé. Jacques COTTA, journaliste à France 2, réalisateur, producteur et écrivain, est intervenu sur la place et l'évolution des Services Publics. Paul CESBRON, obstétricien retraité et membre de la Coordination Nationale des Comités de Défense des Hôpitaux et Maternités de Proximité, est intervenu sur la situation des hôpitaux publics et la loi santé 2015.
Voir les photos de la conférence.

Samedi 30 mai, 400 manifestants, de l’hôpital de Lourdes au Palais des Congrès, pour la défense des Hôpitaux et du système de santé de notre département.
La santé, notre bien le plus précieux, est en danger.
Sur les Hautes-Pyrénées, la situation est alarmante :
- La pénurie des médecins généralistes s’installe;
- Les Hôpitaux publics de notre territoire sont asphyxiés budgétairement par des réformes qui ne prennent pas en compte les besoins de la population et la particularité de la topographie de notre département;
- Les maisons de retraite publiques ou privées sont également touchées par un manque d’effectifs;
- Dans les cliniques, qui appartiennent de plus en plus à des groupes financiers, la situation est la même que les Hôpitaux Publics. La différence est qu’il faut dégager des profits pour les actionnaires.
La CGT demande:
- le retrait du Projet de Loi Santé;
- l’abrogation de la loi HPST et propose une réflexion sur un nouveau mode de financement de la santé et de l’action sociale;
- une protection sociale de haut niveau contribuant à la reconstruction d’un système de santé performant, de proximité et répondant aux besoins des populations.
Pour cela, l’argent existe: par exemple 220 milliards d’exonérations diverses sont offerts chaque années aux employeurs auxquels s’ajoutent désormais les 20 milliards annuels du pacte de responsabilité. Un représentant du syndicat CGT des cheminots est intervenu sur les annonces de réduction drastiques des Trains d’Equilibre des Territoire (TET). Notre département est particulièrement touché avec l’annonce de la suppression du train de nuit « La Palombe Bleue » et de la relation Toulouse/Hendaye

Voir les photos de la manifestation.         Lire la déclaration du collectif.    


Après la prise de parole du Collectif Hôpital la CGT Cheminots a pris la parole pour dénoncer la casse du service public du transport et de la SNCF.

1er mai 2015
Hautes-Pyrénées


Un millier de manifestants ce 1er mai à Tarbes et 200 à Bagnères-de-Bigorre.
Cette journée était placée sous le signe de la mobilisation européenne avec une pensée pour notamment la Grèce et la solidarité internationale.
Localement, plusieurs salariés ont leurs emplois menacés voire en cours de disparition. Les différents conflits à Cegelec, Eiffage, Socata, SEB, dans le secteur de la santé, sont inquiétants malgré les sommes perçues au travers du CICE, aussi nous demandons à la préfète la mise en place d'une commission de suivi des aides publiques versées aux entreprises ainsi qu'une table ronde pour une reconquête industrielle des Hautes-Pyrénées.
Les retraités étaient aussi nombreux dans le cortège pour défendre les retraites complémentaires et exiger le fin du blocage des pensions.

Lire la prise de parole.         Lire le communiqué de la CGT.     Voir les photos.


KORIAN/MEDICA FRANCE
EHPAD Le Carmel - TARBES


Le personnel de la maison de retraite était en arrêt de travail le 15 04 avec le soutien de l'UD CGT 65, de résidents et de familles de résidents.
En effet le groupe Korean/Médica SA se glorifie d'une hausse du chiffre d'affaire de 64% avec un bénéfice de 116,3% pour 2014.
Mais pour les salariés: RIEN!

Pour celles et ceux qui "font tourner" l'EHPAD: précarité, conditions de travail dégradées, "dialogue social" sourd aux revendications portées par la CGT, droits réduits.
Le personnel avec la CGT revendique:
- Une véritable revalorisation salariale;
- Le versement de leur participation;
- Une véritable reconnaissance de leurs métiers
- Des remplacements à 100%;
- De meilleures conditions de travail.
Ici aussi ils dénoncent: Le pacte de responsabilité, la loi Macron, le projet de loi santé, les régressions sociales, les politiques d'austérité et le coût du capital.

D'autres chiffres sur le tract joint.

Thermes de Capvern

Jeudi 2 avril personnels des thermes de Capvern soutenus par l'UL CGT Lannemezan et l'UD CGT 65, professionnels du tourisme et élus de la municipalité se sont rassemblés devant la préfecture.
En effet, le groupe Santé Action d'Albi, gérant des Thermes de Capvern en délégation de service public, a déposé le bilan de la société des Thermes de Capvern après une gestion calamiteuse.
Le plan de redressement proposé par le PDG et apparemment soutenu par le mandataire judiciaire ne permet en aucun cas d'ouvrir lundi prochain, premier jour de cure.
Les contrats de travail des saisonniers ne sont pas signés, donc le personnel n'est pas recruté à 4 jours de l'ouverture.
L'outil de travail n'est pas en place car les factures ne sont pas payées et ni le PDG ni le mandataire n'ont donné d'ordre en ce sens.
Une réunion est prévue dans la journée avec la préfète pour essayer de trouver une solution.
Lire plus d'informaions.

Cegelec
table ronde en préfecture
(Voir action du 18 mars )

A la demande des salariés et de leur syndicats, la Préfète des Hautes-Pyrénées a organisé une table ronde sur l'avenir de CEGELEC et du personnel.
Représentants de la préfète, de la Directte, la responsable de Pôle Emploi, le président du CG 65, madame la député, le conseiller technique auprès du ministère du Redressement productif, ont souhaité que l'activité continue jusqu'en septembre, pour avoir le temps d'étudier les pistes de reprise.
Mais tant qu'Alstom ne répond pas, tout le monde reste dans le flou.
Alstom, montrant son mépris pour ses sous-traitants et leurs salariés n'était pas présent à la table ronde.
A lire sur le site d'Alstom: "La réputation et l’intégrité d’Alstom ne peuvent se construire qu’en renforçant continuellement nos règles et procédures en matière d’éthique."

Centre postal
Vic-en-Bigorre.

La CGT du centre courrier de Vic en Bigorre à cessé le travail le jeudi 19 mars. Le personnel en grève (mouvement reconductible) a occupé le centre pour les motifs:
- Conservation de l'accord actuel sur la mise en place de la sécabilité en cas d'absence inopinée limitée à 2 jours.
- Pas de modification des jours de sécabilité à savoir lundi mardi
- Ouverture d'une négociation sur la DSCC sur le temps accordé aux nouveaux services (Temps L...) dans les plus brefs délais en applicxation de l'accord "un avenir pour chaque postier"
- Demande un taux de volant suffisant permettant la prise en compte de toutes les absences(CA, RCY...) à hauteur de 25% minimum
- Refus d'augmenter la sécabilité programmée d'été par rapport à celles faite actuellement
- Pas de sécabilité pendant 2 mois à la mise en place
Le mouvement a cessé le mardi 24 03, suite à la satisfaction des revendications. Pour joindre CGT-PTT 65 Bourse du Travail tél: 05 62 53 15 31

Eiffage - Cegelec
Les salariés s'invitent au Salon DéciElec à Tarbes.
(Voir action du 6 mars )

Suite au désengagement d'Alstom, se sont toujours 71 emplois qui sont menacés chez ces deux entreprises sous-traitantes de l'entreprise ferroviaire.
le 18 03 pendant que leurs délégués étaient en négociations du "Plan de sauvegarde de l'emploi", les employés de Cegelec se sont invités sur le salon où les organisateurs leur ont donné un temps de parole après qu'ils aient écouté dans le calme les discours d'inauguration.
F. Dousseau a notamment déclaré: "...Ici, on parle de développer l'emploi, mais il faudrait d'abord commencer par ne pas perdre l'existant... Alstom a bénéficié d'un appui public. La société a une responsabilité sociale et doit renvoyer l'ascenseur".
Une table ronde sera organisée en préfecture le vendredi 20 mars. La direction d'Alstom n'a toujours pas fait connaitre sa décision de participer ou non, Vinci ne participera pas à cette rencontre pourtant lorsqu'il fallait engranger les bénéfices ils étaient là.
Ils ont pu, ensuite, rencontrer les élus présents sur les lieux.
Ils ont distribué leur tract aux participants du salon.
retour table ronde

Eiffage - Cegelec
Un savoir-faire Tarbais que la stratégie industrielle du groupe Alstom veut condamner.
(Voir action du 17 02 )

Après la menace de fermeture des deux sites de CEGELEC de Tarbes et Soues (52 emplois) un deuxième sous-traitant d’Alstom, EIFFAGE Energie à Tarbes (19 emplois), annonce la fermeture de son atelier de câblage électrique.
Depuis plus de 15 ANS les établissements du groupe CEGELEC-Vinci Energie situés à Soues pour la CHAUDRONNERIE et zone BASTILLAC à Tarbes pour le câblage électrique travaillent à 95 % pour Alstom en tant que fournisseur et sous-traitant.
Pour EIFFAGE ENERGIE Sud-ouest (STEE) situé à LA GAROUNERE ce sont 25 ans de travail dédiés exclusivement à ALSTOM pour le câblage TGV en tant que sous-traitant.
La direction d’Alstom a décidé de délocaliser sa sous-traitance et de privilégier les pays à bas coûts.
Une stratégie industrielle au BENEFICE DES SEULS ACTIONNAIRES financée par les salariés-contribuables que nous sommes.
Les salariés des 2 sociétés se sont retrouvés au Conseil Général pour interpeler les élus du département pour qu'ils votent une motion. Ils ont ensuite continué l'information devant le Parc d'exposition où se tient la foire agricole.
Lire le tract distribué au public.
Lire la motion votée au Conseil Général.
retour action du 18 03

Centre de dialyse de Lourdes

Le vendredi 20 février l'Union Santé Départementale CGT, la secrétaire du syndicat CGT de la polyclinique de l’Ormeau et un représentant de l’Union Départementale CGT sont venus apporter leur soutien aux usagers, salariés et élus locaux rassemblés pour défendre le centre de dialyse Saint Jean le Baptiste qui doit fermer à la fin du mois par décision de l'Agence Régionale de Santé Midi-Pyrénées.
Le Centre de dialyse a été créé en 1986 il a accueilli 17 000 personnes dialysées en 28 ans (600 en 2014). Ce sont des insuffisants rénaux qui ont besoin de dialyse trois fois quatre heures par semaine en moyenne. Le Centre soigne des personnes dialysées, pèlerins du monde entier, vacanciers ou habitants du Pays de Lourdes. Il est géré par une équipe de 14 salariés.
L’Agence Régionale de Santé de Midi-Pyrénées (ARS), après la reprise de l’activité du Centre de dialyse Saint Jean le Baptiste, le 1er novembre 2013, par la Polyclinique de l’Ormeau de Tarbes, a renouvelé l’autorisation d’activité du Centre seulement jusqu’au 28 février 2015. Elle estime que les structures du Centre Hospitalier de Bigorre et de l’Association d’Aide des Insuffisants Rénaux chroniques de la région Midi-Pyrénées (AAIR) étaient capables de prendre en charge les patients lourds soignés jusque-là au Centre de dialyse. Nous demandons de toute urgence qu'une convention de repli soit signée, que l'autorisation de dialyse soit conservée, que le centre reste ouvert.
Des décisions doivent être prises, le pouvoir public doit s'en saisir.
Lire le communiqué du l'UD CGT 65

Cegelec: 52 emplois menacés!!


Le personnel de Cegelec était en grève le 17 02 pour exiger une solution pour sauver l'emploi.
Vendredi au cours d'un comité d'entreprise extraordinaire, un plan de sauvegarde pour l'emploi a été engagé. Pourtant les 52 salariés avaient consenti à une activité partielle depuis le 12 décembre qui ne leur a permis que de gagner du temps mais aussi d'équilibrer les comptes de l'activité câblage.
Cette activité qui emploie 19 personnes est pourtant viable.
Ce n'est plus le cas de la chaudronnerie qui concerne 33 employés. Le taux horaire et la baisse de charge qui a été divisée par trois en quinze ans ont plombé la compétitivité. Cette situation n'est pas due à la fatalité en effet les manquements du gouvernement, tant vis-à-vis du ferroviaire, la Cegelec en dépendant car 95 % d'ordres sont reçus d'Alstom, que des aides perçues par les entreprises sans condition. En effet au titre du pacte de responsabilité, la Cegelec a reçu 450.000 € en 2013 et 550.000 € en 2014.
Cela ne va pas financer des emplois mais en supprimer!!!
Avec la cession aux Coteaux de Gascogne par Alstom et la multiplication par trois du loyer qui se répercute sur le coût de revient la perte sèche s'élève à 900.000 € l'an dernier sur le site de Soues. "C'est simple, ils veulent nous lâcher et depuis un moment car sans cela on aurait diversifié l'activité."
Il faut exiger un contrôle sur cet argent public et notamment à Cegelec. Ce sont des millions d'euros de nos poches à tous qui servent à tout sauf l'emploi.
"Par tous les moyens, il nous faut sauver les emplois, même si cela passe par un repreneur. Mais de telles orientations ne se décrètent pas en trois mois." pour le secrétaire du CE.
Mais, la fermeture de Soues et Bastillac pourrait intervenir dès le mois de mai.
Il y a des solutions. Avant de quitter l'entreprise, un commercial avait démarché et convaincu plusieurs clients. Mais les tarifs horaires les ont bloqués. "Il faudrait trouver un bâtiment plus petit, plus adapté, pour décrocher de nouveaux contrats. Nous en appelons aux élus qui ont des obligations." Employés et syndicat réclament la tenue d'une table ronde organisée par la préfecture.
(Retour)

Hôpital psychiatrique lannemezan


Suite aux décès de 2 infirmiers de l’Hôpital du Vinatier, l'un à l'arme blanche 10 jours après le second s'est suicidé, le syndicat CGT de l'hôpital de Lannemezan a appelé au rassemblement devant leur direction pour que leurs revendications soient enfin entendues.
Quelles mesures sont prises suite au drame de Pau?
Quelles mesures seront prises suite aux drames de Vinatier?
François Dousseau, secrétaire général de l'UD, a apporté son soutien et celui de l'union départementale CGT à ce rassemblement et aux salariés de CHS de Lannemezan.

Lire l'appel de la CGT ch Lannemezan.
Lire la prise de parole de la CGT ch Lannemezan.

Aide et maintien à domicile


Les salariés, travailleurs du social et de l'humain se sont mobilisés à l'appel de la CGT pour demander une valeur de point à 6.10 euros à la hauteur de leurs missions d'aide et d'accompagnement demandées par les pouvoirs publics, des indemnités kilométriques à 0.51 euros, un chèque déjeuner d'un montant de 8.50 euros pour les salariés ne pouvant rentrer chez eux ainsi que la prise en charge des frais téléphoniques, des parcmètres et de tous les équipements professionnels dans leur globalité.
Elles, ils n'ont pas à payer pour travailler !!

Lire la prise de parole avant le départ de la manifestation jusqu'au Conseil Général et la préfecture.

Clinique de l'Ormeau




Le personnel a répondu à l'arrêt de travail dans l'après midi pour:
- Le maintien des horaires en vigueur dans l'entreprise (Prévus dans l'accord d'entreprise 99-171 enregistré à l'inspection du travail, dont le 12 H)
- Le maintien des emplois (Toutes filières confondues)
- La création de poste remplacements des agents durant leurs absences (Respect des souhaits de congés)
- L'information officielle quant a l'avenir de la clinique
- La prime de fin d'exercice indépendant
A savoir, la clinique a perçu 400 000 euros en 2013 et 600 000 euros en 2014 d’argent public au titre du CICE et elle n’a créé aucun emploi alors que la charge d’activité a augmenté.
Si avant le 2 février des négociations ne sont pas commencées et certaines réponses apportées le personnel a décidé de 24h d'arrêt de travail à partir de 7h le 2/02.
Le 28 la direction ayant accepté de négocier et d'apporter des réponses positives aux 3 importantes revendications (des garanties ont été signées sur les horaires, le remplacement d’un agent d’accueil parti à la retraite et la création d’un poste d’aide soignant nuit pour le service de chirurgie), le personnel suspend le mouvement prévu le lundi 2/02. D'autres réunions sur la création de postes et le remplacement des agents sont prévues en février.
Cette action prouve que la fatalité ne doit pas devenir la règle, la mobilisation peut changer la donne. A l'heure où les entreprises sont aidées par les pouvoirs publics, les salariés de la clinique et le syndicat CGT resteront déterminés pour soutenir les emplois et maintenir les conditions nécessaires à une prise en charge de qualité et à une offre de soins correspondant aux besoins de la population.
Qui peut croire que des salariés en souffrance puissent contribuer à la qualité de soins et d'accueil à laquelle les usagers ont droit?


Prud'Hommes
rassemblement à Tarbes




Environ 150 manifestants ce sont retrouvés le 23 01 entre 12 et 14h devant le tribunal des Prud’hommes de Tarbes.
Nous devons intensifier l’information sur les contenus du projet de loi MACRON car c’est la mise en pièce généralisée des droits des salariés qui est à l’ordre du jour! Ce projet n'a pour seuls fils conducteurs: libérer le pouvoir des marchés financiers, museler les droits des salariés, la dépénalisation du droit du travail qui serait un coup dur sans précédent à toutes les institutions représentatives du personnel et la possibilité ouverte de démanteler le code du travail par ordonnance, sans débat parlementaire.

Lire la prise de parole CGT, FSU, Solidaires

Informations et Pétition en ligne


EIFFAGE construction
l’annulation du projet d’accord de compétitivité (Voir rassemblement à Tarbes)

En juillet 2014, la direction d’EIFFAGE Construction Midi Pyrénées informait les Délégués du personnel de son intention d’imposer un accord de compétitivité. Un accord qui instaurerait un horaire de travail hebdomadaire de 42 heures payées 35 heures.
Suite à plusieurs mouvements de grève et manifestations la direction a fini par comprendre la détermination des salariés soutenus par les UD CGT 65 et 31. Un premier recul a été annoncé en novembre avec un nouveau projet de 38 heures payées 35.
Mais il faut attendre fin décembre pour que la direction annonce aux délégués l’abandon définitif du projet d’accord de compétitivité.
Lire le tract régional de CGT Eiffage.

Enseignement professionnel
Vic-en-Bigorre


Des enseignants, parents d'élèves et élèves du lycée technique Pierre Mendès France de Vic-en-Bigorre ont manifesté pour lutter contre la fermeture de la mécanique automobile de leur établissement.
Les solutions de remplacement proposées par l'autorité académique ne sont pas acceptables (augmentation de l'effectif (+9 élèves) en Bac Pro prothèse dentaire, ouverture d'un CAP dont la pérennité n'est pas assurée).
Ils considérent que c'est un marché de dupes car elles fragiliseraient l'établissement.
La suppression de cette filière phare et historique met en danger l'avenir du lycée professionnel.
Une formation porteuse d'emploi disparaît au niveau local. Le département des Hautes-Pyrénées a besoin de 2 pôles de formation de proximité.
Partis du lycée ils se sont rendu en cortège à la mairie de la commune pour faire connaître le danger que représente cette décision.

NAO à Vallourec
Le personnel en grève




"Trop c'est trop malgre nos revendication la direction ne veut rien entendre ne fait aucun effort pour ameliorer nos condition de travail.
Travail posté, travail de nuit: il y va de notre sante à tous"

Lire le tract.




7 11 2014, La Poste: des avancées

Les facteurs de Bagneres-de-Bigorre étaient en grève depuis 11 jours sur l'emploi, les conditions de travail et le service public.
Le mouvement de grève faisait suite à une volonté de La Poste de supprimer encore 10 % des emplois de la plateforme (4 emplois sur 39) et de répartir la charge de travail en allongeant de nouveau les tournées des autres facteurs (tournées qui pour certains dépassent déjà les 100 kilomètres journaliers).
En 7 ans celà ferait pas moins de 25 % des emplois supprimés sur le centre de Bagnères.
Les facteurs ont obtenu, au lendemain de la manifestation départementale du 5 novembre (50% de grévistes) et alors qu'une manifestation à Bagnères était programmée pour le 8:
- 2 emplois ont été finalement arrachés: 1 tournée de facteur supplémentaire est obtenue par rapport au projet initial de La Poste et 1 agent supplémentaire pour assurer les remplacements des agents absents … Cet emploi devrait être pourvu par un agent actuellement sous CDD qui se verrait proposer un CDI.
- Sur les conditions de travail: limitation de l'auto-remplacement en cas d'absences, charge de travail diminuée, amélioration du régime de travail
- Sur le service public: limitation des tournées non assurées, distribution de l'intégralité du courrier retardé par le conflit par des moyens complémentaires: entraide, CDD/intérim, heures supplémentaires au volontariat
- de plus cela a permis d'autres avancées sur d'autres sites notamment à Vic-en-Bigorre en terme de comblement de postes vacants.
Cette victoire renforce la détermination de la CGT sur la défense de l'emploi, de meilleures conditions de travail et du service public.
Tous les problèmes ne sont pas réglés. Le personnel restera très vigilant sur les engagements de La Poste.

Service public

Le 4 novembre 2014 environ 80 représentants des personnels et des usagers sont venus dire leur raz-le-bol de la destruction d'un service public de qualité.
Le transport ferroviaire, la production hydro-électrique, les routes et autoroutes tout est bradé au secteur privé et la réforme territoriale va encore aggraver la situation.
Ils ont été reçus par Mme Chantal Robin-Rodrigo, vice présidente du Conseil Général 65. Suite à des réflexions elle a quitté la salle. Nous ne voulons plus de déclaration d'intention mais des actes forts. Les barrages doivent rester publics, qu'attend le conseil général pour prendre une délibération dans ce sens ? Le problème, c'est que l'ouverture à la concurrence des concessions hydrauliques va permettre aux collectivités d'entrer au capital des sociétés d'exploitation. Comme les collectivités ont de moins en moins de moyens, elles voient là une manne.
Nous allons plancher sur une délibération de soutien aux services publics et nous demanderons au conseil général de voter.
En savoir plus ICI

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